Droit de réponse de l’Ordre national des infirmiers

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A la suite de la publication par la rédaction d'ActuSoins d'une interview d'Hugues Dechilly, secrétaire général du syndicat Résilience, l'Ordre infirmier a souhaité exercer son droit de réponse. Nous le publions ci-dessous dans son intégralité :

Droit de réponse de l'Ordre national des infirmiersActuSoins a publié le 22 juin 2012 dans un article titré « Le syndicat Résilience fête ses 2 ans: notre but est de dézinguer l'Ordre infirmier», une interview de M. Hugues Dechilly qui affirme qu'un Ordre Professionnel «n'a aucune raison d'exister, notamment parce qu'il y a déjà des dispositifs règlementaires dans le public comme dans le privé, qui permettent de sanctionner les agents ».

Ces propos sont contredits par l'étendue des missions assumées par les Ordres Professionnels et notamment par l'Ordre National des Infirmiers. Selon les termes de la loi, l'Ordre des Infirmiers a notamment pour mission de maintenir les principes éthiques et de développer la compétence indispensable à l' de la profession, de promouvoir la santé publique et la qualité des soins, d'assurer la défense de l'honneur et de l'indépendance de la profession d'infirmier et d'en assurer la promotion. Aucun autre organisme n'est habilité par la loi à assurer de telles missions de service public.

En outre, les dispositifs règlementaires existants ne permettent aux employeurs de « sanctionner les agents» qu'à l'échelle de l'établissement public ou privé au sein duquel exercent les infirmiers concernés. Seules les chambres disciplinaires de l'Ordre ont la compétence, conformément à l'article L. 4312-5 du Code de la santé publique, pour sanctionner au-delà de ce périmètre restreint les infirmiers qui auraient commis une faute professionnelle et pour prendre les mesures qui s'imposent pour protéger les patients.

Il est également écrit que « l'Ordre infirmier a un fonctionnement opaque et farfelu» dans lequel (( règnent d'énormes ». Ici encore, ces affirmations sont vagues, inexactes, dépourvues de fondement et uniquement proférées dans un but de dénigrement de l'Ordre des Infirmiers.

D'une part, les missions des Ordres professionnels sont encadrées par la loi et contrôlées par le Conseil d'Etat. A ce titre, l'Ordre des Infirmiers exerce ses missions dans le même cadre juridique que les Ordres des professions médicales, auquel la loi du 21 décembre 2006 créant l'Ordre des Infirmiers renvoie à de multiples reprises. De très nombreuses décisions de justice y compris très récentes l'ont confirmé. A l'image des autres Ordres professionnels, le fonctionnement de l'Ordre National des Infirmiers est transparent et conforme aux règles en vigueur.

D'autre part, le risque de conflits d'intérêts est prévenu par le recours au principe de l'élection des conseillers ordinaux et non à leur nomination. Il existe également des règles d'incompatibilité auxquelles l'Ordre est soumis (notamment, les fonctions de Président de la commission de contrôle des comptes et placements financiers du Conseil National sont incompatibles avec les fonctions exécutives au sein du Conseil national, régional ou départemental, ou encore, un Président de Conseil de l'ordre ne peut occuper une fonction équivalente au sein d'un syndicat).

S'agissant des chambres disciplinaires, celles-ci sont présidées par un magistrat de Tribunal administratif ou de Cour administrative d'appel nommé par le Vice-président du Conseil d'Etat, ce qui est une garantie d'objectivité et d'impartialité.

Enfin, il est écrit que des dizaines de dossiers prouveraient que l'Ordre des Infirmiers «va à l'encontre des professionnels de terrain et des règlementations en vigueur» et, concernant spécifiquement une infirmière libérale exerçant à Marseille, que « l'Ordre infirmier régional a couvert ses pratiques car il y avait conflits d'intérêt pour un, voire plusieurs représentants ».

Ces affirmations sont fausses, une fois de plus, et il aurait été souhaitable que les lecteurs aient été informés des éléments suivants pour bénéficier d'une information complète et objective.

D'une part, malgré les tentatives du syndicat Resilience qui introduit avec acharnement des procédures judiciaires à l'encontre de l'Ordre, aucune décision de justice n'a considéré que le fonctionnement ou les de l'Ordre des Infirmiers ne respectaient pas les règlementations en vigueur.

D'autre part, concernant le cas particulier cité en exemple, il convient de rappeler que « l'expérience hospitalière requise» pour exercer en libéral ne relève pas du contrôle de l'Ordre mais de celui des caisses d'assurance maladie. Par ailleurs, l'accusation d'immobilisme de l'Ordre est inexacte puisque la chambre disciplinaire de 1 ère instance des régions PACA Corse, puis la chambre disciplinaire nationale saisie en appel, ont condamné disciplinairement l'infirmière en cause (par une décision rendue publique le 12 juin 2012, la chambre disciplinaire nationale l'a condamnée à une interdiction temporaire d'exercer d'une durée de deux mois dont un mois avec sursis).

Didier Borniche, président de l'Ordre national des infirmiers

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Réactions

36 réponses pour “Droit de réponse de l’Ordre national des infirmiers”

  1. syndicat RESILIENCE dit :

    monsieur Borniche, président de l’ordre infirmier, veut des précisions, notre adhérente lui en apporte :

    Monsieur le Président,

    A la suite du communiqué « Droit de réponse » publié par vos soins sur le site Internet du Magazine Actu Soins du mois de juillet 2012, je tiens à apporter les précisions suivantes sur

    cette procédure ordinale marseillaise qui semble vous avoir échappée en partie.

