Bataille de Clochemerle autour de l’Ordre infirmier

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Après la quadruple démission de quatre conseillers nationaux du collège libéral en septembre dernier, Emmanuel Adain, infirmier libéral à la Réunion, claque également la porte du Conseil national de l’Ordre infirmier (CNOI).

ordre infirmierCet ex-adhérent de l’ONSIIL a rejoint la FNI, organisation syndicale qui a demandé à ses adhérents de démissionner  de l’Ordre. « C’était attendu. Mais ce genre de débat est dommageable alors qu’il y a tant d’enjeux de santé publique et de chantiers en cours comme celle de la vaccination par les infirmiers qui font partie des rares professionnels de santé à se déplacer domicile des patients », indique Karim Mameri , secrétaire général du CNOI qui ne veut pas polémiquer.

Dans sa lettre de démission, Emmanuel Audain regrette « l’enthousiasme des débuts » reproche une « indifférence à l’égard des élus ordinaux et de nos missions essentielles » et des « comportements de gouvernance, qui sont devenus insupportables ».

Il invoque l’absence d’actions pour défendre la formation infirmière au niveau européen et de contribution à différents rapports dont celui de M. Edouard Couty sur le « Pacte de confiance pour l’hôpital », « l’incapacité » de la structure ordinale à émettre des avis sur les protocoles de coopération ou à publier un code de déontologie, le manque de réunions entre les différents échelons...

Des plaintes en cascade

« Concernant l’Ordre, précise Karim Mameri, nous sommes à une étape de consolidation. Avec l’augmentation notable des cotisations, nous allons pallier à certains manques. Nous allons ainsi mettre en place une vingtaine de contrats aidés dans les locaux régionaux pour offrir un service supplémentaire aux infirmières ».

La démission d’un conseiller ordinal fait en revanche le bonheur du syndicat Resilience, connu pour son opposition à l’Ordre. Hugues Dechilly, président de ce syndicat, annonce plusieurs actions en justice dont une auprès du TGI de Lyon contre un membre du Conseil national qui aurait, indique-t-il, « demandé à sa maman, institutrice en retraite, de s'abonner - chèque à l'appui - à Resilience pour pouvoir pénétrer la face cachée de notre site”.

Le syndicat signale par ailleurs « le dépôt d'un recours auprès du tribunal administratif d'Orléans » contre l’Ordre infirmier, une « demande d'enquête auprès de l'IGAS » et « l'envoi d'un recours auprès du Conseil d'État ». Les avocats ont du pain sur la planche…pour une bataille digne de Clochemerle !

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Réactions

70 réponses pour “Bataille de Clochemerle autour de l’Ordre infirmier”

  1. onialapoubelle dit :

    LU SUR RESILIENCE :

    contre l’ordre infirmier : un (très) joli mois de mai !

    toutes les infos cachées sur l’ordre infirmier sont sur RESILIENCE …

  2. onialapoubelle dit :

    LU SUR RESILIENCE :

    notre collègue et adhérent à RESILIENCE fait parler de lui et de son combat contre l’ordre, encore bravo pour sa belle victoire !

    http://www.lequotidiendumedecin.fr/actualite/adhesion-obligatoire-lordre-un-podologue-ouvre-une-breche

  3. Sansebastien dit :

    Ho putain! qu’ils sont longs leurs commentaires….
    Les permanents de chez Résilience ont vraiment du temps, si seulement ils pouvaient le consacrer à faire avancer un peu notre profession plutôt que de poursuivre un combat idéologique perdu d’avance.

    • onialapoubelle dit :

      Et si toi, fort en gu….., tu t’étais sorti les doigts du c.. pour faire avancer ton ordre au lieu d’attendre que çà vienne tout seul !

    • onialapoubelle dit :

      C’est sûr que quand on lit la prestation de Mammeri et consorts au Sénat en décembre 2012 … ça fait surtout pitié ! Alors tu vois où je veux en venir ?

  4. onialapoubelle dit :

    LU SUR RESILIENCE :

    ordre infirmier : 7 ans de malheurs diverses et variés !

    tout à déjà été dit, ou presque, sur les magouilles, les tripatouillages et autres malversations ordinales depuis la publication de la Loi du 21 décembre 2006 …
    la liste des plaintes déposées par le syndicat professionnel infirmier RESILIENCE est bien plus longue que les quelques exemples cités ci-dessus, nombre de dossiers sont actullement en cours de traitement devant les tribunaux, il appartiendra à la Justice – au nom du peuple français – de dire qui à tord ou raison …
    ce qui est plus que certain c’est que le bilan de l’ordre infirmier – toujours soutenu abusivement par, entre autre, sa banque – est minable sur bien des aspects : dettes financières à hauteur de 15 millions, passifs à hauteur de 84 millions, production intellectuelle nulle sauf un code débile de déontologie jamais publié (ouf !) au Journal Officiel de la République, procédures en cascades contre les opposants (en évitant soigneusement les centrales syndicales), discrédité auprès des parlementaires (voir la prestation affligeante devant le Sénat en décembre 2012), etc …

    une question toute simple : QUELS INTERETS les dirigeants de l’oni ont-ils à s’acharner de faire perdurer une structure vouée imanquablement à l’échec, si ne ne sont des intérêts et autres « petits » arrangements, purement financiers, entre l’oni et ses débiteurs ?

  5. onialapoubelle dit :

    Même le site pourtant très pro ordre d’infirmiers.com est obligé de faire sa fin de semaine sur le sujet ! C’est dire si l’ordre infirmier va pas bien du tout !

    http://www.infirmiers.com/actualites/actualites/ordre-infirmier-7-ans-de-desordre.html

  6. onialapoubelle dit :

    ORDINALEMENT CONSTERNANT : à lire impérativement pour être définitivement dégoûtée de l’ordre infirmier !

    http://www.senat.fr/rap/r12-480-2/r12-480-221.html

    • onialapoubelle dit :

      L’un est cadre de santé, l’autre est payé plus de 7000 euros mensuels par l’ordre infirmier pour quel résultat ?

      • eusebe dit :

        L’ordre infirmier qui parle des sectes, et de quelle façon : consternant !!!

  7. onialapoubelle dit :

    LU SUR RESILIENCE :

    l’ordre infirmier nuit
    gravement aux infirmières !

    Strasbourg – 1 mai 2013

    Adopté comme la journée de revendication des travailleurs par le Congrès International Socialiste au congrès de Paris en 1899, journée symbolique de la défense des droits des salariées, fête annuelle des syndicats, de tous les syndicats professionnels, petits ou grands, le 1 er mai 2013, vu la situation sociale française et l’environnement international sera morose, et, le Parti Socialiste a plutôt « la rose en berne », une année après son accession au pouvoir …

    Ce premier mai 2013 prend une saveur particulière pour RESILIENCE qui fêtera bientôt son troisième anniversaire et qui est résolument engagé dans la lutte contre l’ordre infirmier, pour la défense des infirmières … petit syndicat qui a tout d’un grand, n’en déplaise, animé par des bénévoles uniquement, débordant de motivation, RESILIENCE continue là où certains le donnaient pour mort dès le premier mois de mai 2010, RESILIENCE grandit quand l’ordre infirmier – réanimé à deux reprises – continue inlassablement de tomber, toujours plus bas, malgré les soutiens abusifs et les mensonges éhontés de ses dirigeants et de ses permanents parisiens salariés à plus de 7000 euros mensuels quand une infirmière plafonne à seulement 1800/2000 après 20 années de bons et loyaux services …

    Tout ou presque a déjà été dit – preuves à l’appui – par RESILIENCE sur les méfaits, les abus et les dysfonctionnements graves de l’oni … la justice du Peuple est saisie dans plusieurs dossiers importants, elle dira le Droit là où les chambres disciplinaires décrètent le tordu !

    RIEN ne fera taire RESILIENCE qui n’a pas peur de l’oni et de ses soutiens, JAMAIS nous ne baisserons les bras face aux tentatives d’intimidations, de chantage et autres abus, comme écrit par le président de la FNI dans son communiqué : « L’Ordre infirmier s’attaque à la liberté d’expression syndicale ».

    Nous vous donnons rendez vous les 14 et 15 juin 2013 à Vierzon pour les Journées Nationales de RESILIENCE.

    Bon premier mai à toutes et particulièrement à celles qui sont au chevet du patient.

    http://www.syndico.exprimetoi.net

    avec ou sans cotisation, l’ordre infirmier c’est encore et toujours NON !

