
Pour l’instant il n’en est rien. L’hypothèse a simplement été formulée par un Comité pour la valorisation de l’Acte Officinal (donc par des pharmaciens), lors d’un colloque qui s’est tenu le 27 novembre dernier. Lors de l’événement, le comité a , en fait, posé la question de la place du pharmacien comme “nouvel interlocuteur des infirmiers” dans le domaine du “traitement des plaies chroniques“, en revendiquant les plaies et pansements comme une “voie de spécialisation d’avenir pour le pharmacien, de nature à fidéliser des patients“.
Le Sniil, qui anticipe une potentielle reprise de l’idée au niveau politique, prévient. Il “refusera toute ingérence des pharmaciens dans ce qui est le coeur de métier infirmier. Et ce d’autant plus que, selon différentes études régionales, les soins de pansements, simples ou complexes, font partie des actes les plus fréquemment réalisés par les infirmières et infirmiers libéraux, une à plusieurs fois par jour“.
Rédaction ActuSoins







Vous devez être connecté pour poster un commentaire.