    Dans ce communiqué, vous affirmez que cette « infirmière » a été condamnée en première instance à Marseille, puis en Appel à Paris sans même détenir l’assurance qu’elle dispose de l’expérience hospitalière requise pour exercer en libérale sur le territoire national, alors que née à Marseille, elle dispose seulement d’un diplôme Italien délivré un 14 juillet, suivi d’une installation immédiate en libéral à Marseille (28 jours plus tard). De mon avis, selon la Directive 77/452/CEE du Conseil, du 27 juin 1977, visant à la reconnaissance mutuelle des diplômes, certificats et autres titres d’infirmiers responsables des soins généraux d’une attestation d’exercice de trois années dans le pays d’obtention dudit diplôme, cette dame qui ne dispose d’évidence pas de cette attestation au regard de son diplôme et de son installation à Marseille ne peut revendiquer exercer légalement en France en tant qu’infirmière. Je prends acte que le contrôle des diplômes infirmiers et la vérification de leur légitimité pour exercer en libéral ne sont donc pas du ressort de l’ordre des infirmiers mais des caisses d’Assurance Maladie. J’ai du me méprendre en croyant que la délégation de service public découlant de la Loi portant création de l’ordre des Infirmiers incluait cette vérification me semble t’il indispensable avant de permettre à cette personne d’exercer cette profession réglementée, en lui attribuant si facilement un numéro officiel d’agrément et son inscription au tableau de l’ordre national des Infirmiers de France.

    S’il est exact que cette personne a bien été condamnée à plusieurs reprises, permettez moi néanmoins de m’insurger contre cette déclaration très incomplète qui va à l’encontre de mes intérêts alors même que vous précisez dans ce droit de réponse que vous aimeriez que les lecteurs « d’Actu soins » et par ailleurs le public soient informés au mieux de l’affaire rapportée par le président du syndicat résilience auquel j’ai du adhéré soit dit en passant, en derniers recours sur les conseils éclairés d’un ex conseiller de l’ordre infirmier marseillais, membre d’un syndicat, ce dernier voyant mon dossier quelque peu maltraité.

    Ma plainte visait en 2009 et ce jusqu’à preuve du contraire, la gérante d’un cabinet de soins infirmiers installée dans les locaux d’une société commerciale sous forme d’une Eurl, un commerce de photocopies et de soutient de bureau, celle-ci se prétendant infirmière déclarait effectivement un revenu d’infirmière libérale pour échapper à la TVA. N’ayant en réalité aucune activité infirmière sur le terrain, pour ne pas être poursuivie pour absence de diplôme, elle se contentait d’encaisser des prestations de soins infirmiers qu’elle détournait lors de la télé déclaration à la CPAM qu’elle effectuait pour ses 15 collaboratrices, tout cela durant des années, sinon depuis 2001. Je passe ici sur les autres infractions bien connues du conseil. La sanction infligée à cette gérante multi carte par la chambre disciplinaire marseillaise fut de seulement lui enjoindre de s’abstenir de continuer ces vilaines pratiques pendant une quinzaine de jours ! Je cherche à comprendre où étaient l’utilité et l’exemplarité de cette sanction ordinale, son besoin d’affichage dans les bureaux de l’ordre, sa notification au Préfet des Bouches du Rhône, au Procureur de la République, au Ministre de la Santé, ainsi qu’à la CPAM étant donné qu’une erreur matérielle s’était malencontreusement glissée en première page dans le nom de la condamnée. Au regard de ce que cet avantage providentiel procurait à la condamnée, cela ne risquait au demeurant pas d’intéresser grand monde, la condamnation d’une infirmière qui n’existe pas ! Mais vous me direz, que je ne suis peut être qu’infirmière et que sur le fond, tout cela m’échappe un peu.

    J’avais déposé plainte contre cette personne en 2009 principalement pour m’avoir empêcher d’exercer durablement mon activité d’infirmière en remplaçant pendant la nuit les serrures de la porte du cabinet Infirmier que je louais à une SCI dont elle était par ailleurs aussi la gérante. De part cette voie de fait, totalement illégale, elle m’interdisait l’accès aux patients que j’avais en charge depuis 10 ans. Il en était de même pour les clefs de leur domicile, les dossiers de mes patients ainsi que les ordonnances. Dès lors m’intéressant de plus près à la gestion de l’entreprise, je découvrais de multiples accrocs et pas des moindres à l’exercice infirmier. Notamment, et principalement au regard de mon contrat de collaboration que cette personne n’avait pas qualité d’infirmière libérale, ce que vous reconnaissez d’évidence, en renvoyant la charge de la preuve à la Caisse d’Assurance Maladie qui la défraie indûment. Cette pseudo infirmière marseillaise détournait donc tout ou partie des règlements des actes de soins que je pratiquais. A mon départ du cabinet en septembre 2009, elle me réglait tel un solde de tout compte tout ou partie de mes prestations en lieu et place de la Caisse d’Assurance Maladie des bouches du Rhône et ce de la main à la main, pour les mois de janvier à août 2009, ceci en dehors de toute comptabilité et en toute connaissance des responsables du conseil de l’ordre de Marseille. Le fait que ce soit une avocate spécialiste du droit des affaires qui servait d’intermédiaire à la remise des fonds avait du rassurer les responsables du conseil de l’ordre.

    Pour me réduire au silence et me contraindre à lâcher prise, cette personne va solliciter et obtenir moult attestations de ses collaboratrices. L’une portant diagnostic médical fut délivrée dans le cadre de son activité, cette infirmière Libérale DE déclarant sur l’honneur que j’aurais mis un patient en danger de mort, le tout présenté en justice et sans réaliser que ces attestations mensongères sur l’honneur émanées d’infirmières installées dans un cabinet ouvert illégalement, enfreignant entre autre l’interdiction de cohabitation d’un centre de soins avec une affaire commerciale. Ce cabinet disposait aussi d’enseignes commerciales au fronton de ses deux façades, d’imposants panneaux publicitaires multicolores plus dignes d’une Superette du Soins que d’un cabinet infirmier ordinaire. Je passe rapidement sur les tripatouillages de DSI, divers faux en écriture ou autres petits arrangements et sur les cafouillages du jugement rendu à Marseille, dont je relevais une « faute » évidente du Président de la chambre disciplinaire de première instance de l’ordre des infirmiers de Marseille.