  8. onialapoubelle dit :

    LU SUR RESILIENCE :

    COMMUNIQUE DE PRESSE
    L’Ordre infirmier s’attaque à la liberté d’expression syndicale
    La Fédération Nationale des Infirmiers et son président en particulier ont fait l’objet de deux
    plaintes, l’une déposée devant le Tribunal de Police de Paris pour « diffamation non publique »,
    l’autre auprès de la chambre disciplinaire de l’Ordre régional des infirmiers de Franche-Comté.
    L’événement que l’Ordre qualifie de diffamation non publique, à l’origine de ces procédures
    judiciaires et disciplinaires, est un courrier que la FNI a adressé, le 6 novembre 2012, à la
    ministre des Affaires Sociales et de la Santé. Cette lettre fait état de dysfonctionnements
    réguliers de l’Ordre qui ont des conséquences fâcheuses pour les adhérents de la FNI et qui
    sont illustrés par un exemple précis concernant l’Ordre départemental des Hauts-de-Seine.
    Le 13 mai prochain, la FNI et Philippe Tisserand, son président, comparaissent donc devant le
    tribunal de police de Paris au motif d’avoir alerté la ministre sur le non-respect des procédures
    d’inscription au tableau, comme des procédures réglementaires qui s’imposent à l’Ordre pour
    instruire ces demandes. Elle avait, en outre, sollicité une intervention ministérielle pour mettre
    un terme à ce que la FNI assimile à des abus de droits.
    En cette journée symbolique de célébration des combats syndicaux, la FNI observe que la lutte
    pour la liberté d’expression reste toujours d’actualité. La FNI considère que les procédures
    intentées par l’Ordre à son encontre constituent une atteinte grave à la liberté d’expression
    syndicale dans le cadre d’un débat d’intérêt général sur le fonctionnement de l’Ordre infirmier.
    En agissant ainsi, l’Ordre tente de porter atteinte au libre droit de critiquer son fonctionnement
    et au libre exercice du syndicalisme.
    Cette atteinte grave à la liberté d’expression syndicale est dénoncée dans une motion adoptée
    à l’unanimité par le conseil d‘administration de la FNI. Elle sera adressée à la ministre de la
    Santé, au Premier ministre ainsi qu’au défenseur des droits.
    Par cette motion, les membres de la FNI renouvellent leur soutien à leur président et engagent
    l’intervention de la FNI dans la procédure disciplinaire menée à l’encontre de Philippe Tisserand
    dans l’exercice de son mandat syndical.
    Contact presse :
    Fédération Nationale des Infirmiers

  9. plouf84 dit :

    compte tenu de la pauvreté des réactions, stupidement partisanes, parfois haineuses de façon gratuite, je suis profondément déçu.
    Aucun argumentaire construit
    des ragots
    des interprétations
    et oui, quelques copies de courriers de démission…..
    Beau dossier

    Je raye donc ce site et ce forum de mes listes, retourne à mes soins et comprends pourquoi nous resterons encore longtemps isolés les uns des autres.

    A ciao, bon courage dans vos combats respectifs…. et puis essayez de vous grandir en sortant de l’agressivité

  10. onialapoubelle dit :

    contre l’ordre infirmier, informons les parlementaires sur la triste réalité ordinale …

    à utiliser sans aucune modération :

    http://www.assemblee-nationale.fr/14/tribun/xml/liste_sites.asp

  11. onialapoubelle dit :

    RESILIENCE : conférence de presse à Paris le mardi 14 mai 2013 à 15h00

  12. onialapoubelle dit :

    LU SUR RESILIENCE :

    à

    Monsieur Borniche,
    président de l’ordre infirmier.

    copie à
    Madame la Ministre de la Santé.

    Envoi recommandé A/R

    Strasbourg, le 24 avril 2013.

    Monsieur le président,

    il m’incombe, aujourd’hui, de vous informer que parmi les très mauvaises nouvelles que vous recevez, il en est une qui nous réjouit particulièrement, car elle vient à point nommé.

    RESILIENCE et ses adhérents ont décidé de vous décerner le Beurk d’Honneur 2012. Il est à la profession infirmière ce que les parpaings sont aux Gérard du cinéma.

    Il récompense ainsi votre Gouvernance honteuse à la tête de l’ordre infirmier.

    Pas plus tard qu’hier, nous avons été sidérés de lire la lettre de démission de monsieur le conseiller national Adain, qui décrit par le menu, les magouilles, les tripatouillages et tout ce que RESILIENCE dénonce, au quotidien, des méthodes de l’ordre infirmier.

    Comme d’autres avant lui, notamment le 24 septembre 2012, dans une lettre toute aussi cinglante, les conseillers nationaux rejettent la Gouvernance mafieuse de l’ordre.

    Ainsi, les informations que nous relevons, de l’extérieur, sont aujourd’hui plus que confirmées par les révélations internes à l’ordre.

    Vous ne pouvez plus continuer ainsi à mentir à la profession sur les soit disant « comptes à l’équilibre » ou encore « progression du nombre d’adhérents » : l’ordre infirmier a perdu toute crédibilité et si les soutiens abusifs dont vous disposez venaient à vous lâcher, l’ordre serait mort depuis belle lurette.

    Nous avons en mémoire, le très grotesque épisode du fax à l’Élysée, en pleine nuit, de fin juillet 2011.

    Nous avons aussi bien rit lorsque, sans aucune pudeur ou retenue, vous décrétez la tenue des élections nationales, avant le renouvellement des conseillers départementaux et régionaux.

    Hier, aussi, monsieur votre secrétaire général, dans une interview diffusée par Actusoins Magazine, ne faisait pas autre chose que de dire le Droit en lieu et place du Conseil d’État !

    Aujourd’hui, RESILIENCE dépose plainte contre l’ordre pour escroquerie. Plusieurs autres plaintes pour des motifs aussi savoureux que l’usurpation de la qualité professionnelle d’infirmière à l’encontre de membres éminents de l’oni, ou de leurs proches, sont aussi en cours.

    La seule réponse aux opposants, comme moi ou d’autres responsables syndicaux infirmiers est votre propension à nous faire convoquer devant les tribunaux pour injure ou diffamation. De plus, lors des audiences, vous n’osez pas venir nous affronter directement, les yeux dans les yeux, envoyant ici ou là vos déléguées rétribuées jusqu’à 7000 euros par mois quand une infirmière de terrain plafonne à 1800 au bout de 20 années d’ancienneté.

    Dans une lettre, du 07 juillet 2011, dont nous avons eu à prendre connaissance, madame Leboeuf, la première présidente de l’oni, que nous avons combattu dignement, détaillait, elle aussi les manquements graves d’un président départemental dont le bilan ordinal était plus que maigre. Elle dénonçait le parasite qui profitait des autres tout en donnant la leçon. Les écrits successifs que nous sommes amenés à lire, encore hier, sont du même acabit et reprennent les mêmes idées : l’ordre infirmier est un saprophyte qui nuit plus à la profession infirmière et qui – comme jamais – a réussi à la souder, mais contre lui.

    Le 19 mars dernier, je suis allé, seul, me défendre au TGI de Paris où vous m’aviez assigné pour y répondre du délit d’injures publiques. J’y ai, somme toute, passé un très bon moment. Seul, car RESILIENCE n’a pas 14 millions d’euros de déficits et autres dettes accumulés, encore moins 84 millions d’euros de passifs que vous revendiquez bêtement car – jamais – vous n’en verrez le moindre centime, jamais !

    RESILIENCE saura, soyez en convaincu, le moment venu, vous inviter, à votre tour et vos amis aussi, à venir rendre comptes devant la justice du Peuple, celle qui mérite le respect quand la justice ordinale n’inspire que mépris et dégoût.

    La seule production intellectuelle de l’oni en 6 années d’existence est un code de déontologie, vulgaire copié collé, qui fait honte et misère de part son contenu et sa rédaction minable. Code de déontologie, heureusement jamais publié au Journal Officiel de la République.

    Recevez, monsieur le président Borniche, nos salutations syndicales, plus que jamais, déterminées.

    Hugues Dechilly,
    secrétaire général,

    infirmier diplômé d’État
    en exercice illégal et fier de l’être
    depuis le 21 décembre 2006.

    RESILIENCE – 13 rue de Molsheim – 67000 Strasbourg.

  13. hugues dechilly dit :

    tiens, sans sébastien …
    il est rentré de congés ? alors comment çà va dans le sud ? tu seras présent à Marseille ?
    j’espère bien voir ta tronche et celle de tes amis de l’ordre au tribunal !
    après tout c’est vous qui avez lancé l’invitation, mais fallait réfléchir avant,
    aujourd’hui, faut assumer 🙂 à tout bientôt 😉

  14. Sansebastien dit :

    Pour information,Quelques syndicalistes de Résilience s’exprimant dans cette rubrique:
    -onialapoubelle
    -Cedr1c
    -eusèbe
    -ridfa69
    ainsi qu’ hugues dechilly et syndicat bien entendu…
    Soit 19 post de onialapoubelle et 10 des autres…
    Donc au total 29 post sur 43, cela signifie que Résilience utilise ce site faire sa communication, par contre l’on ne sait toujours pas ce qu’il propose pour amèliorer nos conditions d’exercice.
    Mais c’est vrai, j’oubliais, Résilience est un syndicat anti Ordres, un point c’est tout. Il n’en a rien à faire de nos problèmes, il est seulement dans son idéologie d’aprés guerre 39/45…
    Avec ça, on est bien aidées!

    • eusebe dit :

      Cette démission ajoutée à celles des conseils départementaux mentionnées dans cette lettre est particulièrement plaisante : l’action (ou plutôt la non-action) du président des infirmiers est critiquée, comme le fut celle de madame Le Bœuf en 2011 (critiques auxquelles avait participé le président-sauveur actuel).
      Ce qui est par contre consternant, c’est de voir celui qui prétend représenter la profession, en défendre l’honneur, et en assurer la promotion, se faire ainsi humilier par quelqu’un qui était quand même bien placé pour l’évaluer.

