“Quand je dis renforcer les moyens de la police, de la gendarmerie, des armées, je dis qu’il va falloir réduire l’Etat social, réduire le nombre de fonctionnaires, parce qu’il va falloir financer tout cela », a plaidé l’élu de l’Eure.
Pour « donner 500 millions d’euros supplémentaires » aux armées,« avoir plus d’effectifs, construire des places de prison qui coûtent très cher », la classe politique doit « être capable de dire qu’il faudra dépenser mieux dans les hôpitaux, dérembourser un certain nombre de médicaments, supprimer tous les régimes sociaux de retraite, modifier le statut de la fonction publique », a insisté Bruno Le Maire.
« Peut-on continuer à accorder la gratuité des urgences à l’hôpital pour des gens qui (…) ne veulent pas aller chez leur médecin de ville ? Peut-on continuer à avoir une aide médicale d’Etat pour des étrangers en situation irrégulière, qui se font soigner sans avoir donné un euro à la Sécurité sociale ? », a-t-il suggéré.
Rédaction ActuSoins (avec AFP)








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