
En Avril dernier, un rapport de l’urgentiste Patrick Pelloux et du président de la Fédération nationale des sapeurs-pompiers de France (FNSPF), Eric Faure, avait préconisé d’étendre à une plus large part possible de la population française la formation aux gestes qui sauvent, avec un objectif de 80% de la population formée. Le rapport appelait à former “en masse“, et “en continu“. Pour former “en masse“, il préconisait de multiplier les sessions d’initiation aux gestes qui sauvent de 2 heures.
La sensibilisation instituée par l’arrêté sera dispensée, en présentiel, sur une durée maximale de deux heures, et permettra à ceux qui la suivent, “d’assurer la sécurité de soi-même, de la victime ou de toute autre personne et de transmettre au service de secours d’urgence, les informations nécessaires à son intervention“, de “réagir face à une hémorragie externe et installer la victime dans une position d’attente adaptée” et de “réagir face à une victime en arrêt cardiaque et utiliser un défibrillateur automatisé externe“.
L’arrêté ne donne pas de précisions quant à l’organisation pratique de ces sessions.
Rédaction ActuSoins (avec APM)







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