3 minutes – 3 questions : Nathalie Depoire, présidente de la Coordination Nationale Infirmière

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Evolution de la profession infirmière, conditions de travail, reconnaissance de la pénibilité... Trois questions à Nathalie Depoire, présidente de la Coordination Nationale Infirmière.

 
 
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8 réponses pour “3 minutes – 3 questions : Nathalie Depoire, présidente de la Coordination Nationale Infirmière”

  1. Cfdt dit :

    Pour les IDE et les IDE spécialisés, faut bien se renseigner et demander des comptes au SNCH, FO et CFE-CGC (en lien proche avec la CNI…) qui ont signer le protocole inacceptable….

    • julien64 dit :

      Seul le SNCH a signé le protocole et la CNI n’a aucun lien avec la CFE-CGV, vous devez confondre avec le SNPI. Qu’a fait la CFDT pour s’opposer au protocole ? Rien. La CFDT est toujours aussi autiste pour la défense des IDE.
      La CFDT méprise les IDE et les IADE. On l’a vu lors des manifestations de 1988 et lors de la dernière manifestation des IADES en 2010. La CFDT a osé calomnier les collectifs IADE qui ont été à la base du mouvement. Heureusement ils sont arrivés à se fédérer sans la CFDT et c’est tant mieux.

  2. Cfdt dit :

    ??? quel lien avec la CNI? Au fait, c’est plus d’un million de personnes qui avaient tous leurs trimestres et qui ont été en retraite avant légal et ca continu depuis ce matin! il est certain que les soit-disant trahisons d’hier de la CFDT sont aujourd’hui les revendications des autres! C’est le débat qui fait avancer la démocratie…

  3. Kamel dit :

    @CFDT Je ne pense pas que vous ayez des leçons a donner à un autre syndicat surtout avec la reforme des retraites en 2003 et la défense des infirmières au milieu des corps de la fonction publique Hospitalières qui donnent un salaire à 1.2 fois celui d un ASH .

  4. Cfdt dit :

    Combien d’adhérents? Quelles revendications différentes de la CFDT?Quel poid représentatif? aucun cet organisme ne répond pas aux critères légaux de représenativité et ainsi ne siège pas au Conseil Supérieur de la Fonction Publique Hospitalière, animé par le ministère de la santé!

    • la fee calome dit :

      Les revendications de la CFDT sont propres à une centrale syndicale multicatégorielle ! En quoi l’existence d’un ou plusieurs syndicat infirmier vous dérange t-elle ?

    • julien64 dit :

      Automne 1988, jamais les hôpitaux n’avaient connu un mouvement social d’une telle ampleur : coordination d’infirmières, des spécialisées, d’aides soignantes, d’agents hospitaliers, de médico-techniques ; 100 000 manifestants le 13 octobre. Dès le début du mouvement, un certain nombre de militant(e)s, des structures et la Fédération Santé CFDT se situent contre la coordination infirmières, la jugeant corporative, dressant les catégories les unes contre les autres et font tout pour la briser.

      Pour préserver l’appareil syndical, pour maintenir un syndicalisme de partenariat, de régulation sociale, il faut donc éliminer les « moutons noirs ». En même temps, on sauve le gouvernement Rocard. Car cette purge a non seulement coupé les ailes à plus d’une vingtaine de syndicats Santé et PTT en Ile-de-France, en leur ôtant locaux téléphone, courrier, matériel, droits syndicaux… mais a paralysé pour un temps le mouvement social, notamment dans la Santé.
      Les coordinations infirmières et aides-soignants/agents-hospitaliers se sont, elles aussi, retrouvées dans la rue, puisque hébergées auparavant dans des locaux syndicaux.
      À l’heure où il fallait retrouver un second souffle pour imposer une réelle application des accords Evin, et leur extension aux autres catégories et au secteur privé, les coordinations et les syndicats se démènent pour retrouver des locaux de réunion et de reprographie ; les militants syndicaux passant, pour le moment, plus de temps à expliquer les scandaleuses décisions fédérales aux équipes, aux adhérents, qu’à poursuivre l’activité syndicale proprement dite. Déjà, la fédération CFDT-Santé avec son appel « versaillais » , et ensuite avec la signature des accords Evin, avait participé à casser le mouvement des infirmières et des personnels de Santé. Elle avouait, par ses actes, sa défense du gouvernement et non pas celle des revendications des salariés.

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