    • ridfa69 dit :

      super sansebastien va faire ma fiche wikepedia
      , oublie pas suis syndiqué onsil aussi, je suis membre de DNF(droit au non fumeur) j ai une licence au badminton et je donne des cours de sefldefense pour les femmes.
      merci pour ton interet pour moi

    • onialapoubelle dit :

      Sansébastien t’es tellement nulle que tu me fais même plus rire 🙁 C’est pour quand la retraite ?

  15. onialapoubelle dit :

    LU SUR RESILIENCE :

    semaine folle qui n’est pas terminée, d’autres baffes à venir contre l’ordre infirmier, restez connectés !

    http://syndico.exprimetoi.net/t8576p30- … affe#40756

  16. Syndicat dit :

    ordre infirmier : çà part dans tous les sens, démissions à foisons et autres joyeusetés ordinales …

    deux baffes (non prévues mais de taille) distribuées par des membres éminents de l’oni au président Borniche (c’est juré, on y est pour rien, mais on aime quand même ) :

    reçu cet après midi la copie de la lettre de démission – toute fraîche – de la présidente du croi Auvergne, c’est pas écrit comme celle d’E.Adain, mais là aussi, çà vaut son très gros pesant de cacahuètes …

    reçu – aussi – cet après midi, la copie de la réponse de la ministre de la santé, adressée à une présidente de croi …nos opposants « pro ordre » iront encore raconter que nous sommes mal informés …

  17. onialapoubelle dit :

    LU SUR RESILIENCE :

    ordre infirmier : çà part dans tous les sens, démissions à foisons et autres joyeusetés ordinales …

  18. cedr1c dit :

    Ravi d’apprendre par des ordinaux que les médecins sont nos supérieurs hierarchiques.
    Il y a encore une démission d’une présidente de croi, avec toujours le même discours qui fustige Borniche, allié de la bred selon les propos de l’élue.

    Les critiques les plus virulentes vis à vis de cet ordre viennent de ceux qui l’ont connu de l’intérieur, c’est plutôt mauvais signe.
    Pour le reste, si vos petits sondages montrent que tout le monde veut de l’ordre, pourqoi pleurer lorsqu’on propose une inscription facultative?

    Pour le budget pharaonique du début, on constate juste que celui des frais de justice est encore en train de grimper. En gros, on menace des libéraux pour donner une cotisation qui servira à financer les frais de justice. Elle est ou la promotion de la profession dans ce fonctionnement?

  19. hugues dechilly dit :

    reçu – aussi – cet après midi, la copie de la réponse de la ministre de la santé, adressée à une présidente de croi …nos opposants « pro ordre » iront encore raconter que nous sommes mal informés … 🙂 😉

  20. hugues dechilly dit :

    reçu cet après midi la copie de la lettre de démission – toute fraîche – de la présidente du croi Auvergne, c’est pas écrit comme celle d’E.Adain, mais là aussi, çà vaut son très gros pesant de cacahuètes …

  21. MIGALOU dit :

    Personnellement une chose m’interpelle : on ne cesse de voir, encore et encore et toujours, les mêmes arguments antioniesques, sur ces IDE arlésiennes qui refusent soit disant « dans leur immense majorité » (!) cet ordre.
    Donc logiquement je devrais retrouver dans mon entourage professionnel cette même constatation du taux de refus, or avec une amie IDE nous avons voulu faire un sondage sur nos collègues, réunir nos données et baser notre réflexion sur des faits CONSTATES .

    Résultat : de mon coté 18 ide et idel, 13 inscrites et à jour de leur cotisation, 3 inscrites non à jour et 2 non inscrites.
    Ma collègue 24 ide et idel, 15 inscrits à jour, 3 inscrits non à jour et 6 non inscrits.
    Soit au total 42 IDE dont 66% inscrits en règle, 14% inscrits non à jour et 19%non inscrits..
    Heu… elle est où « l’immense majorité » ???

    • eusebe dit :

      Faut un peu sortir de ton microcosme libéral et tu trouveras…

      • ridfa69 dit :

        sur 1000 ide de mon entourage personne inscrit à l’ordre
        sans controle on peut sortir n’importe quoi

    • spi_t dit :

      contre exemple
      etablissement public de sante mentale
      500 infirmiers et cadres de canté 7 secteur de psychiatrie adulte 2 intersecteur de psychiatrie
      inscrit a l’ordre 7 infirmiers
      0 cadres
      0 directeurs des soins

    • onialapoubelle dit :

      Tu dois habiter dans un coin infesté là où il n’est pas possible d’exercer sans avoir la carte ?

  22. Pierrefrancois dit :

    L’usage lorsqu’on part est plutôt de faire son propre bilan que celui d’un autre.

    Et si M. ADAIN nous écrivait ce qu’il a fait en 4 ans de mandat ordinal à part se faire payer des voyages en métropole avec l’argent des cotisations des autres infirmiers libéraux justement ?

    Allez Mme la journaliste, faites votre boulot, interrogez le, qu’il cite une seule réalisation en 4 ans ! Qu’a-t-il fait pour appliquer sa profession de foi : « Veiller et travailler ensemble pour que les principes éthiques, de moralité, de probité et de compétences continuent à guider notre action (…) Pour que nous puissions ensemble faire évoluer notre profession et être garants de nos
    compétences »

    A mon avis il n’aurait pas été réélu, c’est pour ça qu’il part avant.

    • onialapoubelle dit :

      Beaucoup quittent le navire avant qu’il ne coule. C’est humain comme réaction, non ? Y a que les bornés qui couleront avec le bateau. C’est d’ailleurs ce qu’ils ont de mieux à faire avant de devoir rendre des comptes à la justice. J’en connais qui les attendent au coin.

      • Sansebastien dit :

        Toujours la bave aux lèvres eusèbe!
        Vous croyez vraiment que l’Ordre des infirmiers va disparaître? Vous pouvez toujours rêver, si vous saviez…

  23. eusebe dit :

    Et bien nous, c’est ton ordre qui nous donne la nausée…
    Continuez donc à rêver d’un ordre inutile, prétentieux, couteux et menaçant : regroupez-vous en amicale si ça peut vous faire plaisir et laissez les personnes choisir ce qu’elles veulent et comme elles veulent.
    Si votre ordre était merveilleux comme vous le prétendez, beaucoup auraient demandé leur inscription…
    Et arrêtez de mettre en cause la cotisation, c’est le principe même d’un ordre corporatiste, disciplinaire et dirigés par des prétentieux incapables qui est refusé !!
    Rêvez, rêvez…

    • quichou13 dit :

      « mon » ordre »? ha bon… quand ai je dis vouloir cet ordre? jamais , je dis que ce dechainement me donne la nausée, pas » contre qui » vous êtes déchainés mais « comment « vous l’êtes.. En vrai vous me faites juste peur !

  24. quichou13 dit :

    Merci plouf84 de si bien traduire ce que je ressens. Ce déchainement hargneux de « résilience » me donne la nausée. Je n’y vois que haine et fureur, rien de constructif, rien de porteur. Notre profession est mal barrée si ce sont de telles personnes qui un jour la représentent!!!

    • onialapoubelle dit :

      La haine de Résilience à l’encontre de l’ordre infirmier est proportionnelement égale à la haine de l’ordre envers les infirmières. Si tu savais ce que nous voyons défiler comme documents, encore hier avec la démission de la présidente du croi de l’Auvergne, tu changerais certainement d’avis. Maintenant si tu tiens absolument à un ordre infirmier tu le finances et tu le diriges mais tu ne l’imposes pas aux autres qui sont quand même plus de 80% à le refuser. Où alors tu vas bosser en Russie en dictature !

      • quichou13 dit :

        « Maintenant si tu tiens absolument à un ordre infirmier tu le finances et tu le diriges mais tu ne l’imposes pas aux autres »: ou ai je dis que je voulais imposer qq chose moi? ni diriger, ni financer…ca confirme mes dires: que de la bave aux lèvres sans même lire ni écouter les autres. La dictature c’est pas moi en l’occurrence qui la met sur le tapis ou qui la pratique.. 😉 ..

  25. plouf84 dit :

    et quand on se tape sur la gueule entre nous, qui c’est qui rigole?
    c’est les médecins qui gardent tous leurs pouvoirs sur nous
    c’est les employeurs (cliniques et hopitaux) qui ne trouvent pas d’adversaires structurés et suffisamment forts pour résister ou lancer des actions puissantes
    c’est les hommes politiques qui continuent leurs petites promesses locales
    c’est les labos qui font leur lobbying auprès des décideurs… donc pas auprès de nous

    Je pensais qu’une adhésion obligatoire de tous les IDE à la même structure pourrait donner du poids à celle ci et que ce pouvoir détenu par des IDE pourrait profiter aux infirmiers (AS inclus).
    que l’ONI aie mal démarré est une évidence: mégalo dans ses dépenses et modes de fonctionnement, absence de concertation au sommet, etc etc…

    Pourtant, on peut botter le c… à des élus qui ne conviennent pas! et on peut évoluer!
    Il suffit de voir les nouveaux IDE arriver sur le marché et se patiner avec le temps: cela s’appelle l’expérience.
    Soyons honnêtes: il n’a jamais été permis aux dirigeants de l’ONI d’acquérir cette expérience.