    J’avais été surprise puis choquée de voir qu’un grand nombre des éléments de preuves appuyant mes accusations, dont un fort significatif de ce qui est totalement interdit dans notre profession déjà en main et donc connu du président de l’ordre marseillais, avaient été discrètement évacués de la procédure, au seul avantage de cette « gérante » de cabinet de soins infirmiers. J’admets que courroucée par de telles pratiques, cela m’avait amenée à déclarer devant les membres et l’auditoire de la chambre disciplinaire de première instance de Marseille, que cette personne était « protégée », ceci au grand dam du Conseil de la partie adverse qui s’offusquait de mon culot et non des mensonges répétés de sa cliente.

    En conséquence de quoi, j’ai du me résoudre à faire Appel de ce jugement qui me donnait en partie raison, ceci avec le fol espoir qu’à Paris, le respect des principes édictés sur votre site officiel internet, vitrine de l’ordre national Infirmier et le respect du Droit prédominaient et qu’une saine application du Code de la Santé publique et des règles déontologiques seraient au rendez vous pour l’honneur d’une profession mise à mal à Marseille.

    Il n’en sera rien ! Certes la sanction contre cette pseudo « infirmière marseillaise » sera multipliée par quatre. Mais là encore certaines pièces et erreurs de la procédure seront évacuées. Comme par exemple, ses aveux Judiciaires dans lesquels cette personne reconnaît par écrit devant la Cour d’Appel d’Aix en Provence avoir bien ouvert illégalement et en toute connaissance un second cabinet, ainsi que sa revendication faite par écrit au président du conseil de l’ordre de Marseille, lui confiant qu’elle m’avait payé des soins sur ses fonds propres en lieu et place de la Caisse d’Assurance Maladie des Bouches du Rhône de janvier à août 2009, ceci alors que seul un employeur peut payer un employé et se faire régler directement par son client, dans le cas d’espèce, la Caisse d’Assurance Maladie.

    Toutes choses qui non sanctionnées font que depuis novembre 2009, date de la cessation effective de ma collaboration avec cette personne, cette heureuse et bienveillante impunité lui permet ainsi qu’à ses 11 collaboratrices de continuer d’utiliser sans discontinuité un second cabinet fictif, sous enseigne Commerciale « les infirmières du XXX », un établissement de soins infirmiers mis arbitrairement à mon nom en janvier 2010 sur les Annuaires des professionnels de santé dont le plus important les Pages Jaunes sans que je sache qui en a été l’initiateur. J’ai bien entendu déposé plainte au procureur de la république de Marseille et à l’ordre infirmier qui reste sérieusement inactif face à ce détournement d’identité et de clientèle à mon endroit en ayant rien tenté, ni fait, pour faire cesser ce détournement qui perdure encore aujourd’hui.

    Des plus surprenant, la réponse de la Présidente de l’ordre infirmier de PACA & Corse à ma plainte du 20 juin 2012 contre ces 11 infirmières libérales, qui reste pour moi un monument de plaisanterie ordinale, celle-ci m’informant Doctement, que ma plainte ne sera traitée qu’après les vacances scolaires. Il est vrai que cela s’explique par le fait que la présidente est directrice de l’école infirmière de Marseille et qu’étant donné que ce détournement de ma clientèle perdure depuis 2009, il n’y a pas urgence selon elle, à remédier à ce désagrément bien connu. Ceci me confortant dans mon opinion d’inutilité d’un tel ordre infirmier qui n’est décidément qu’une chambre d’enregistrement prélevant un impôt supplémentaire de 75€, sans accorder aucun crédit aux dires de ses membres. Sauf à comprendre aussi, peut être qu’il n’est toujours pas très heureux encore en 2012 d’avoir maille à partir avec l’un des patronymes cités dans l’affaire sanglante dite de « la Guerre des Cliniques de Marseille ». Ceci expliquant peut être cela.

    Je suis navrée monsieur le Président de l’ordre national Infirmier d’avoir été un peu longue dans mon propos, voulant répondre à votre souhait de transparence, bien que consciente de peut être participer par mon mécontentement et cette prise de position, au naufrage de l’institution marseillaise que vous représentez, et d’un éventuel discrédit qui pourrait vous être reporté au regard de l’état qui vous a confié cette bien lourde charge, mais je n’ai pas vocation à subir plus longtemps les errements d’un système qui pour le moins n’est ni utile, ni très honnête, vous en conviendrez. Depuis 3 années que cette affaire perdure, je n’ai jamais été contredite, et encore moins reçue ni entendue par quiconque se revendiquant en responsabilité de l’ordre des infirmiers marseillais. Aujourd’hui, il me reste deux solutions. Aller injustement en Cassation, toujours à mes frais et ceux de la MACSF, pour faire reconnaître ce qui a été injustement évacué par la chambre ordinale en Appel, et exposer les errements imputables aux juges ordinaux du conseil de l’ordre infirmier, par une saisine directe du Conseil supérieur de la magistrature.

    A l’évidence et à ce stade, je vous pose directement la question Monsieur le Président : A quoi bon s’adresser à des conseillers de l’ordre infirmier fonctionnant ainsi, et en définitive en arriver à ne devoir plus accorder sa confiance qu’à une justice civile. Pour mémoire, l’Ordonnance Référé du 16 octobre 2009 du TGI de Marseille condamnait cette personne en considérant déjà sa gestion comme une « petite entreprise » et non pas « l’infirmière marseillaise » membre de votre ordre, dont on discute encore aujourd’hui, une appellation par ailleurs fort désobligeante pour la majorité de mes consoeurs Infirmières D.E travaillant à Marseille.

