François Fillon s’est dit mardi prêt à renoncer à l’instauration d’un quatrième jour de carence pour les arrêts-maladie des salariés du secteur privé à condition que soit trouvée une autre mesure permettant la même économie, selon des sources concordantes.
Le Premier ministre a souligné à cet égard “qu’il ne fallait pas remplacer une vraie économie par une fausse économie”, selon son entourage.
Un jour de carence (non pris en charge par la Sécurité sociale) dans le privé rapporte 200 millions d’euros à la Sécu, contre 120 millions dans le secteur public.
Un groupe de travail va être constitué par les députés UMP pour trouver une telle mesure dans les huit ou dix jours, a indiqué à la presse le président du groupe UMP, Christian Jacob.
“Je vois l’émotion de beaucoup de nos concitoyens qui ont appris que les fonctionnaires n’avaient pas de jour de carence” avant celui instauré la
semaine dernière, a déclaré le Premier ministre, selon des sources proches du groupe, confirmées dans son entourage.
“Je suis ouvert à toutes les propositions, ce qu’il faut c’est d’avoir une progression de l’Ondam (Objectif national des dépenses d’assurance-maladie) limitée à 2,5%“, a ajouté le chef du gouvernement.
AFP
Découvrez notre offre de formation spéciale IDE |
Healico : le partenaire privilégié pour le suivi des plaies des patients Trouvez facilement le traitement adapté à votre patient grâce au catalogue produits sur Healico ! Je télécharge Healico |
bien kettelie!! et même je pense qu’on ne s’arrête jamais vraiment pour rien, si en ayant un coup de mou nous faisons une erreur qui peut s’avérer catastrophique, on peut aller en prison, alors là il vaut mieux peut être être en arrêt. en ayant de meilleures conditions, cela passe par du personnel, alors la il y en aurait moins des arrêts, trop facile d’opposer public-privé pendant ce temps font nce qu’ils veulent et les gens tombent dans le panneau!!