    Il y a des défections d’élus de l’ONI qui quittent le navire, avec des raisons surement honnêtes et honorables: il n’est pas simple d’être professionnel au quotidien et représentant à côté. Il est dommage que ces compétences s’en aillent, mais c’est leur décision….

    En face, il y a des opposants à l’ONI apparemment très disponibles (voir le nombre de post ou courriers déposés par certains) dont on se demande quelles sont leurs réelles motivations? La cotisation légitimement rabaissée à 30€ est accessible à tous les infirmiers, il faut être réaliste quand même. (il faut savoir par ailleurs que beaucoup d’employeurs remboursent aux médecins leur adhésion l’ ordre des médecins! alors pourquoi pas aux infirmiers?).
    Qui s’oppose vraiment à l’ordre infirmier? les directeurs d’hôpitaux (dépense à prévoir sur le remboursement des cotisations), les centrales syndicales (qui voient un concurrent institutionnel à leur action, à leur démarche), des IDE inquiets de leurs sous (je ne crois pas que cela soit la majorité), des IDE mal informés, des IDE qui n’ont pas l’habitude de l’autonomie individuelle et collective, des IDE qui sont un peu des moutons de Panurge et suivent celui qui parle le plus fort, des IDe qui refusent le changement….

    Peut être suis je un grand rêveur…. Vous ne pouviez pas me faire un plus grand compliment.

    Je rêve que nous ne soyons plus totalement asservis aux médecins! que nous soyons capables (en capacité de…) de contribuer aux choix à venir en termes de santé publique, d’être des partenaires reconnus.

    Manifestement, quelques égos mal placés, quelques luttes de pouvoir et beaucoup de blocages individuels retardent ce rêve. Le réveil en est d’autant plus dur pour moi et je crains que nous soyons nombreux à être orphelin de rêves et surtout de réalités.

    Continuons donc à nous bouffer le foie, à nous envoyer des insultes et à laisser les autres décider pour nous!

    • onialapoubelle dit :

      Manifestement tu as déjà commencé toute seule à te bouffer le foie ! 😉 L’ordre est nuisible à la profession et à ton équilibre psychologique. Tu devrais arrêter de cotiser tu verras tu iras mieux 🙂

  26. onialapoubelle dit :

    LU SUR RESILIENCE :

    EPISODE 9 :

    RESILIENCE à Marseille – contre l’ordre infirmier mafieux : double communiqué de presse !

    http://syndico.exprimetoi.net/t8597-resilience-a-marseille-contre-l-ordre-infirmier-mafieux-double-communique-de-presse#40731

  27. onialapoubelle dit :

    LU SUR RESILIENCE :

    au moment de l’élection, en 2008, pour ceux qui ont la mémoire très courte, il n’était pas possible de voter non …
    RESILIENCE se pose clairement dans le camp de celles et ceux qui, six années après la publication de cette Loi inique, refusent cet ordre honteux qui a fait beaucoup de mal à la profession infirmière …
    le constat est simple pourtant et il n’y a pas pire aveugle que celui qui ne veut pas voir : les partisans de l’oni claironnaient 92% d’IDE en faveur d’un ordre avant le vote de la Loi en 2006, aujourd’hui c’est toujours près de 90% qui ne cotise pas (voir plus !) et 80 % de non inscrits …
    les chiffres sont têtus, comme nous … les députés et les sénateurs ayant voté cette Loi, dont beaucoup siègent encore de nos jours, nous le disent souvent au téléphone, voire l’écrivent et s’engagent à voter en faveur d’une PPL, encore faut-il que le pouvoir politique en place tienne ses promesses, mais là c’est une autre histoire !

  28. onialapoubelle dit :

    La farce a assez duré ! Tous, nous nous rendons bien compte que ce que nous racontent les dirigenats de l’oni n’est que mensonges et tromperies ! Depuis deux ans ils font payer les IDE pour une cotisation annuelle alors que les prélèvements se succède tous les 10 mois, cherchez l’erreur ???
    Même les parlementaires qui se sont fait avoir au début se moquent maintenant de ce qui peut arriver à l’oni. Ils préfèrent même que nous fassions le sale boulot à leur place pour ne pas qu’ils aient à mettre la main dans le cambouis.
    A l’approche des élections de 2014, certains sont toutes ouies aux arguements des opposants et raillent les propositions de l’oni. Messieurs Borniche, Mammeri et consorts ont l’air bien bête, pour rester polie. Résilience dont je suis très fière d’être membre est le seul syndicat infirmier qui lutte au quotidien contre l’ordre et ses abus. Son animateur est convoqué deavnt les tribunaux pour injures publiques et diffmation à Paris et à Marseille, l’ordre multiplie les procédures pour essayer de nous couler financièrement. C’est donc maintenant qu’il faut aider Résilience en adhérant ou en faisant un don même modique. L’effort doit être partagé par le plus grand nombre puisque cette histoire d’ordre concerne l’ensemble des infirmières (même celles qui se mettent la tête entre les bars pour ne rien voir !).

  29. eusebe dit :

    Karim Mameri est très fort dans l’art de jeter des fleurs à son ordre que l’immense majorité des infirmières et des infirmiers ne veulent pas.
    Un coup de filet va être donné en juillet sur les diplômés de la promotion 2010-2013 ; ça permettra de gonfler un peu l’effectif des inscrits, mais ils ne les auront pas tous, et pourtant, ce n’est pas faute de les avoir saoulés avec leur machin, dès la première semaine de formation parfois.
    On constate que les arguments d’Emmanuel Adain sont très similaires à ce qui est dénoncé par Résilience depuis des lustres.
    Et on n’oublie pas l’ardoise (15 millions d’euros aujourd’hui…) que traine l’ordre depuis sa campagne d’inscription de septembre 2009 (accouplée au premier appel à cotisation, 75 € pour tout le monde, il n’y avait pas de jaloux) : et cette dette, qui donc va la payer ??? Les dirigeants ordinaux de l’époque (et qu’on retrouve encore aujourd’hui en haut de la pyramide) s’étaient vus d’emblée possesseurs d’un beau magot de près de 40 millions d’euros et renouvelable annuellement : le gâteau ne demandait qu’à gonfler, la levure étant l’argent des infirmiers : beaucoup s’en délectaient d’avance. Mais que s’est-il donc passé ? Les infirmiers n’ont jamais voulu de ce truc, c’est clair maintenant ?

  30. hugues dechilly dit :

    depuis maintenant presque trois ans, RESILIENCE (syndicat infirmier créé pour cela) poursuit trois objectifs :

    1 – informer les professionnels et les étudiants sur les méfaits, les abus, les magouilles et autres tripatouillages de l’oni qui agit toujours à l’abri des regards … pour le (soit disant) honneur de la profession infirmière : avec les récentes informations diffusées en interne par les démissionnaires successifs et en externe par RESILIENCE chacun peut constater que nous ne sommes jamais très loin de la vérité …

    2 – défendre ses adhérents infirmiers et pédicures contre les ordres paramédicaux, toujours pour les mêmes motifs d’abus, avec le recul nous avons emmagasiné des milliers d’infos (chaque fois vérifiée) …

    3 – attaquer l’ordre infirmier en qualité de personne morale (sans attaquer les personnes physiques) car nous combattons les idées quand d’autres passent leur temps à se tirer dans les pattes au sein même du cnoi …

    pour autant, nous ne sommes pas dupes des revirements et autres fourberies … ceux d’aujourd’hui qui quittent le navire avant qu’il ne coule sont ceux là même qui – dès le début – appartenaient au groupe sainte Anne ( d ‘où leur surnom de saintanistes 🙂 ), fervents défenseurs d’un gros mensonge visant à faire croire que plus de 92% de la profession était pour un ordre, les seules et uniques élections de 2008 ayant comptabilisé 86% d’absentionnistes (il était pas possible de voter contre, déjà à l’époque) …

    aujourd’hui, (même pas peur 🙂 ) RESILIENCE et ses adhérents continuent le combat au quotidien contre l’ordre qui totalise 14 millions d’euros de dettes et qui revendique bêtement 84 millions d’euros de cotisations impayées 😉

    une fois débarrassés de cet ordre détesté qui aura réussi à cristalliser (un exploit) la presque totalité de la profession, mais contre lui, nous pourrons envisager sereinement de passer à autre chose et à mettre notre énergie inépuisable et nos efforts incessants au service des bonnes volontés … dans le sens de l’intérêt commun, au détriment des intérêts personnels nombreux qui n’ont rien à voir avec la profession infirmière, notamment les banquiers, les assureurs et autres requins qui ont compris – dès le début – ce que plus de 560 000 professionnels aux revenus réguliers et plus de 70 000 étudiants infirmiers pouvaient leur (r)apporter en matière de finances, notamment …

    enfin, que les fossoyeurs de la profession via l’ordre infirmier soient assurés de notre volonté inaliénable à leur demander des comptes devant la justice du peuple, la justice ordinale étant pourrie sur pieds !