    Vous seriez assez aimable de bien vouloir me dire rapidement quelles dispositions vous comptez prendre pour faire cesser ce trouble intolérable porté à l’exercice de ma profession d’infirmière, et quelles sont les mesures que vous envisagez pour faire cesser la protection dont jouit cette multi gérante de sociétés de soins marseillais qui revendique un diplôme Italien non reconnu selon les directives CE de 1977 et qui à l’article 4 ne lui permet ni d’être inscrite à l’ordre que vous avez l’honneur de présider, et encore moins de diriger plusieurs cabinets pour lesquels elle emploie commercialement une quinzaine d’infirmières libérales, les obligeant à travailler en contravention avec les textes régissant l’exercice de la profession dont ceux du conseil de l’ordre, tout en me détournant la clientèle.

    Dans l’attente, d’une réponse par courrier tournant, ceci au vu des démarches pressantes me restant à accomplir, pour pallier à la « Vacance » de l’ordre Infirmier marseillais, je vous prie d’agréer monsieur le Président Didier Borniche, mes remerciements anticipés et mes salutations distinguées.

  2. Sansebastien dit :

    Je vois que ce sont toujours les mêmes qui se montent le bobichon!
    Décidément les chroniques qui évoquent l’Ordre infirmier sont réservées aux permanents de Résilience.
    Amusez vous bien!

    • moutarde dit :

      C’est vrai qu’en ce moment, tu ne peux pas en dire autant ou plutôt que l’ordre infirmier et ses suppôts rient plutôt jaune.

      • eusebe dit :

        On ne va pas accabler encore un peu plus un ami de l’ordre infirmier, ce ne serait pas déontologique.

      • moutarde dit :

        Justement ça tombe bien la gauche injustement accusée de tous les maux par certains sympathisants du sniil/oni a des propositions contre l’acharnement thérapeutique et la fin de vie voire même l’euthanasie.

        On est donc à RESILIENCE complètement en phase mais au cas par cas, avec ce concept du prendre soin en voulant mettre un terme à leurs souffrances qui n’ont que trop duré.

    • eusebe dit :

      Cher Sansebastien,
      nous sommes heureux de voir que, même quand les nouvelles sont mauvaises, tu gardes encore une certaine dose d’humour.
      En ce qui nous concerne, nous avons encore des projets pour ton organisation, que nous sommes en train d’affiner.
      Nous espérons que tu n’es pas trop déçu de n’être pas parvenu à asservir une profession à tes idées discutables, et à l’avoir vendue à une banque.
      Tu peux peut-être mettre ton énergie dans une action bénévole au sein d’une amicale des nostalgiques de l’ordre infirmiers où vous pourrez refaire le monde en grignotant des petits fours premier prix.
      A Résilience, nous regretterons tes écrits qui nous amusaient beaucoup.
      Nous espérons que tu puisses reprendre tes activités précédentes à l’avènement de la grande supercherie et que tu ne sois pas obligé de participer au remboursement de la dette que tes amis ont créée.
      Il va falloir apprendre désormais à ne plus pomper l’air aux infirmières et aux infirmiers et à user ton énergie créative à des tâches plus gratifiantes.
      Bon courage à toi!!

  3. onialapoubelle dit :

    Plus que jamais il convient de rappeler qu’avec ou sans cotisation l’ordre infirmier ça reste NON !

    • Norma Colle dit :

      ah oui il est écrit pour les formateurs «  »Formateurs
      Identifiés pour leur expertise et leur savoir-faire applicable, ils sont également
      sélectionnés pour leurs qualités de pédagogue » » »

      bien opaque tout çà…formateurs de la dite compagnie d’assurances qui prêchera évidemment pour l’absolue nécessité pour les salariés de contracter une couverture assurance , ou autres formateurs complètement indépendants de la dite assurance??

      Hum hum ….çà me semble bien vaseux cette affaire-là…

  4. moutarde dit :

    […D’autre part, le risque de conflits d’intérêts est prévenu par le recours au principe de l’élection des conseillers ordinaux et non à leur nomination…]

    borniche  continue à se foutre de nous..À quand remontent les dernières élections ? Quand sont prévues les prochaines ? Pour l’instant, les mauvais conseillers sont dans un registre  illégal/illégitime faute de mandat démocratique.
    J’attends avec impatience qu’1 IDE mis en accusation devant vos chambres mortifères à l’étage départemental ou régional soulève cette question !

    […D’autre part, concernant le cas particulier cité en exemple, il convient de rappeler que « l’expérience hospitalière requise» pour exercer en libéral ne relève pas du contrôle de l’Ordre mais de celui des caisses d’assurance maladie…]

    C’est beau ça… le grand borniche confirme en personne que l’ordre ne sert à rien qu’à faire moche et honte dans le paysage infirmier français !!!

    • la fee calome dit :

      Ce qui revient à dire que pour défendre les intérêts moraux et juridique de la profession infirmière, l’Ordre des Infirmières ne sert à rien. Sauf peut être à encaisser des cotisations pour engraisser des rentes de situation et des cumuls de mandats associatifs, syndicaux et/ou ordinaux. Et à favoriser certaines sociétés, notamment d’assurances professionnelles, en échange d’éventuelles contreparties.

