Selon une étude suédoise présentée au congrès de l’European Society of Intensive Care Medicine (ESICM), le taux d’occupation des lits en réanimation a un impact sur la mortalité des patients.

L’étude suggère ainsi “qu’une taille insuffisante pour une unité de réanimation peut avoir des effets délétères sur l’évolution des patients”.
En revanche, retarder la sortie du patient de réanimation, faute de place dans les services médicaux en aval par exemple, a également un effet délétère sur l’évolution des patients, selon une étude britannique.
Alors que les hôpitaux recherchent à la fois un taux d’occupation maximum et un taux de disponibilité élevé – deux objectifs contradictoires – une juste moyenne de séjour en réanimation aurait un impact positif sur l’état de santé ultérieur des patients.
(Avec APM)









Vous devez être connecté pour poster un commentaire.