  31. Delphine dit :

    ne pas payer!!non à oni! ils n’ont encore pas compris que personne ne veut de cet ordre!!ils ont dépensé des millions,qu’ils se démmerdent pour rembourser!!qu’ils comptent pas sur nous!!

  32. Chantal dit :

    non au racket organisé !!!!!

  33. hugues dechilly dit :

    il est – quand même – intéressant et aberrant de constater que depuis maintenant 3 jours, aucun autre magazine infirmier (digne de ce nom) qu’Actusoins n’a encore réagit aux informations soit diffusées par le démissionnaire E.Adain, soit encore par RESILIENCE qui mettent gravement en cause (et ce n’est pas fini) l’institution ordinale plus que défaillante …

    ces infos concernent l’ensemble des infirmiers et des infirmières en exercice sur le territoire même si la plus grande majorité s’en contre moque …

  34. onialapoubelle dit :

    LU SUR RESILIENCE :

    Monsieur Jean-François BOUSCARAIN
    Conseiller National
    Madame Marielle DUCASTEL
    Conseillère Nationale
    Monsieur Thierry MUNINI
    Conseiller National
    Madame Laurence DOUCET-ROUSSELET
    Conseillère Nationale
    Collège libéral Monsieur Didier BORNICHE
    Président du Conseil national
    de l’Ordre des infirmiers
    228 rue du Fbg Sain Martin
    75010 PARIS
    Le 24 septembre 2012
    Monsieur le Président,
    Vous avez pris la tête de notre Conseil il y a un peu plus d’un an. Vous nous promettiez alors une gouvernance ordinale exemplaire. Elle devait permettre de surmonter les difficultés dues aux attaques et aux constatations de légitimité ordonnées sans arrêt contre l’Ordre national des infirmiers depuis le moment de sa naissance.
    Au terme de l’année écoulée, nous pouvons apprécier à sa juste valeur votre manière réelle de présider notre institution et ses résultats. Cette présidence se caractérise par son opacité constante, la minceur extrême de sa production et son échec global.
    La longue liste des « doléances principales » des départements et régions énumérées dans le Doc. CNOI 25/09/12-8 illustre votre carence générale en matière de communication « tant en interne qu’en externe », de formation ou de fonctionnement institutionnel collectif.
    En résumé, à peu de choses près, vous n’informez sur rien, vous ne réalisez rien, vous ne diffusez rien, vous n’améliorez rien, vous ne consultez sur rien. Les élus départementaux et régionaux, ainsi démunis quasiment de toute information, sont également privés de se rencontrer au niveau national et de se concerter avec le CNOI, comme ils le faisaient auparavant deux fois par an.
    Le CNOI n’est pas mieux traité que les CDOI et CROI. En dehors de l’examen de recours individuels, nos ordres du jour sont devenus indigents : plus aucune étude ni proposition de fond sur les sujets métier, plus aucune prise de position sur les projets de textes officiels ni les événements de l’actualité. Aucun compte rendu de vos propres rencontres à l’extérieur.
    Vous ne respectez même pas les rôles institutionnels ou légal du CNOI : nous n’avons jamais eu ni encore moins dé attu le plan de restructuration de l’Ordre dont nous ne connaissons toujours pas le contenu ! Nous n’avons pas eu à nous prononcer sur le modèle de statuts des sociétés interprofessionnelles de soins ambulatoires SISA que vous avez pourtant avec les autres ordres rendu public le 25 juillet dernier en nous demandant notre avis le 26 juillet par mail !!! Vous n’avez soumis à notre vote aucune décision tendant à proposer aux ARS la nomination d’une quinzaine de délégations, comme l’exigeait les articles L. 4123-10 et L4312-5 du CSP !
    2 / 2
    Les derniers documents sur le suivi des inscriptions au tableau illustre bien votre façon de prendre en compte le rôle des conseillers départementaux. Ainsi comment expliquer le fait que selon celui-ci les CDOI inscrivent des infirmiers tous les mois alors que pour la plupart ils ne se réunissent que tous les trois mois ? Vous négligez de faire respecter un principe de base de la procédure : la décision doit être prise par le CDOI réuni en séance. Toutes les décisions d’octroi ou de refus prises hors séance sont ainsi illégales. Comme vous nous l’avez si ien rappelé en son temps dans une lettre ouverte signée de votre main et de celui de notre secrétaire général le 20 février 2011 « A l’heure d’internet, aucune urgence n’implique que vous soyez contraints de répondre vite et toujours seuls « .
    A l’inverse, certains ne rillent pas par leur activisme en la matière. Par exemple, la région que vous présidez reste inférieure à la moyenne nationale pour le pourcentage d’inscrits au ta leau ordinal par rapport au fichier de la DREES (20%). La Seine-Maritime, dont vous êtes le vice-président et que préside votre Secrétaire général, n’a inscrit que 4 infirmiers entre le 2 juillet et le 20 septem re derniers…
    Mais au-delà de ces carences flagrantes, un mal s’est installé plus profondément. En effet, notre Ordre n’a pas été conçu simplement pour attribuer aux infirmiers un numéro d’inscription payant, à la place d’un numéro d’enregistrement gratuit ! Ni pour remplacer un fichier administratif défectueux par un tableau condamné, hélas, aujourd’hui, à être bien plus déficient encore. Ni pour financer indéfiniment une structure devenue éloignée du terrain, ayant perdu ses moyens minima indispensables, la mise en oeuvre d’une expertise métier, son rôle de guidance professionnelle et tout le dynamisme et la crédibilité que nous possédions antérieurement à votre présidence.
    L’Ordre national des infirmiers devait contribuer à éclairer les confrères sur leur déontologie. Les aider parmi les difficultés de leur exercice quotidien. Améliorer les textes qui régissent notre pratique. Promouvoir pour la profession un avenir à la hauteur de son potentiel et des besoins des patients.
    Clairement, « cette gouvernance » n’a pas le degré d’engagement personnel ni l’intention et/ou la capacité nécessaires pour porter ces ambitions. Le capital de compétences, de dévouement et d’espérance dont vous avez eu la chance d’hériter à l’été 2011 est maintenant dissipé. Les opposants de notre Ordre ont efficacement organisé son étranglement financier, mais cette gouvernance y aura ajouté une sorte de mort cérébrale immédiate. Celle-ci contribue tout aussi sûrement à l’échec programmé, en décourageant nos élus et les infirmiers qui croyaient en notre grande mission.
    Relisez donc encore votre lettre ouverte. Elle faisait la leçon sur une prétendue « crise de gouvernance », un défaut de concertation interne (d’« un mail de « premier jet » aux 52 membres du CNOI » !!), un manque de « relation constructive » avec l’Etat. Quels ont donc été vos propres succès auprès de M. X. BERTRAND puis de Mme M. TOURAINE ?
    Il n’est donc pas étonnant que vous n’ayez préparé aucun rapport d’activité sur cette année de votre présidence : que pourriez-vous y inclure, en dehors de cette fameuse « restructuration », qui n’évitera pas la ruine d’un Ordre sacrifié à d’autres intérêts ?
    Personne ne peut plus se dissimuler l’abaissement présent de cet Ordre qui nous était cher. Quant à nous, nous ne voulons pas faire semblant de l’ignorer. Encore moins le cautionner au nom des infirmiers libéraux, alors que ces confrères sont ciblés plus que tout autres pour financer une part disproportionnée d’un budget ordinal devenu pratiquement sans objet.
    3 / 2
    C’est pourquoi, après tant de collègues (souvent parmi les meilleurs, dans toutes les formes d’exercice et à tous les niveaux de l’institution) qui en ont déjà tiré la même conséquence et dont vous nous avez caché très souvent les démissions, nous vous signifions par la présente nos démissions du CNOI que nous considérons dans sa forme actuelle et comme vous l’avez défini en février 2011 « peu à l’écoute des professionnels qu’il représente ».
    Veuillez recevoir, Monsieur le Président, nos salutations confraternelles désolées.
    Marielle DUCASTEL Laurence DOUCET-ROUSSELET
    Conseillère Nationale Conseillère Nationale
    Collège libéral Collège libéral
    Jean-François BOUSCARAIN Thierry MUNINI
    Conseiller National Conseiller National
    Collège libéral Collège libéral

  35. Syndicat dit :

    Comme plus de 90% des collègues, nous ne voulons pas de cet ordre qui nous est imposé 🙁 Le meilleur moyen de le faire disparaître (sans compter sur les politiques) et de ne plus lui donner un euro pour qu’il crève financièrement comme cela a déjà été le cas en juillet 2011. 😉

  36. Hugues dit :

    toutes les infos en (croustillants) détails nauséabonds sur le site de RESILIENCE : http://www.syndico.exprimetoi.net

  37. Laurent dit :

    A lire, la lettre de démission (premier commentaire), c’est édifiant sur ce qui se passe à l’ONI et une preuve « de l’intérieur » de ce que bcp pensent de l’ONI. Comme quoi, nous n’inventons rien quand nous disons que nous payons pour quelque chose qui ne sert à rien. ce à quoi on nous répond que les cotisations servent justement à nous défendre. Mais depuis que l’ONI existe, il n’a rien fait du tout !!! Bien au contraire ….. Les cotisations servent à harceler et poursuivre en justice celles et ceux qui s’insurgent contre ce système ….. En fait au lieu de servir la cause des IDE, l’ONI oeuvre en leur défaveur !!