    • Norma Colle dit :

      je cite ci-dessus:

      «  »[…Mr Borniche:D’autre part, concernant le cas particulier cité en exemple, il convient de rappeler que « l’expérience hospitalière requise» pour exercer en libéral ne relève pas du contrôle de l’Ordre mais de celui des caisses d’assurance maladie…] » »

      «  »Moutarde: C’est beau ça… le grand borniche confirme en personne que l’ordre ne sert à rien qu’à faire moche et honte dans le paysage infirmier français !!! » »

      et bien c’est ce que je me disais aussi …..l’ordre qui se dit être garant des compétences IDE reconnaît que la CPAM a les compétences pour juger la compétence et le droit de faire du libéral.Et comme le diplôme est enregistré par ADELI….quelles est donc la mission de l’ordre pour permettre aux IDE de travailler…..Que faut-il donc en plus? Je serai bien curieuse de savoir ,quelle missionquedalle » fait donc l’ordre?

    • onialapoubelle dit :

      C’est beau ça… le grand borniche confirme en personne que l’ordre ne sert à rien qu’à faire moche et honte dans le paysage infirmier français !!!

      Oui c’est beau comme jamais cela ne l’a été. Même le président de l’ordre arrive à s’emmêler les caducées. MDR.

  5. Norma Colle dit :

    Comment se fait-il que ce communiqué droit de réponse avec les réponses ne figurent pas sur le site ordinal??? Franchement ,je ne comprends pas!!!!!!! Pour une fois qu’un pseudo-dialogue pouvait enfin se faire sur le site ordinal……Ce genre de communication ferait-il tâche sur le site oniesque?

  6. syndicat RESILIENCE dit :

    RESILIENCE – 13 rue de Molsheim – 67000 Strasbourg.

    Madame, monsieur,

    vous ne le savez certainement pas mais depuis le 21 décembre 2006, date de l’instauration d’un ordre infirmier en France, vous êtes soigné par plus de 80% d’infirmières et d’infirmiers, en exercice illégal de leur profession. Profession qui pourtant, avec celle des pompiers, est une des premières à laquelle vous et des dizaines de millions de français, usagers de la santé, faîtes confiance et apportez spontanément votre soutien indéfectible !

    Aujourd’hui, madame, monsieur, ces plus de 450 000 infirmières qui refusent de cautionner les dérives et les manquements graves de l’ordre infirmier font appel à votre aide et à votre soutien : depuis plus de 5 ans maintenant, les infirmières et infirmiers que vous connaissez bien, soit en ville, soit en clinique ou encore à l’hôpital sont harcelés, menacés pour certains de perdre leur emploi parce qu’ils refusent, tout simplement, de devoir payer pour travailler, ce qui est un comble dans une profession en pénurie depuis de trop longues années.

    En effet, qui dit ordre professionnel, dit cotisation obligatoire pouvant aller jusqu’à plus de 500 euros par an comme pour les avocats par exemple ou encore 300 euros pour les médecins.

    Les infirmières, vous le savez, n’ont pas les mêmes salaires que ces professions souvent libérales. Et même à 1 euro symbolique par an, les infirmières refuseront encore et toujours de se soumettre à une instance qui, en 5 années de fonctionnement, a démontré ses insuffisances et a perdu toute crédibilité, définitivement, auprès de la profession.

    Alors dans l’opposition, les actuels responsables gouvernementaux nous avaient promis de mettre un terme à cette gabegie financière une fois aux affaires. L’ordre infirmier est en effet en déficit de plus de 13 millions et voudrait faire payer ses erreurs à des blouses blanches qui viennent d’apprendre que leur salaire déjà gelé ces dernières années, va de nouveau l’être pendant 5 ans, alors même que les heures supplémentaires sont rarement payées à l’hôpital public. Comme l’ensemble des français, les infirmières participent aux efforts imposés.

    Comme vous, madame, monsieur, les infirmières connaissent des fins de mois difficiles et comme vous, elles doivent assumer leurs responsabilités familiales tout en travaillant le jour, la nuit et souvent un week end sur deux, voire deux sur trois avec des horaires décalés et un rythme épuisant. Alors même à 30, 75 ou encore 150 euros, les infirmières disent encore et toujours non et non à cette taxe professionnelle qui ne dit pas son nom !

    C’est pourquoi, madame, monsieur, nous vous demandons d’appuyer notre demande auprès de monsieur le Président de la République en lui renvoyant gratuitement et par la poste le coupon ci-dessous après l’avoir rempli et signé, mis sous enveloppe et posté sans l’affranchir à l’adresse suivante :

    ___________________________________________________________________________

    Monsieur le Président de la République
    Palais de l’Élysée
    55 rue du Faubourg Saint Honoré
    75008 Paris.

    Je soussigné (nom et prénom),

    demande à Monsieur le Président de la République de donner satisfaction aux infirmières et aux infirmiers en abrogeant la Loi du 21 décembre 2006 instaurant un ordre infirmier en France, inutile et coûteux.

    Signature,

  7. la fee calome dit :

    Quel silence assourdissant !
    Même les plus fervents soutiens de monsieur Borniche se taisent ?
    Faut-il qu’ils soient enfin convaincus, eux aussi, des mensonges ordinaux du siège parisien qui les méprise au plus haut point en les laissant dans l’ignorance crasse des décisions les plus importantes prises depuis quelques semaines afin d’essayer, désespérément, de sauver les meubles de l’ordre infirmier.
    Avant que la banque BRED qui, propriétaire des locaux, ne les mette sur le trottoir avant la fin de 2012.

