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  • À Rennes, étudiants infirmiers anesthésistes et internes d’anesthésie-réanimation sont formés aux facteurs humains

    Depuis le début de l’année, au CHU de Rennes, étudiants infirmiers anesthésistes et internes d'anesthésie-réanimation bénéficient ensemble de sessions de formation aux facteurs humains au cours de leur cursus. Une première, qui devrait permettre d’améliorer la communication et éviter les événements indésirables, dans les blocs opératoires notamment.
  • Des infirmiers au sein de la Société française d’anesthésie et de réanimation

    Née en 1982 de la fusion de la Société française d'anesthésie d'analgésie et de réanimation (SFAAR) et de l'Association des anesthésistes français (AAF), la Société française d’anesthésie et de réanimation (SFAR) a créé en 2002 un Comité "infirmiers de réanimation". Le point avec Claire Fazilleau, la présidente de ce comité, également Cadre supérieure de santé au département Réanimation Anesthésie Médecine péri-opératoire à la Pitié-Salpêtrière.
  • Mieux comprendre l’anesthésie générale

    L’anesthésie est un acte médical extrêmement fréquent et actuellement très sécurisé. Zoom sur le déroulé de l’anesthésie, les techniques utilisées et les complications possibles.
  • Soins critiques : les secteurs d’anesthésie/salles de réveil sont “indissociables” des plateaux techniques, estime le CNP ARMPO

    Le Conseil national professionnel d'anesthésie-réanimation et médecine péri-opératoire (CNP-ARMPO) s'inquiète de ne pas lire dans la feuille de route d'application des décrets encadrant les soins critiques, proposée par le ministère des solidarités et de la santé, l'intégration explicite des secteurs d'anesthésie/salles de surveillance post-interventionnelles dans les plateaux de soins critiques. 
  • Montpellier : une IRM en jeu pour limiter l’anesthésie générale des enfants

    Le CHU Gui de Chauliac, à Montpellier, a installé une ''IRM en jeu'' dans son département d'imagerie neuro-pédiatrique. En familiarisant les enfants avant le véritable examen, cet équipement vise à réduire fortement le nombre d'anesthésies générales.
  • La prise en charge spécifique de la personne âgée en service de chirurgie

    La prise en charge de la personne âgée en service de chirurgie est devenue une préoccupation majeure et relève de l’interdisciplinarité entre le médecin anesthésiste, le chirurgien, les infirmières et aides-soignantes. Aux manifestations du vieillissement physiologique, viennent se greffer des facteurs de risques comme les maladies chroniques. Outre la surveillance postopératoire et la prise en charge de la douleur, le rôle de l’infirmier est d’encourager et de stimuler la fonctionnalité de la personne âgée.

  • « La seringue électrique doit toujours être agitée après sa préparation »

    Cadre infirmier anesthésiste au Samu 91, rattaché au Centre hospitalier Sud Francilien (Essonne), Bruno Garrigue a dirigé un travail de recherche émanant du terrain : l’évaluation des concentrations et de l’homogénéité des principes actifs dans une seringue électrique.
  • Voyage en réalité virtuelle

    Les soignants du centre hospitalier de Seclin, dans le Nord, proposent aux patients de pratiquer l'hypnose conversationnelle associée à la réalité virtuelle. Une pratique qui réduit l'anxiété, la douleur... et l'utilisation de certaines thérapeutiques. Cet article a été publié dans le n°39 d'ActuSoins Magazine (décembre 2020). 
  • Rachianesthésie et Anesthésie péridurale

    Souvent confondues, la rachianesthésie et l’anesthésie péridurale sont deux techniques d’anesthésie loco-régionale médullaire bien différentes, aux indications distinctes. D’une manière générale, elles permettent de diminuer la morbi-mortalité, d’améliorer la prise en charge de l’anesthésie et d’optimiser la réhabilitation post-opératoire.
  • Complications post-opératoires : le tabagisme accroît considérablement le risque

    Les fumeurs de cigarettes courent un risque beaucoup plus grand que les non-fumeurs d'être atteints de complications postopératoires, dont de troubles de la fonction cardiaque ou pulmonaire, d'infections et de retards ou de troubles de la cicatrisation, alerte l'OMS dans un communiqué.