  38. onialapoubelle dit :

    LU SUR WIKIPEDIA :

    Clochemerle est un roman satirique français de Gabriel Chevallier, publié en 1934 qui a connu un succès immédiat et durable avec un tirage en plusieurs millions d’exemplaires et des traductions dans vingt-six langues. Il a été adapté au cinéma et à la télévision. Le toponyme, inventé par Gabriel Chevallier est, aujourd’hui, entré dans la langue courante et sert à désigner un village déchiré par des querelles burlesques.

    Autre signe de succès : cette joyeuse satire est si bien accueillie que plusieurs villages revendiquent l’honneur d’avoir servi de modèle à Clochemerle-en-Beaujolais… honneur qui revient à la commune française de Vaux-en-Beaujolais où Gabriel Chevallier, en personne, a inauguré en octobre 1956, la plaque attribuant son nom à l’ancienne grande rue.

  39. onialapoubelle dit :

    LU SUR RESILIENCE :

    EPISODE 8

    à
    Mesdames et messieurs
    les Parlementaires.
    Strasbourg, le 23 avril 2013.
    Mesdames et messieurs les
    Sénateurs et les Députés,
    comme suite à la lettre du 09 avril dernier que nous avons envoyé à monsieur le
    Président de la République, voir copie jointe, nous vous adressons ceci :
    nos concitoyens et particulièrement les 560 000 infirmières en exercice et les autres
    90 000 paramédicaux professionnels de la Santé sont excédés des
    dysfonctionnements et autres mauvaises nouvelles qui s’accumulent, chaque jour, aux
    journaux télévisés de 13 et 20 heures.
    Plus on demande d’efforts, notamment financiers, aux salariés, moins les élus font
    preuve de ces mêmes efforts en matière de retraite ou encore de transparence dans
    l’utilisation des fonds qui leurs sont alloués, pour ne prendre que ces deux exemples …
    Le déballage médiatico politique organisé en guise de « bon pour solde de tous
    comptes » depuis une semaine et l’affaire – honteuse – dite « Cahuzac », ne suffira
    pas à nous faire oublier, les manquements graves et répétitifs des élus. Sans tomber
    dans le sempiternel « tous pourris », convenez, mesdames et messieurs les
    Parlementaires que çà commence à faire beaucoup !
    Les professionnels paramédicaux ont, eux, de la mémoire et se souviennent qu’il y a
    moins d’une année, les opposants d’alors, actuellement au Gouvernement, en charge
    des affaires, leur avait promis de modifier les ordres paramédicaux, certaines PPL
    ayant été rédigées en ce sens, mais n’ayant jamais dépassé le tiroir du Bureau de
    l’Assemblée Nationale et/ou du Sénat où elles s’entassent comme des milliers d’autres
    promesses de campagne, depuis des dizaines d’années, toutes orientations politiques
    confondues.
    Il est bien une commission issue du groupe socialiste et apparentés qui travaille sur le
    sujet mais si d’aventure, la volonté politique venait à s’affirmer, une nouvelle PPL que
    nous appelons de nos voeux devrait inévitablement passer devant les Commissions
    des Affaires Sociales des deux Assemblées.
    Cette promesse de campagne que nous n’oublions pas a, au moins, le mérite de ne
    coûter aucun euro au budget de la Nation puisque, notamment l’ordre infirmier, les
    structures ordinales paramédicales continuent de faire doublon avec les services de
    l’État.
    Aujourd’hui, RESILIENCE, syndicat professionnel infirmier, annonce le dépôt de
    plusieurs plaintes devant les tribunaux de la République, certaines chambres
    disciplinaires ayant fait oeuvre, au mieux d’amateurisme, au pire de magouilles et
    autres tripatouillages dont nous aurons, bientôt, à démontrer, preuves à l’appui, les
    graves entorses aux règles de droit.
    La gestion calamiteuse de l’ordre infirmier fait apparaître, 14 millions d’euros au
    minimum de dettes et autres impayés, l’oni revendiquant, lui, 84 millions d’euros de
    cotisations impayées, cotisations qu’il n’encaissera jamais.
    Mesdames et messieurs les Parlementaires, en période de vaches maigres, en période
    d’usure aggravée de la profession infirmière, sous bien des angles, le respect de la
    parole donnée est, là aussi, un acte qui ne coûte rien mais qui peut rapporter
    beaucoup. Comme l’ensemble des français, nous serons bientôt amenés à nous rendre
    aux urnes, les dernières élections partielles ayant – déjà – annoncé la couleur d’une
    plus grande radicalisation, encore, de nos concitoyens. La confiance fait défaut, sur
    bien des points, notre économie en fait les frais chaque jour, la récession annoncée et
    confirmée en étant la meilleure et aussi la plus terrible preuve. Cette confiance que
    vous sollicitez à chaque nouvelle élection est ainsi bafouée, car les électeurs boudent,
    comme récemment en Alsace, les scrutins, les uns après les autres.
    Le sujet ordinal n’est, certes pas, à vos yeux prioritaire, mais il a pour principale
    qualité de retenir, inlassablement, infatigablement, nos efforts et notre demande
    aujourd’hui, une nouvelle fois renouvelée, du maintient des promesses, il concerne
    aussi, le premier corps de métier de notre Pays, au service et au contact permanent
    de la population.
    Recevez, mesdames et messieurs les Élus, nos salutations infirmières citoyennes
    déterminées.
    Hugues Dechilly,
    secrétaire général,
    infirmier diplômé d’État,
    en exercice illégal
    depuis le 21 décembre 2006.
    RESILIENCE – 13 rue de Molsheim – 67000 Strasbourg

  40. onialapoubelle dit :

    LU SUR RESILIENCE :

    EPISODE 7 :

    RESILIENCE dépose des recours auprès de certains tribunaux administratifs suite à l’absence de fichiers et annuaires ordinaux fiables, notamment sur @

  41. onialapoubelle dit :

    LU SUR RESILIENCE :

    EPISODE 6 :

    RESILIENCE dépose une plainte contre l’ordre infirmier au TGI de Paris

    là aussi, il s’agit d’une plainte en cours et nous serons prudents dans la diffusion de nos informations, mais nous pouvons assurer que cette nouvelle plainte de RESILIENCE contre l’ordre infirmier est très documentée et qu’elle concerne l’ensemble des adhérents à l’oni, volontaires ou sous la contrainte …

    déposée pour le motif d’escroquerie, il appartiendra au tribunal de maintenir le motif ou d’en changer …

  42. onialapoubelle dit :

    LU SUR RESILIENCE :

    EPISODE 5

    à
    Madame la Ministre de la Santé.
    Strasbourg, le 23 avril 2013.
    Madame la Ministre,
    comme suite aux dernières informations dont nous avons été amenés à prendre
    connaissance, nous vous demandons de bien vouloir faire diligenter, par l’IGAS, une
    enquête sur les conditions dans lesquelles l’oni est administré et géré par ses
    responsables.
    En effet, il apparaît clairement que selon les précisions diffusées par RESILIENCE au
    cours de ces derniers mois, notamment en matière de gestion des adhérents, de
    gestion du fichier ordinal, de non renouvellement des mandats ordinaux, la plus
    grande confusion règne au sein de l’ordre infirmier, dysfonctionnements graves qui
    sont ainsi confirmés par les responsables, eux mêmes, de l’oni.
    Nous vous joignons quelques documents récents qui témoignent de notre volonté
    inaliénable d’en finir avec cette farce grotesque ordinale qui fait honte, tous les jours,
    à notre profession.
    Dans l’attente et toujours à votre disposition, nous vous adressons, madame la
    Ministre, nos salutations infirmières respectueuses.
    Hugues Dechilly,
    secrétaire général,
    infirmier diplômé d’État
    en exercice illégal depuis
    le 21 décembre 2006.
    RESILIENCE – 13 rue de Molsheim – 67000 Strasbourg

  43. onialapoubelle dit :

    LU SUR RESILIENCE :

    EPISODE 4 :

