
“Je ne veux plus qu’on exige des réductions de moyens” dans les feuilles de route des projets hospitaliers. C’est “antinomique de ma conception de l’hôpital“, et cette conviction est également celle “du gouvernement“, affirme-t-il.
“Je sors totalement du dogme de la réduction des lits ou du capacitaire“. Néanmoins, “cela ne veut pas dire qu’il n’y aura pas d’endroits où ce ne sera pas encore le cas et où cela ne fait pas sens de développer l’ambulatoire“, soutient-il.
Olivier Véran pointe aussi des “rigidités” concernant les autorisations demandées par les établissements. Il leur est parfois refusé d’avoir un appareil “d’IRM ou un plateau technique supplémentaires, sous prétexte “que des quotas sont atteints alors-même [qu’il peut y avoir] un mois et demi de délai pour accéder à l’imagerie” pour les patients.
“Nous avons en ce moment une réforme des autorisations qui doit passer en Conseil d’Etat s’agissant de la neuroradiologie interventionnelle, du SSR, et une finalisation est en cours sur la médecine nucléaire [pour les] grands brûlés“, déclare-t-il.
“Nous avançons étape par étape mais résolument pour aller vers une augmentation de nos capacités d’installation de plateaux techniques, partout où cela fait sens”.
Rédaction ActuSoins
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