    • eusebe dit :

      Plus rien ne vient de l’excellentissime site parisien et de ses filiales syndicale et mutualiste.
      Et l’on entend plus non plus les cultissimes prédicateurs-aboyeurs pour qui, sans ordre, point de salut.
      Le président-sauveur oeuvrerait-il désormais en solo ?
      Pour l’oni, c’est véritablement l’été de tous les dangers…

  8. infirmier masque dit :

    Lu sur Résilience :

    De : henri-michel.journaliste
    Envoyé : lundi 23 juillet 2012 17:25:07
    À :

    Ce communiqué de l’ordre national Infirmier est des plus sympas. L’infirmière
    marseillaise en question est condamnée à PARIS sur 1/3 des accusations qui étaient
    portées contre elle et que le conseil de l’ordre marseillais ne voulait pas discuter…
    . Le plus gênant, étant évacué de la procédure comme vulgaires scories de procédure. Par
    exemple le fait d’ encaisser des actes de soins qui n’ont pas été effectués par l’infirmière qui les encaisse. Ou ne pas posséder de diplôme valide… ou gérer une
    quinzaine de collaboratrices, se servir d’un cabinet ouvert illégalement. Payer ses
    collaboratrices au (NOIR) Ect ect A Marseille avec les éléments de procédure à
    l’identique, cette infirmière avait été purement et simplement relaxée des principaux
    griefs découverts. Ce dossier maltraité à Marseille est entre les mains de Mme La
    Ministre de la Santé Marisol TOURAINE. Alors, Un ordre infirmier, OUI mais pour quoi
    faire ?

    > Message du 22/07/12 19:00

    • onialapoubelle dit :

      Ce soir y a notre « ami » Boularand qui fait des siennes sur le site de l’ordre. Savent plus quoi faire pour amuser la galerie.

  9. zobielamoucham dit :

    J’ai beau compter et recompter les chiffres n’ont donnés par l’ordre restent hallucinants. Ce sont plus de 40 millions d’euros qui leurs sont passés entre les mains depuis 2008 et ils en sont arrivés à ce point de misère financière ?
    Qu’ont-ils fait de tout cet argent versés par les infirmières, par les banques et par l’Etat qui leur a donné 1,5 millions pour organiser les premières élections qui n’ont coûté que 800 000 (où sont passés les 700 000 autres euros ?) ?
    Qu’en est-il du système informatique de l’ordre dont il se dit ici ou là qu’il aurait été abandonné car trop coûteux en frais de maintenance ?
    Qu’en est-il du code de déontologie jamais publié et tellement honteux qui est un copié collé de celui des pharmaciens et qui a coûté la bagatelle de presque 16 000 euros ?
    Monsieur Borniche est il réellement bénévole ou encaisse t-il les primes réservées aux fonctions présidentielles ?
    Pourquoi l’ordre infirmier continue t-il à payer des salaires à plus de 7 000 euros brut à ceux du siège parisien alors qu’ils sont inutiles et coûteux et qu’il n’a plus un euro en caisse ?
    Le fichier ordinal visible par tous sur @ contient le nom des infirmiers décédés depuis et l’ordre continue aussi à leur envoyer des rappels de cotisation !
    Non et non : mort à l’ordre infirmier et vive Résilience.

  10. hugues dechilly dit :

    Je demande à l’ensemble des contre ordistes, à commencer par ceux de RESILIENCE, de ne pas insulter l’ordre infirmier sur ce forum et sur les autres. La procédure est aussi un moyen de gagner de l’argent lorsque les caisses sont désespérément vides. Le positionnement de l’ordre suffit, lui seul, à le décrédibiliser encore un peu plus. Nous savons tous que l’aventure ordinale touche à sa fin, monsieur Borniche le premier, et seule la gesticulation peut permettre de masquer les derniers spasmes ordinaux.
    Pour le reste, RESILIENCE publiera un communiqué en temps voulu.
    En attendant, le moyen le plus efficace de s’en débarrasser reste l’étouffement financier :
    avec ou sans cotisation, l’ordre infirmier c’est encore et toujours NON !

  11. onialapoubelle dit :

    Lorsque je lis ce torchon de l’ordre infirmier je me dis que décidément cet ordre n’a rien à faire dans notre profession. De par son positionnement à l’encontre des infirmières et dès le départ, l’oni est voué à l’échec. Monsieur Borniche tout aussi honteusement cherche par tous les moyens à détourner l’attention sur ses méthodes de gouvernances ordinales dont nous savons tous ce qu’elles sont : le mensonge, la tricherie, la menace. Cette méthode fait que beaucoup de conseillers ont préféré démissionné ce qui arrange encore plus monsieur Borniche qui veut à tous prix étouffer la contestation au sein de son propre camp et qui met sous tutelle à tour de bras pour mieux contrôler et arnaquer comme on fait avec les p’tits vieux séniles qu’on veut faire passer pour des cons.
    Aux questions posées ci-dessus par zobielamoucham je réponds oui sans hésitation à toutes car Résilience dont je suis membre possède bien évidemment les documents qui prouvent et qui gênent monsieur Borniche. Certains de ces documents sont même entre les mains de la justice dans des dossiers qui ne tarderont plus à péter aux narines de monsieur Borniche. Ce même président de l’ordre dont certains conseillers nationaux remettent encore en cause la légitimité de sa prise de pouvoir il y a pile un an lorsque madame Leboeuf a démissionné fatiguée de toutes les saloperies que monsieur Borniche and C° passaient leur temps à lui mettre sous les pieds pour mieux la faire vaciller. Idem a été fait avec le président Vasseur qui s’est sauvé au bout de trois semaines quand il a compris dans qu’elle merde il avait fourré les pieds. Borniche a eu tout beau jeu d’arriver comme le sauveur et de mettre en avant ses accointances politiques et bancaires lui qui se targue ici et là d’être bien placé au sein de la BRED la banque de l’ordre. L’épisode du fax l’Elysée en pleine nuit et des courriels adressés par monsieur Borniche dans les heures qui ont suivi pour asseoir sa nouvelle présidence restera dans les mémoires.
    Mintenant quid des formations dispensées par l’association des infirmiers dialyseurs dont madame Borniche est directrice générale et dont monsieur Borniche est président ? Est-il déontologique quand on se veut au dessus des lois et que l’on prétend être une référence morale de continuer à cumuler les responsabilités ? Quid des arrangements entre cette association et la MACSF qui prête ses loaux dans le 92 pour dispenser des cours à 402 euros les deux jours sur la responsabilité professionnelle et bizaremment les chambres disciplinaires et l’ordre infirmier ? Monsieur Borniche osera t-il dire que c’est faux alors que ces infos circulent librement sur @ ?
    Quels sont les engagements personnels de monsieur Borniche et des autres membres de l’oni envers la BRED pour que celle ci continue à financer un puit sans fond ? Où sont les intérêts infirmiers dans cette mafia politico financière qui ne dit pas son nom ?
    Enfin sur l’épisode marseillais qui fait tant de mal à l’ordre et qui fait hurler de rire chez Résilience 8 nouvelles pages de documents sont tombées hier. C’est à se pisser dessus tellement c’est drôle. Enfin pas pour tout l monde. On comprend donc pourquoi le procureur traîne des pieds pour ouvrir la seconde enquête et pourquoi l’ordre marseilliais est opportunément parti en congés.
    Longue vie à Résilience !