    COMMUNIQUE DE PRESSE – 23 AVRIL 2013
    RESILIENCE contre l’ordre infirmier
    RESILIENCE confirme le dépôt de plusieurs plaintes auprès des
    tribunaux de Lyon et Paris.
    RESILIENCE confirme le dépôt d’un recours auprès du Tribunal
    administratif d’Orléans.
    RESILIENCE sera présent présent les 14 mai à Paris et 31 mai à
    Marseille, suite aux convocations pour injures publiques et
    diffamation.
    RESILIENCE félicite ses adhérents qui ont gagné contre l’oni et
    l’onpp ces dernières semaines.
    RESILIENCE confirme le dépôt d’une demande d’enquête auprès
    de l’IGAS.
    RESILIENCE confirme l’envoi d’un recours auprès du Conseil
    d’État.
    RESILIENCE demande aux Parlementaires et à l’Exécutif de tenir
    leurs engagements et de procéder à la publication d’une Loi visant
    à abroger les ordres paramédicaux.
    RESILIENCE confirme la remise d’un rapport accablant les ordres
    lors de son audition par le groupe parlementaire socialiste à
    l’Assemblée Nationale.
    RESILIENCE demande que les comptes et autres bilans financiers
    de l’oni soient publiés suite aux multiples manipulations,
    notamment en matière d’année civile, puisqu’à deux reprises en
    2012 et en 2013, l’ordre infirmier a basé sa cotisation annuelle sur
    dix mois.
    RESILIENCE dénonce le soutien abusif de ses banques sans
    lesquelles la cessation de paiement de juillet 2011 aurait mis fin,
    définitivement, aux agissements ordinaux.
    RESILIENCE rappelle l’épisode croustillant du fax adressé au
    Secrétariat Général de l’Élysée en pleine nuit du 29 au 30 juillet
    2011.
    RESILIENCE prend acte du Conseil d’État visant à autoriser et à
    faciliter la tenue des réunions de l’oni en ses locaux.
    RESILIENCE rappelle la démission, preuves accablantes écrites à
    l’appui, de conseillers ordinaux nationaux dénonçant les
    malversations et autres magouilles dans le fonctionnement de
    l’ordre national au détriment et à l’insu des échelons
    départementaux et régionaux.
    RESILIENCE dénonce le fonctionnement abusif des conseils
    départementaux et régionaux de l’oni qui n’ont pas été renouvelés
    démocratiquement, au bout de trois années de mandat, en avril et
    juillet 2011.
    RESILIENCE dénonce le décret inique de novembre 2011 visant à
    reconduire par voie de presse au Journal Officiel le cnoi et les
    chambres disciplinaires jusqu’en novembre 2013.
    RESILIENCE dénonce la décision ordinale d’organiser un
    renouvellement grotesque, contraire au processus démocratique en
    commençant à l’envers (du national au départemental) à compter
    de novembre 2013.
    RESILIENCE rappelle que la production intellectuelle de l’oni,
    grand adepte du « copié collé », est proche de zéro.
    RESILIENCE – 13 rue de Molsheim – 67000 Strasbourg.

  44. Sophie dit :

    Et moi donc !!!!

  45. onialapoubelle dit :

    LU SUR RESILIENCE :

    EPISODE 3 :

    Marseille …

    A Marseille notre adhérente CB se bat encore et toujours depuis 2009 pour faire reconnaître son bon droit et, au principal, s’interroge sur le fait que le conseil de l’ordre des infirmiers a fermé – volontairement – les yeux sur l’existence de cabinets de soins infirmiers au sein duquel exerçaient plus d’une dizaine d’infirmières libérales, travaillant de concerts sous les ordres et la gestion de la propriétaire des lieux.

    Ceci alors même que le conseil national Infirmier précise sur son site internet officiel que, selon le Conseil d’État, au-delà d’un collaborateur, le contrat de collaboration infirmier est susceptible d’être requalifié en contrat de travail.

    Contre toute attente cette gérante, infirmière marseillaise, dont le président Didier Borniche a évoqué, dans un droit de réponse à RESILIENCE, publié sur Actu Soins, que ce n’était pas à l’ordre de vérifier les compétences acquises avant que de l’enregistrer au tableau départemental.

    Alors même qu’il est plus qu’évident que le fait d’avoir pu, pour cette dernière, s’installer en qualité d’infirmière libérale en France, 30 jours seulement après avoir obtenu un diplôme infirmier en Italie, et, plus surprenant encore, avant même, que le titre de son diplôme ne soit reconnu par l’Union Européenne, posait déjà question(Source DGOS – Ministère de la santé).

    L’affaire embarrasse, en haut lieu (le conseil national) et quatre conseillers nationaux démissionneront ainsi de leurs fonctions ordinales, rapportant avoir eu connaissance d’inscriptions « litigieuses » et donc illégales au tableau de l’ordre, les dossiers étaient clos, hors les commissions départementales, en dépit de procédures internes à l’ordre infirmier, écrites et sans aucune confusion possible (selon une source proche du dossier, plusieurs dizaines de cas à Marseille, par manque de temps et de personnel mais dans la précipitation d’encaisser le plus rapidement possible des chèques de cotisations demandés à l’inscription, le bilan financier de l’oni étant catastrophique, chaque euro compte ++).

    Cette toute jeune diplômée infirmière, responsable de cabinet de soins, ayant, entre autre, reconnu par écrit devant les responsables de l’ordre infirmier, s’être livrée à la rémunération sur ses fonds propres, de la main à la main, sans aucune facture de rétrocession d’honoraires, une infirmière collaboratrice (fraude fiscale ?).

    Ces faits, au demeurant grave, évacués des dossiers au gré de la procédure en chambre nationale disciplinaire, pose un sérieux problème de compétences et de responsabilités.

    Au regard de la réglementation en vigueur, et des prérogatives incombant à l’ordre qui va rester «fort silencieux » devant ces graves dérives, alors qu’il n’ignore pas, que cette pratique a duré des années, et, que conséquence inévitables son adhérente a fait encaisser à ses collaboratrices, des actes de soins sur des patients non connus d’elle même, n’ayant jamais mis les pieds aux domiciles concernés.

    Cette pratique qu’interdit la Convention nationale infirmière, tombe sous le coup de la Loi, et, au-delà révèle l’existence d’un travail dissimulé, (acceptable par les représentants élus de l’ordre marseillais qui auraient du trouver, nous semble t’il à RESILIENCE, pour l’honneur et la défense de la profession un prolongement judiciaire.

    Devant cette inaction surprenante, ce non respect des textes réglementaires, il est normal que notre adhérente se pose la question légitime de comprendre quel est son intérêt d’être contrainte par la Loi, de verser à l’ordre infirmier une redevance annuelle de 75 € (tous les dix mois) à un organisme censé la défendre et la protéger de ce type de malversation, de magouilles.

    Tout cela alors que le Code de la Santé Publique interdit, de fait à une infirmière d’employer et de rémunérer, une IDE.

    Seul un employeur déclaré au commerce peut rétribuer un collaborateur pour une prestation qu’il va effectuer au domicile d’un client de l’entreprise, et le donneur d’ordre, se faire régler directement par son client, qui se trouve être la Caisse d’Assurance Maladie des Bouches du Rhône !

    Notre adhérente n’a pu que faire reconnaître en allant devant la chambre disciplinaire en «appel» à Paris et devant un Conseiller d’État, le détournement d’actes, commis à son préjudice.

    Notre adhérente, soutenue par RESILIENCE, ne baisse pas pour autant les bras et demande que soit reconnu, cette fois devant les autorités judiciaires qu’après avoir quitté définitivement ce cabinet infirmier en octobre 2009, son identité a été, a son insu, utilisées bien après son départ sur des DSI et en janvier 2010 sur des documents officiels, à l’aide de sa signature et d’un tampon professionnel infirmier contrefait, comportant ses identifiants, ceci ayant eu pour conséquence d’accoler , son patronyme durant les années 2010 et 2011 à un numéro de téléphone d’un centre de soins « fictif ». Centre réputé ouvert, selon les encarts publicitaires existant sur les Annuaires des Professionnels de Santés de P.A.C.A.
    Un simple répondeur téléphonique renvoyant les appels des patients sur la ligne d’un autre cabinet infirmier où son ancienne « patronne n’ayant quasiment jamais exercé» est installée, en compagnie d’une dizaine de collaboratrices infirmières dites « libérales ».

    Mafia, vous avez dit mafia ?

    • Sansebastien dit :

      Si tout est aussi clair que vous le dites, la CPAM des BdR doit pouvoir enquêter.
      Vous ne dites pas en quelle année le Diplôme de cette infirmière a été validé,
      si c’est avant 2006, c’est la DASS du département qui est en cause tant pour la validation de l’équivalence de son Diplôme Italien que son enregistrement.
      Si c’est aprés, c’est l’Ordre. Mais il manque donc des détails dans votre démonstration qui à cet instant peuvent être une manoeuvre de discréditation de cette institution, n’est ce pas?

      • onialapoubelle dit :

        Tu veux pas non plus qu’on te donne les documents qui sont sur le bureau du tribunal pendant qu’on y est ?

  46. onialapoubelle dit :

    LU SUR RESILIENCE :

    EPISODE 2 :

    l’ordre infirmier va être – une nouvelle fois – très secoué dans les minutes ou les heures qui viennent par l’annonce d’une démission, une de plus, à suivre …

  47. onialapoubelle dit :

    LU SUR RESILIENCE :

    EPISODE 1 :

    quand maman demande à adhérer à RESILIENCE et se fait passer pour une infirmière qu’elle n’est pas …

    puisqu’il s’agit d’une plainte – en cours – déposée au TGI de Lyon nous resterons volontairement « évasifs » sur le contenu mais nous pouvons affirmer, ici (preuves à l’appui), que l’ordre infirmier, grand pourfendeur des soit disant tricheurs, faux infirmiers de bloc opératoire, infirmiers, etc … compte en son sein, une personnalité de premier plan qui, pour des raisons qu’il appartiendra à la Justice du Peuple de sanctionner, a demandé à sa maman, institutrice en retraite, de s’abonner – chèque à l’appui – à RESILIENCE pour pouvoir pénétrer la face cachée de notre site …

    l’ordre infirmier qui – il y a peu – se faisait le porte parole du Conseil d’Etat, où il siège régulièrement faute de salles de réunions et de budget, devra donc logiquement (?) condamner son propre soldat de haut rang pour avoir faillit à la déontologie ordinale prônée par un code débile jamais publié au JO …

  48. Marie Francoise dit :

    et dire que j ai payer!!!!!!

