Archives

  • Deux nouveaux protocoles à l’AP-HP pour l’attractivité et le recrutement

    L'AP-HP (Assistance publique-hôpitaux de Paris) a signé avec SUD et la CFDT deux protocoles relatifs à l'organisation du temps de travail, aux temps de repos et au recrutement. Objectifs : favoriser l'attractivité et privilégier l'emploi statutaire. 
  • “Infirmière en chef au niveau gouvernemental” : l’ANFIIDE soutient une recommandation de l’OMS

    Membre du Conseil international des infirmières (CII), l'Association nationale française des infirmières et infirmiers diplômés et des étudiants (ANFIIDE), souhaite la création d'un poste "d'infirmière en chef au niveau gouvernemental", comme l'a préconisé l'OMS dans un rapport de 2020. 
  • Protocoles de coopération aux urgences : un premier bilan positif pour les infirmiers

    Le rôle des infirmiers aux urgences, hospitalières et préhospitalières, se diversifie par le biais de protocoles de coopération sanitaire. Les IDE impliqués dans deux d'entre eux les ont présentés lors du dernier congrès de la Société française de médecins d'urgence (SFMU), début juin.
  • Soignants : une période d’essai ne peut pas être rompue par l’employeur s’il y a discrimination

    Sur les réseaux sociaux, l’équipe d’ActuSoins a vu passer le témoignage d’une infirmière salariée qui exprimait son désarroi : sa période d’essai aurait été rompue suite à un arrêt maladie de 48h en lien avec un viol subi dans le passé. Connaissant la situation, la cadre supérieure aurait justifié la fin de la période d’essai en indiquant à l’infirmière qu’elle était « trop fragile psychologiquement » pour continuer.
  • Vers une pratique avancée pour les infirmières hygiénistes ?

    Une proposition du rapport Pittet sur l'évaluation de la gestion de la crise sanitaire suggère de créer une pratique avancée infirmière en prévention et contrôle de l’infection, qui correspondrait à une évolution du rôle des infirmières hygiénistes. Un projet soutenu par la Société française d'hygiène hospitalière, qui le défend auprès des pouvoirs publics.
  • A Marseille, un Bus méthadone pour remettre sur les rails

    Depuis vingt ans, le Bus méthadone sillonne Marseille. Sa maraude délivre des traitements de substitution aux consommateurs de drogue, leur cherche un logement pour la nuit et les suit. Cet article a été publié dans le n°38 d'ActuSoins Magazine (septembre 2020).
  • Grands blessés : une prise en charge complète aux Invalides

    Depuis Louis XIV, sa mission n’a pas changé. L’Institution nationale des Invalides accueille dans ses services de soins, militaires blessés de guerre, civils en rééducation mais aussi pensionnaires. Tour d’horizon de ce lieu unique en France où les équipes travaillent en pluridisciplinarité. Cet article a initialement été publié dans le numéro 38 d'ActuSoins Magazine (septembre 2020).
  • Troubles du comportement alimentaire : prévenir, repérer et agir

    En France, 600 000 jeunes adultes et adultes, principalement des femmes, sont touchés par les troubles du comportement alimentaire (TCA). Le 2 juin, une journée mondiale est dédiée à ces troubles pour les faire connaître et rappeler l’urgence à agir quand on y est confronté. Mais comment faire ? Nadine Satori, infirmière spécialiste clinique dans l’unité de soins des Troubles du Comportement Alimentaire du Groupe hospitalier universitaire (GHU) Paris Neurosciences et membre de la Fédération française anorexie boulimie (FFAB) nous éclaire.
  • Formation continue des infirmiers : qui décide et pourquoi ?

    Comme tous les professionnels de santé, les infirmières sont soumises à des obligations de formation. Dans les établissements hospitaliers, ce sont souvent les directions des soins qui, sur la base de remontées de terrain des cadres et du plan de formation de la structure, décident des formations auxquelles les infirmières participent. Ces dernières années, quelles sont les thématiques qui ont été davantage choisies pour les infirmières ? Cet article est initialement paru dans le n°38 d'ActuSoins Magazine (septembre 2020).
  • Médiation santé : à quoi ça sert ?

    Faire tomber les barrières, déconstruire les représentations, lever les freins… la médiation santé c’est tout cela et bien plus encore. En cours de professionnalisation depuis quelques années, cette fonction permet aux personnes éloignées de la santé et aux professionnels de mieux de se comprendre et donc se rapprocher. Cet article est initialement paru dans le n°38 d'ActuSoins Magazine (septembre 2020).