Dans le contexte politique actuel en lien avec le projet de loi de modernisation de la santé, l’ANPDE “regrette l’absence de représentant du Ministère en charge de la Santé et plus particulièrement de la DGOS” lors de ces journées qui devraient regrouper 900 participants venus écouter une soixantaine de conférenciers.
A cette occasion, l’ANPDE réitère sa demande auprès du gouvernement de cadrage interministériel sur le niveau de sortie Master du diplôme d’Etat de Puéricultrice alors que le dernier “programme de formation date de 1983”, indique l’ANDPE.
“La réingénierie du diplôme d’Etat de puéricultrice doit être l’occasion de faire évoluer l’exercice en lien avec les autres professions de l’enfant, d’autant que la DGOS vient de lancer les travaux de réingénierie des auxiliaires de puériculture avec une potentielle reconnaissance d’un rôle propre”, ajoute l’association.
Par ailleurs, l’ANPDE, qui a participé à la création de l’Ordre infirmier, confirme son soutien à l’instance ordinale (tout comme les comme les Ibode)
“L’Association, souhaite, à travers ces Journées d’Etudes, que la profession comprenne que le rassemblement est plus bénéfique que l’affichage des divergences”, indique-t-elle.
Cyrienne Clerc
Parmi les sujets traités lors de ces journées d’études, ActuSoins a choisi de vous présenter l’intervention de Martine Samper, infirmière puéricultrice dans un SSR (Soins de Suite et de Réadaptation), sur l’éducation thérapeutique de l’enfant. Entretien avec Martine Samper.
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