« En cas d’accident grave et sans directives anticipées, vous êtes à la merci d’autrui »

Sans la rédaction de directives anticipées et/ou la nomination d’une personne de confiance, une personne adulte qui ne peut plus communiquer et qui est confrontée à une situation médicale grave, accepte qu’un tiers puisse décider à sa place, explique Vincent Lautard, rédacteur de cet article. Cet infirmier et juriste en droit de la santé, auteur d’un chapitre sur l’affaire Vincent Lambert dans l’ouvrage «  Mourir au XXIe siècle », (éditions Doin), partage son point de vue et invite les soignants à parler des directives anticipées à leurs patients.

Cette chronique a été rédigée par un juriste en droit de la santé, pour ActuSoins.com

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Réactions

1 réponse pour “« En cas d’accident grave et sans directives anticipées, vous êtes à la merci d’autrui »”

  1. Enelyl dit :

    Bonjour
    Le gouvernement a tranché, le médecin se passera de directives anticipées

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