
Cette dégradation «limitée», en comparaison du déficit de 323 millions de 2011, s’explique essentiellement par la hausse des cotisations retraite, décidée par le gouvernement, ce qui a alourdi leurs charges. Cela s’explique également par la modeste progression de leur activité.
En revanche, les CHRU ont fortement progressé en matière de chirurgie ambulatoire. Ils affichent en 2013 une hausse de plus de 30% de ce mode opératoire (…)
Si les CHRU se sont montrés de si bons élèves en 2013, c’est parce que les tarifs des opérations réalisées en ambulatoire, plus économes, ont été alignés sur ceux des opérations traditionnelles, plus coûteuses… Bref, les établissements avaient tout à y gagner.
Cette technique d’opération représente aujourd’hui, au sein des CHRU, près d’un tiers des actes de chirurgie, contre un objectif gouvernemental de 50% en moyenne pour tous les établissements en 2016.
Source Figaro







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