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  • Lutte contre l’anorexie mentale : le rôle crucial des infirmiers

  • L’hôpital d’Alès prend l’obésité à bras le corps

    Le centre hospitalier d'Alès s'est structuré pour proposer une prise en charge complète et assez poussée des personnes atteintes d'obésité qui doivent recourir à une chirurgie bariatrique. Une équipe pluridisciplinaire intervient dans le parcours préopératoire d'un minimum de six mois qui inclut aussi un suivi psycho-social et diététique avant après.
  • Accompagner au long cours des patients anorexiques mentaux

    Au sein de la clinique des maladies mentales et de l’encéphale (CMME) du Groupe hospitalier universitaire (GHU) Paris psychiatrie et neurosciences, une unité est dédiée à la prise en charge des troubles du comportement alimentaire (TCA), dont l’anorexie mentale. Au sein de la structure pluriprofessionnelle, les infirmiers proposent de nombreux ateliers aux patients dont ils sont référents. 
  • La Maison de Nora, un lieu adapté pour les personnes obèses

    La Maison de Nora est un lieu entièrement consacré aux personnes en surpoids et obèse pour les aider à changer leurs habitudes alimentaires et sportives, dans un environnement… beau. Ce qui en fait un lieu unique en France. Mais sa spécificité réside surtout dans son approche qui vise à écouter, prendre le temps et surtout considérer ces personnes.
  • La prise en charge spécifique de la personne âgée en service de chirurgie

    La prise en charge de la personne âgée en service de chirurgie est devenue une préoccupation majeure et relève de l’interdisciplinarité entre le médecin anesthésiste, le chirurgien, les infirmières et aides-soignantes. Aux manifestations du vieillissement physiologique, viennent se greffer des facteurs de risques comme les maladies chroniques. Outre la surveillance postopératoire et la prise en charge de la douleur, le rôle de l’infirmier est d’encourager et de stimuler la fonctionnalité de la personne âgée.

  • Sonde naso-gastrique : quand l’alimentation devient nutrition

    La nutrition entérale, utilisée lorsque l’alimentation orale est insuffisante ou impossible, consiste à administrer une solution nutritive directement dans l’estomac ou l’intestin à l’aide d’une sonde. Elle vise à couvrir les besoins nutritionnels et hydriques du patient. Zoom sur la technique de pose, la surveillance, la gestion des évènements indésirables et les bonnes pratiques de la sonde naso-gastrique.
  • La dénutrition à l’hôpital : les paramédicaux en première ligne

    Aujourd’hui en France, plus de deux millions de personnes sont dénutries. Les personnes les plus à risques sont les sujets âgés, celles atteintes de cancer, de maladie digestive ou d’affection chronique et les patients hospitalisés pour une longue durée. Comment dépister la dénutrition en établissement de soin et la prendre en charge ?
  • Diététiciens : une profession en situation de statu quo

    Réingénierie de la formation initiale, définition d’une nomenclature des actes diététiques, protection du terme « nutritionniste » : les diététiciens ont l'impression d'un statu quo et appellent le gouvernement à faire bouger les lignes. En jeu, selon eux : l’amélioration de l’accès aux soins et donc… de la santé de la population.
  • Le député Olivier Véran veut imposer le logo Nutri-score dans les publicités

    Dans des entretiens accordés au Parisien et à Europe 1 , le député LREM Olivier Véran, rapporteur général de la commission des affaires sociales, a indiqué qu'il souhaitait rendre obligatoire le logo Nutri-score sur tous les supports publicitaires. Objectif annoncé : lutter contre la malbouffe. 
  • Des infirmières sur le front de la nutrition

    Parce qu'elles forment leurs pairs au dépistage de la malnutrition ou rencontrent des patients atteints d'obésité, de diabète ou dont l'état de santé serait amélioré par un meilleur comportement alimentaire, cinq infirmières ont suivi (ou suivent) une formation universitaire en nutrition. A la clé : de nouvelles compétences et des changements de pratique.