
“Les besoins de renforts, certes moins criants aujourd’hui, sont encore présents, en particulier dans les structures médico-sociales (Ehpad)“, fait-elle savoir.
Par ailleurs, la situation épidémique sur le territoire “nécessite encore une grande prudence et implique de se préparer à faire face à une éventuelle seconde vague“, rappelle la DGS.
Besoins à anticiper
L’épidémie pourrait également se conjuguer avec un épisode de canicule, au cours duquel pourraient “découler des tensions dans les services hospitaliers“.
Médecins, infirmiers, pharmaciens, masseurs-kinésithérapeutes, diététiciens, aide-soignants, agents de services hospitaliers, agents d’entretien qualifiés… : “tous les volontaires sont invités à s’enregistrer” sur la plateforme, indique la DGS.
En fonction des besoins, les professionnels de santé pourront être mobilisés directement par une structure sanitaire ou médico-sociale souhaitant bénéficier de renforts ou par leur agence régionale de santé (ARS) pour venir en renfort d’une structure sanitaire ou médico-sociale.
Rédaction ActuSoins








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