Ces soignants vulnérables ne sauraient en revanche pas à qui s’adresser, indique l’enquête. Le niveau de connaissance en matières d’associations de soutien et de numéros d’écoute dédiés “est extrêmement limité“.
“Ce qu’ils demandent avant tout, ce sont des consultations physiques et une orientation simple vers des structures dédiées” explique le compte-rendu de l’enquête.
Vers la création d’une plateforme nationale avec des services dédiés
Afin de répondre aux attentes des professionnels en cas de souffrance psychologique, l’association Soins aux Professionnels de Santé (SPS) a engagé plusieurs actions concrètes en matière de repérage, d’orientation et de prise en charge. L’une des concerne la création d’une plateforme d’appel “nationale, interprofessionnelle, indépendante, tenue au secret médical, offrant écoute psychologique, aide et orientation“.
“Cette plateforme d’appel proposera aux soignants le choix de différents dispositifs existants et/ou des services dédiés pour leur prise en charge” précise Eric Henry, président de l’association SPS.
Concernant les lieux d’accueil, l’association s’est lancée dans la mise en place d’unités dédiées régionales réservées aux professionnels de santé en souffrance nécessitant une hospitalisation. Les premières structures labellisées SPS ouvriront courant 2017. La plateforme nationale verra le jour, quant à elle, début 2017.
Rédaction ActuSoins
L'ECG : méthodologie et lecture : formation e-learning | |
---|---|
S’approprier la méthodologie de lecture d’un électrocardiogramme afin d’adapter sa conduite à tenir. En savoir plus |
[Webinaire] ConvaFoam™ Silicone : Un atout des soins infirmiers, et si vous l'adoptiez ? | |
---|---|
Jeudi 3 avril de 14h à 14h45 Pour y participer (c’est gratuit), rien de plus simple. Rendez-vous sur le lien ci-dessous : |
Ne serait il pas plus judicieux de faire en sorte que l on puisse exercer dans de bonnes conditions et qu on puisse surtout bien faire notre job ?
Plus de trois quarts des professionnels de santé chercheraient de l’aide s’ils se trouvaient dans une situation de souffrance psychologique, indique une enquête menée pour l’Association Soins aux professionnels de Santé.
burn-outCes soignants vulnérables ne sauraient en revanche pas à qui s’adresser, indique l’enquête. Le niveau de connaissance en matières d’associations de soutien et de numéros d’écoute dédiés “est extrêmement limité”.
“Ce qu’ils demandent avant tout, ce sont des consultations physiques et une orientation simple vers des structures dédiées” explique le compte-rendu de l’enquête.
Vers la création d’une plateforme nationale avec des services dédiés
Afin de répondre aux attentes des professionnels en cas de souffrance psychologique, l’association Soins aux Professionnels de Santé (SPS) a engagé plusieurs actions concrètes en matière de repérage, d’orientation et de prise en charge. L’une des concerne la création d’une plateforme d’appel “nationale, interprofessionnelle, indépendante, tenue au secret médical, offrant écoute psychologique, aide et orientation”.
“Cette plateforme d’appel proposera aux soignants le choix de différents dispositifs existants et/ou des services dédiés pour leur prise en charge” précise Eric Henry, président de l’association SPS.
Concernant les lieux d’accueil, l’association s’est lancée dans la mise en place d’unités dédiées régionales réservées aux professionnels de santé en souffrance nécessitant une hospitalisation. Les premières structures labellisées SPS ouvriront courant 2017. La plateforme nationale verra le jour, quant à elle, début 2017.
Quand un soignant est en souffrance, vulnérable, et a besoin d’aide, la plupart du temps, ou bien il est inefficace, ou bien il ne peut plus travailler et il faudra que le travail qu’il effectuait soit redistribué : voilà comment on alimente la réaction en chaîne, car, à ce rythme, même les plus résistants finiront par être atteints.
Il faut donc commencer par le début, à savoir créer des postes et supprimer ce management d’un autre âge afin que les soignants puissent soigner, et bien !
Charlène Busuttil Darlène Bruère Juliette Cogez
Il y a des asistants sociales dans les cliniques?oui..elle s en occupe de notre souffrance?non !!!!je la connait mm pas…apres un arret de travail q n etait pas reconnu comme accident de trav(etranglement par un collegue avec les temoins q ont fait les morts apres)..le retour ete tres tres decevant et aucun envie de trav avec plaisir comme avant ..
Ma fille, aide soignante depuis 15 ans, vient de craquer : elle n’en peut plus de fatigue nerveuse et physique : 13 patients lourds et seule pour faire les toilettes, en plus elle se fait engueuler par les patients !!! A force de les pousser à bout, on les dégoûte du métier choisi par passion !
L association s est lancée …. ? vive le milieu associatif ?? dans les commentaires et le sujet ,beaucoup de “termes”, souffrance , burn out, vulnérable? , prise en charge, hospitalisation, écoutes dédiées ( à qui) extrêmement limité , soutient secret médical,repérage, orientation 2017 ! j entends parler de la souffrance et du burn out se sont deux termes étroitement liés mais il est important de bien les différencier . Dans l article précédents J entends la matrice de nos qualités de soignants !!!! Ç est dingue !!!!