
Une centaine de professionnels s’est rassemblé pendant 5 heures devant le ministère de la santé depuis ce matin, et attendent une assignation remise en main propre. La province se mobilise également, dont Nantes, Nîmes, Charleville-Mézières, Bayeux, Bordeaux, Annecy Perpignan ou Grenoble.
Les scènes de violence largement reprises ont probablement contribué à convaincre des infirmiers anesthésistes réticents.
Pour Marie Ange Saget, présidente du syndicat national des infirmiers anesthésistes, c’est “l’indignation et l’écœurement”. Il est “incompréhensible d’arriver une telle stigmatisation d’une profession de soignants” poursuit-elle, avant de conclure: “personne n’a envie de se résigner”.
L’assistance Publique convoque une réunion de ses directeurs d’hôpitaux cette après-midi.
Rédaction ActuSoins






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