  12. Norma Colle dit :

    @je cite: » »Il est également écrit que « l’Ordre infirmier a un fonctionnement opaque et farfelu» dans lequel (( règnent d’énormes conflits d’intérêts». Ici encore, ces affirmations sont vagues, inexactes, dépourvues de fondement et uniquement proférées dans un but de dénigrement de l’Ordre des Infirmiers.

    D’autre part, le risque de conflits d’intérêts est prévenu par le recours au principe de l’élection des conseillers ordinaux et non à leur nomination. Il existe également des règles d’incompatibilité auxquelles l’Ordre est soumis (notamment, les fonctions de Président de la commission de contrôle des comptes et placements financiers du Conseil National sont incompatibles avec les fonctions exécutives au sein du Conseil national, régional ou départemental, ou encore, un Président de Conseil de l’ordre ne peut occuper une fonction équivalente au sein d’un syndicat). » »

    fonctionnement opaque….e certes:où sont les bilans financiers?

    Elections des conseillers ordinaux….ah oui? Tiens donc il me semble qu’il y a peu certains d’entre vous ont été reconduits d’office!

    « Il existe des règles d’incompatibilité…etc… »….ah oui? règles bien détournées en abandonnant des présidences syndicales pour des fonctions tout aussi importante dans les syndicats…et le tour de passe passe est joué! Comment de targuer d’être syndicaliste FNI et conseillers ordinal….?

    D’autre part encore une fois il en ressort quoi de cet article:la fameuse fonction disciplinaire!! Comment disiez-vous? Donner du rêve aux IDE? Ah bon vous savez y faire …ah ah ah ah

  13. misseprouvette dit :

    Je résume tout ce que l’on dit sur vous et votre institution, Monsieur.
    Malhonnêteté, mafia,menaces, intimidations, maladresses, traîtrise, chantage, incompétence, maltraitance du monde infirmier…….voilà tout ce que vous représentez aux yeux des professionnels de la Santé ! Il y a de quoi avoir HONTE vous ne pensez pas?
    A vous entêter de la sorte, vous vous ridiculisez de plus en plus et de jour en jour. Vous vous enfoncer dans la débilité la plus profonde et je vous invite à poursuivre ainsi. Vous êtes en train de signer votre arrêt de mort et de faire agoniser cet horrible ONI. Nous nous réjouissons car bientôt justice sera rendue et elle sera obligatoirement en notre faveur. Au cas échéant nous en conclurons qu’elle n’existe plus…la vraie, l’authentique justice.
    Bon courage, Monsieur le Président, vous en aurez besoin. Vous savez que nous sommes de plus en plus à nous mobiliser contre la triste institution que vous représentez . Nous sommes loin d’être des ignares et des fainéants …….forcément la lutte sera pour vous de plus en plus difficile.
    Méfiance!!!

  14. moutarde dit :

    […Ces propos sont contredits par l’étendue des missions assumées par les Ordres Professionnels et notamment par l’Ordre National des Infirmiers…]

    Assumée ? Lesquelles ?  Dans les faits, pas sur le papier…

    […Seules les chambres disciplinaires de l’Ordre ont la compétence, conformément à l’article L. 4312-5 du Code de la santé publique, pour sanctionner au-delà de ce périmètre restreint les infirmiers qui auraient commis une faute professionnelle et pour prendre les mesures qui s’imposent pour protéger les patients…]

    Dans tes rêves … La chambre mortifère n’est compétente que pour les seuls inscrits 🙂 c’es à dire pour 1 IDE / 5…. à contrario de la justice républicaine.

    [… De très nombreuses décisions de justice y compris très récentes l’ont confirmé…]

    Pas du tout, les décisions ont été rendues sur la forme et non sur le fond et d’ailleurs le syndicat Résilience – lui- en a publié un référé.

  15. denis29 dit :

    Et bien,Mr Borniche ,jusqu’au bout ,vous irez…C’est vrai que celà a quelque chose de pathetique qui pourrait même forcer la compassion ,sinon la sympathie…si seulement vous n’aviez pas été aussi ignobles avec les infirmier(e)s resistant à vos injonctions : rappelons nous les menaces, les insultes,les mensonges,les pressions,les tentatives pour effrayer les etudiants avant même la sortie des ISFI.
    Non ,décidement vous ne pouvez pretendre representer la profession et surtout pas vous poser en garants de sa bonne moralité.
    Si votre casier judiciaire est vierge , monsieur, je connais bien des gens dont ce n’est pas le cas mais qui ont une bien plus haute consideration pour la morale que vous et vos sbires.
    Non ,vous n’avez pas l’étoffe pour representer ceux qui travaillent quotidiennement auprès des malades et qui sont notre fierté.
    Vous nous faites juste honte.

