
La ministre a mis sur le compte d’une brusque “flambée” de l’épidémie, l’engorgement des services d’urgences. Elle a indiqué que l’épidémie a ” sans doute une sévérité plus grande” ce qui justifierait les hospitalisations nombreuses suite aux passages des patients aux urgences.
Si le plan Orsan a été déclenché le 19 février, la ministre a précisé que ses services avaient commencé à prendre des mesures depuis le 23 janvier.
Le plan Orsan permet aux établissements qui ne l’auraient pas déjà fait d’ouvrir des lits d’hospitalisation et de déprogrammer des interventions afin de libérer de la place.
Une situation maîtrisée
Selon la ministre, et alors que la semaine dernière, les urgentistes dénonçaient encore une «situation sanitaire critique» dans les hôpitaux surchargés en raison de l’épidémie, un “reflux” de l’épidémie dans la région PACA ainsi qu’une tendance similaire en Ile de France aurait été observé. Elle s’est pour cela appuyée sur des chiffres donnés par ses services.
La pression épidémique dans d’autres régions reste importante.
Rédaction ActuSoins (avec APM)






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