  49. onialapoubelle dit :

    LU SUR TWITTER :

    1 / 2
    Mr Emmanuel ADAIN Le 18 avril 2013

    Lettre recommandée A/R
    Monsieur Didier BORNICHE
    Président du Conseil national
    de l’Ordre des infirmiers
    228 rue du Faubourg Saint-Martin
    75010 PARIS
    Objet : Démission du Conseil national de l’Ordre des Infirmiers
    Monsieur le Président,
    Je vous adresse par la présente ma démission de mon mandat de conseiller national de l’Ordre
    des infirmiers. Les conditions actuelles de fonctionnement du CNOI, l’absence d’action
    significative au bénéfice de la profession, l’absence totale de réponse à mon courriel du
    25 mars dernier en réponse à mes préoccupations légitimes de transparence et la politique
    désastreuse menée au quotidien à l’encontre des infirmiers libéraux ne me permettent plus
    d’exercer ce mandat avec un quelconque espoir de résultats utiles pour nos consœurs et nos
    confrères.
    Nous n’avons à ce jour, soit depuis troissemaines, reçu aucune délibération, ni aucun compte
    rendu du Conseil national extraordinaire du 25 mars dernier, pourtant organisé dans un climat
    d’urgence et porteur d’enjeux fondamentaux pour la pérennité de l’Ordre dans toutes ses
    composantes. Ce dernier épisode illustre bien le désert d’initiatives et de décisions partagées
    dans votre méthode de gouvernance.
    Le dépliant adressé aux infirmiers accompagnant l’appel à cotisation pour l’année 2013, que
    vous n’avez pas jugé utile de signer, vante « cinq combats pour la profession ». Qu’en est-il
    vraiment ? Laissez-moi plutôt vous mettre en face de vos cinq renoncements qui sont autant
    de défaites pour la profession.2 / 2
    Renoncement à promouvoir l’expertise infirmière :
    Les exemples abondent malheureusement de votre incapacité permanente à soutenir et mettre
    en valeur cette expertise :
    – Une action résolue poursauvegarder la qualité de l’accès à la formation initiale au niveau
    européen n’a pas fait partie des priorités du CNOI ces derniers mois. Votre Bureau n’a
    fait que se raccrocher aux associations représentatives des formateurs et des étudiants,
    heureusement plus vigilantes que vous pour l’avenir de notre profession !
    – Le groupe de travail ordinal pour contribuer à la réflexion de la mission SICARD sur
    l’accompagnement de la fin de vie a été mis en place… le lendemain de la remise du
    rapport au Président de la République !!
    – Vous n’avez pas jugé bon de faire contribuer le CNOI à l’élaboration du « Pacte de
    confiance pour l’hôpital » commandé à M. Édouard Couty par la Ministre de la Santé,
    alors que les infirmiers représentent les professionnels soignants les plus nombreux au
    sein des établissements de santé.
    – Vous vous désintéressez totalement de notre Code de déontologie, outil de
    reconnaissance essentiel de l’éthique et de l’expertise professionnelles.
    Qu’avez-vous donc à votre actif dans les « 3 rapports, 7 recommandations et 2 recueils
    d’expertises infirmières » consultables sur le site de l’Ordre ? Le CNOI n’a élaboré aucune
    position sur un quelconque sujet professionnel de fond depuis le début de votre mandat en
    juillet 2011. De même, les avis de l’Ordre sur les protocoles de coopération
    interprofessionnelle ne nous sont plus communiqués depuis le début de votre présidence.
    D’expertise, soyons francs, sous votre présidence le CNOI n’en a plus! Pour la conserver, il
    aurait fallu l’entretenir ou la renouveler. Vous l’avez étouffée sans rien apporter à sa place.
    Renoncement à professionnaliser et accompagner les élus ordinaux de proximité :
    Le plan de restructuration que vous avez conçu avec votre Bureau se résume à l’abandon des
    CDOI et l’asphyxie des CROI. Les conseils départementaux, qui devaient être le bras de
    levier de l’Ordre,sont exsangues, alors qu’ils sont indispensables à la qualité des relations de
    proximité avec les infirmiers et les institutions qui les emploient. Alors qu’ils devront
    préparer seuls le renouvellement de leurs élus dans quelques mois, ils sont toujours en attente,
    comme nous, d’une organisation claire et transparente sur ce sujet. Les élus sur terrain se
    découragent et démissionnent en cascade. Vous feignez d’ignorer cette réalité. Les
    délégations désignées par ARS sont si nombreuses que personne au CNOI ne prend même
    plus la peine de s’arrêter un instant sur les causes de cette situation. Alors que notre Conseil a
    la responsabilité et le devoir légal de rendre un avis dans chacun de ces cas, vous ne le lui
    demandez même pas! Le CNOI fonctionne en autarcie, ne consulte plus les départements,
    alors même qu’il prend ses décisions avec une représentativité toujours plus mince. 3 / 2
    Nous n’avons pas été informés de la récente réunion des présidents de CROI sur les élections
    à venir. Vous ne vous souciez plus de convoquer ni les membres du CNOI ni ceux des CDOI
    à ces réunions qui étaient pourtant, naguère, si riches d’échanges mutuels et précieuses pour la
    cohésion de toutes les composantes de l’Ordre.
    Renoncement à une politique d’égalité dans la gestion du tableau et le paiement
    des cotisations, en vous acharnant de manière systématique à poursuivre en priorité
    les infirmiers libéraux :
    Une grande partie de la survie financière de l’ONI est assise sur la cotisation des infirmiers
    libéraux. Votre vision étriquée de cette partie de la profession est édifiante. Vous n’avez eu de
    cesse de poursuivre et effrayer ces confrères pour les contraindre à payer leur cotisation. C’est
    peu de dire que vous traitez bien différemment lesinfirmiers salariés. On aurait pu penser que
    votre statut hospitalier vous aurait incité à plus de zèle pour convaincre vos collègues dans les
    hôpitaux. Il n’en est rien, vous y avez renoncé. Vous continuez votre acharnement sélectif qui
    masque mal votre incapacité à entraîner, à motiver, qui que ce soit. Le service juridique ?celui
    qui écrit vos textes pour vous, instruit les plaintes et poursuit les infirmières ? est bien le
    dernier qui fonctionne…
    Renoncement à une présidence digne du CNOI:
    Le CNOI est tout sauf serein. Comment pourrait-il l’être ? Tout le monde se souvient du
    soutien dont avait bénéficié l’équipe précédente dont vous étiez vice-président. Comment
    réussir cet exercice schizophrénique consistant à nier notre passé commun ? Combien de
    décisions avez-vous votées à l’époque, qu’aujourd’hui vous faitessemblant de condamner ?
    La réalité de la « gouvernance partagée » que vous avez tant vantée se limite à un Conseil
    national recroquevillé, un Bureau craintif à l’idée de tout partage avec les CROI et CDOI.
    Nous n’avons pas pu bénéficier cette année encore de votre rapport d’activité…Et pour
    cause !
    Vos bavardages sur votre hypothétique sauvetage ordinal ne sauraient tromper les infirmiers:
    sous votre présidence, le CNOI n’est plus que l’ombre de lui-même.
    Renoncement à porter et représenter une ambition pour notre profession :
    Une vingtaine de mois sous votre présidence nous ont éclairés sur vos compétences, votre
    expérience et votre dévouement à la tâche, par rapport au niveau qu’exige une telle
    responsabilité. La seule ambition qui vous anime ainsi que votre Bureau est à rechercher
    ailleurs. Vous vous sentez mieux dans un « costume » officiel de pure apparence – avec
    d’ailleurs peu de réussite – que dans la tenue de l’infirmier, le service véritable et l’échange
    direct avec vos consœurs et confrères sur le terrain.
    À votre image, le Bureau ne s’intéresse plus qu’à la banque, aux couloirs du ministère et, bien
    sûr, aux prochaines élections qui doivent concerner la plupart d’entre vous. Quel infirmier
    peut raisonnablement voir là une ambition pour la profession ?4 / 2
    Ma déception est immense. J’avais inscrit dans ma profession de foi pour être élu au Conseil
    national les priorités suivantes: « Veiller et travailler ensemble pour que les principes
    éthiques, de moralité, de probité et de compétences continuent à guider notre action (…) Pour
    que nous puissions ensemble faire évoluer notre profession et être garants de nos
    compétences ».
    Nous en sommes si loin aujourd’hui ! L’enthousiasme des débuts s’est échoué sur votre
    indifférence à l’égard des élus ordinaux et de nos missions essentielles. Sur vos calculs et vos
    comportements de « gouvernance », qui sont devenus insupportables. Ma place est bien plus
    utile auprès des patients que dans cette assemblée où vous-même et votre équipe avez cessé
    d’être « soignants ».
    Recevez, Monsieur le Président, les salutations qu’appelle votre triste bilan.
    Emmanuel ADAIN

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