  16. infirmier masque dit :

    Monsieur le Président de l’ordre honteux et mafieux vient se plaindre des déclarations d’un syndicat infirmier ouvertement contre l’ordre et créé uniquement pour le dézinguer.
    Comment dès lors s’étonner des propos et des affirmations diffusées par Résilence basés sur des faits réels et des dossiers documentés ?
    En deux années d’activité contre ordinale Résilience n’avait jamais été démenti avant aujourd’hui !
    Il faut donc que monsieur Borniche et ses amis soient dans la mouise et poussés dans leurs derniers retranchements pour essayer vainement de jouer les vierges effarouchées alors qu’en coulisse lui et ses amis sont de véritables tontons flingeurs !
    Madame Leboeuf en porte encore les traces dans le dos.
    Mort à l’ordre infirmier et vive Résilience.
    Et même pas peur.

  17. eusebe dit :

    Quelle mouche a donc piqué le président pour s’enfoncer de la sorte ?
    Ses petits copains sont-ils en accord avec lui pour ce désastreux droit de réponse ?
    Le président n’a t-il pas un peu l’impression que les infirmiers ne sont plus dupes de cette grosse farce ?
    Le président ne regrette t-il pas de ne pas avoir laissé mourir l’oni en cette fin juillet 2011 au lieu de s’autoproclamer grand manitou sauveur ordinal ?
    Le président n’aurait-il pas oublié de faire état des finances de son organisation et de publier son bilan comptable ?
    Le président n’a t-il pas le désagréable sentiment que ça sent de plus en plus fort le sapin pour ce qui devait être une avancée historique pour la profession ?
    L’ordre infirmier ne représente plus que les derniers décrétés-élus qui s’accrochent encore à lui avec désespoir, mais en aucun cas les membres d’une profession qui désire, par dessus tout en finir avec lui !

  18. ridfa69 dit :

    triste fin pour une triste institution
    un peu de dignité, ils utilisent un droit de réponse alors qu’il devrait se cacher submerger de honte.
    Vous et vos sbires vous en avait fait souffrir des infirmieres par copinage tentavive de rackette chantage et melange des genres
    honte à vous et à votre garde rapproché de pseudomafieux

  19. zobielamoucham dit :

    L’ordre des infirmiers n’a pas publié ses comptes et ses bilans depuis janvier 2010 : vrai ou faux ?

    L’ordre des infirmiers n’a pas procédé au renouvelement des conseillers élus en avril, juillet et novembre 2008, après 3 ans de mandat : vrai ou faux ?

    L’ordre des infirmiers national et les chambres à punitions disciplinaires ont été renouvelés par décret le 22 novembre 2011 au journal officiel : vrai ou faux ?

    L’ordre des infirmiers a été obligé et contraint par sa banque de fermer ses succursales départementales faute de fonds suffisants pour payer ses secrétaires embauchées par dizaines sans même un sou en poche : vrai ou faux ?

    L’ordre des infirmiers a toujours une dette de plus de 10 millions d’euros enver sa banque la BRED qui le tient par les roubignolles : vrai ou faux ?

    L’ordre des infirmiers a toujours une dette fiscale étalée sur 36 mois qu’il aurait du commencer à rembourser début mai 2012 pour un montant total de 1 049 000 euros : vrai ou faux ?

    L’ordre des infirmiers est criblé de dettes sur l’ensemble du territoire du fait du non paiement des loyers et autres factures impayées d’électricité, etc : vrai ou faux ?

    Monsieur Didier Borniche, président de l’ONi est aussi toujours président de l’AFDITN, financée par les labos de dialyse : vrai ou faux ?

    Monsieur Didier Borniche président de l’AFDITN organise des sessions de formations dans les locaux d’une célèbre compagnie d’assurance et le programme pédagoqique est en partie composé de cours sur l’ordre et ses chambres disciplinaires : vrai ou faux ?

    L’ordre infirmier a raccourci l’année de cotisation annuelle ordinale de 12 à 10 mois, la prochaine cotisation auront lieu en février et en décembre 2013 : vrai ou faux ?

    etc, etc, etc : vrai ou faux ?

  20. la fee calome dit :

    Monsieur Borniche a encore perdu une occasion de se taire. Il sait très bien que le mensonge est de son côté. Il sait très bien de quoi les sujets abordés par Résilience sont faits et comment ils sont documentés. Il vient de se prendre une baffe magistrale et ministérielle en utilisant abusivement l’image de madame Touraine sur son site « constructif » alors que le contenu de cet échange était autre. Il nous a habitué, avec madame Leboeuf dont il était de tous les rendez vous au ministère sous Xavier Bertrand, à n’entendre que ce qui sonne agréablement à son oreille, c’est à dire le contraire de la réalité. L’Ordre des Infirmières est lancé dans une fuite en avant qui verra, n’en doutons pas, la fin ordinale. Ses dirigeants seront, à leur tour, traduits devant les tribunaux du peuple. N’en doutons pas, non plus. La seule méthode employée par l’Ordre Infirmier en départemental et en régional prend ici son vrai visage au national : l’intimidation, la menace et le chantage. Cela ne dure qu’un temps et il est révolu.

  21. Out dit :

    Bon, une demi page avec même pas une demi nouveauté.
    soins palliatifs ou méthode Coué?
    Au revoir…

  22. eusebe dit :

    Le droit de réponse utilisé par M. Borniche ressemble à un aveu d’impuissance et à un pathétique chant du cygne : l’ordre infirmier est mort, ses opposants ont eu raison de cette organisme inutile et qui a tant desservi la profession.

  23. cedr1c dit :

    Les actions en justice qui découleront de ces abus vont encore contredire tristounet.
    Il y a peu, cette même personne affirmait avoir eu un rdv constructif avec la ministre avant de se faire dezinguer publiquement.

    L’ordre montre une fois de plus qu’il est à coté de la plaque. Peut être est il plus inspiré lorsqu’il s’agit de magouilles autour d’un logo…

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