A 39 ans, Nina (Annelise Hesme) se retrouve infirmière stagiaire sous les ordres de Léo, une “gamine” de quinze ans sa cadette, dotée d’un tempérament difficile, et du Dr Proust qui s’amuse à lui faire peur… Pour couronner le tout, Nina est la femme du patron, Costa Antonakis, son ex avec lequel rien n’est vraiment réglé malgré leur divorce.
Forte de ses années passées dans les hôpitaux au contact des médecins comme des infirmières et des aides-soignants, Nina, fille d’un grand interniste et d’une obstétricienne renommée, prend le risque de les décevoir pour tracer son propre chemin dans l’univers hospitalier auquel elle ne peut décidément pas échapper…
Nina, “drame médical teinté de ‘soap'”, selon AlloCiné, est “une série positive et grand public, portée par Annelise Hesme, en héroïne prête à régler ses comptes avec la vie.
Série féministe ou drame “soap” ?
“Tout en gardant une veine de comédie, les deux scénaristes se mettent du côté des “petites gens” des hôpitaux, les infirmières, coincées entre des médecins tout-puissants et des patients plutôt impatients”, avise le blog Bulles de Culture. “Côté mise en scène, la réalisation est efficace et sans temps mort. Le choix de tourner dans un vrai hôpital est un vrai plus”.
“L’hôpital Madeleine-Brès, où se déroule l’essentiel de cette nouvelle série de France 2, est un établissement normal, qui doit faire avec ses restrictions budgétaires, son manque de personnel, ses malades plus ou moins atteints et plus ou moins agréables, ses batailles d’ego entre médecins…”, souligne Le Monde.
“Sociale et féministe”, selon l’actrice principale, Annelise Hesme, plus sentimentale que médicalo pour d’autres, “façon « Grey’s Anatomy »–, en plus édulcoré, plus gentillet et pépère”,…
A vous de juger !
Cyrienne Clerc
je me suis forcée à regarder les deux épisodes jusqu’au bout, mais quelle torture ! j’étais encore en colère le lendemain matin ! une héroine qui est infirmière PARCE qu’elle a raté médecine, qui passe sa vie a discuter. 2 épisodes, pas une toilette, ni un change, ni une sonnette, ni une injection, ni un pansement ! Passons sur les clichés de l’étudiante infirmière bête qui pense qu’a coucher avec les médecins et la vieille grève avec 6 personnes qui tourne toutes nos réelles revendications et tentatives de grève au ridicule … Quant au diagnostic de maladie d’Alzheimer fait par un psychiatre au bout de 2 min de consultation et annoncé à la famille en salle de pause des infirmières, je préfère même pas commenter !!!!! UNE HONTE !!!