Fixer les limites à ne pas franchir
Effectivement, Selon l’article 4 du 11.02.2002, l’IDE ne peut déléguer, à l’AS que des soins relevant de son rôle propre et pour lesquels les aides-soignants ont reçu un enseignement. Voilà pour la théorie ! “Dans la pratique, dès que je suis arrivée en service on m’a demandé de faire des choses qui dépassaient mon rôle et mes compétences” rétorque Robin, aide soignant dans un service de soins intensifs. L’éternel problème du glissement de fonction refait surface… “Les réunions de service servent à ça, à recadrer, à fixer certaines limites à ne pas franchir “ poursuit Mme Roche. En sachant qu’en cas de plainte l’infirmière qui a délégué mais aussi l’AS qui a accepté de faire un acte en dehors de son domaine de compétence en partageront la responsabilité. Malgré tout, il ne faut pas occulter l’aspect positif de cette collaboration. Les AS, moins enclins à la mobilité, sont souvent les plus anciens du service, ce sont également eux qui sont plus longtemps en contact avec les patients. “Quand je suis arrivée toute nouvelle dans le service, heureusement qu’il y avait les aides-soignantes. Elles m’ont expliqué les habitudes du service, les petites manies des médecins… enfin tout ce qu’on n’apprend pas à l’école ! “ raconte Karine, diplômée depuis décembre dernier. Outre ce rôle d’accueil, leur position dans la chaine des soins en fait le premier interlocuteur des malades, et bien souvent ce sont elles qui signalent qu’un “patient va mal”. ” Alors même si parfois c’est tendu il faut pas toujours faire attention aux petites remarques. Nos deux professions sont indispensables l’une à l’autre et une bonne prise en charge des patients mérite bien quelques efforts” ! conclut Audrey, IDE en réanimation.
Joel Ignasse
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Moi je veux aller vers le métier du secteur social (aide médico-psychologique) et le métier du secteur paramédical (aide-soignant).L’aide-soignant/l’aide médico-psychologique doit seconder l’infirmier,l’infirmier pouvait faire les soins:”donner les médicaments,régler la perfussion,donner des pirqûres,suivre les instructions du médecin…..”.Les aides-soignants,les aides médico-psychologiques pouvaient laver les malades,aider à marche……
Moi je veux aller vers le métier du secteur social (aide médico-psychologique) et le métier du secteur paramédical (aide-soignant).Les infirmiers/infirmières ne peuvent pas aider un/une aide-soignant/te à sourlever un malade.Les infirmiers doivent s’occuper la partie de médical:”nettoyer les bléssures,donner les pirqûres,poser les sérums,…….”,les aides-soignants et les aides médico-psychologiques pouvaient s’occuper la partie du ménage;”laver les malades,donner à manger,……”!
bjr!
Etant homme parmi des feminines collègues, il serait bon pour diminuer les tensions en virant les 2/3 de ces pipelettes qui profitant d une de leurs nombreuses pauses clopes,café,écoute de radio-couloirs pour enfin se consacrer ENFIN au travail!
Les services ne serait pas si difficile si la nature de mes alter-egos etaitent moins encline a bavacher sur les dos des absents(es).
Alors mesdames, de grâce, remballez (au moins pour le temps de service) vos langues de vipères pour plus facilement enterrer la hache de guerre, et vous verrez, vos collègues sont aussi au moins aussi professionnelles que vous!
Sainte Patience aidez moi!
On boss ensemble, pour la même cause : le patient ! Le patient a autant besoin des AS que des IDE. Alors collaborons 😉
pour moi le travail avec les aides soignants est essentiel et chez nous, en psy, même si chacun effectue les “tâches” qui lui sont attribuées officiellement, le travail avant tout un travail d’équipe où nous travaillons main dans la main!
‘@sophie, bien sur que vous etes débordées je ne le nie pas , ce que je veux dire c’est que par faute de temps, on perd le fil et c’est tellement dommage@bruno, nous sommes bien conscientes,, nous as que hierchiquement vous étes nos supèrieurs, et que tout soin nous est dèlèguè
il y aurait bcp à dire sur le travail en équipe, les mesquineries du quotidien, les moments forts, le manque de temps pour débriefer des pratiques des quiproquos. Sur cette quantification financière du soin qui fait des gestionnaires les pilotes obnibulés de la seule rentabilité ss le moindre doute d’ailleurs sur celle ci. Et dans le privé c’est pire
Je suis libérale et côtoie les as du ssiad
J ai été aide soignante avant d’ être infirmière et quand je le peux ( c est plutôt rare faute de temps) je les aide c est un métier très dur les aides soignantes sont en plus une véritable ressource pour nous alors travaillons main dans la main dans l intérêt du patient!
être responsable du travail de quelqu’un et pas reconnue comme son supérieur hiérarchique, il y a que dans notre profession qu’on trouve de telles “conneries”….
Mais nous sommes débordées Frédérique !!!! Ds notre cabinet sommes 3 et ns arrangeons pour ns envoyer SMS pour s aider ou tt simplement pour déc….. Et resto de TPS en TPS . A l époque où j étais en structure IDE et AS s entendaient à merveille et c t un véritable travail d équipe . Mais c l éternel “je t aime moi non plus ” !!!!
Je t’aime moi non plus, c’est la force d’une équipe, des jours ” avec” et des jours plus difficiles…Mais que ferions nous les uns sans les autres ?
tout a fait d accord av frédérique.je pars en libéral en janvier et ma grosse appréhension est justement d ne plus attraper d fous rires av mes collégues
malheureusement ça ce passe pas aussi bien partout
moi qui aie fait 7 ans dans un service de réa poly, nos binômes fonctionnaient à merveille, malgré les difficultés surtout morales nous étions en parfaite harmonie, les uns soutenaient les autres et vice et versa, maintenant que je suis en domicile ce cadre me manque, car les ide libéraux sont bien différents, (débordés disent ils) et quel dommage alors plus moyen de relacher la soupape car bien souvent nos jeux, infantiles, permettent de tourner en dérision notre souffrance à nos personnel paramédical.
Pas de jalousie mal plaçée est ma devise, ne pas laisser le collègue en faire plus, l’entraide+++,ça suffit les cancans et sachez, que, rire sans percussions sur le travail ne tue pas!!!Voilà, une super équipe pour moi!!!
et bien dans notre service il y a une super ambiance entre les AS et les IDE du moins dans l equipe du matin, et c est vrai on s adore et on rigole bien et il en faut par les temps qui court et on se demande meme si des fois cela ne gene pas qu on s entende si bien!!
moi j’étais As pendant 15 ans et je disais que les IDE ne nous aidaient que c’était pas normal et maintenant je suis IDE depuis 4 ans et bonjour le boulot IDE!!c’est vrai que le plupart du temps on a pas une minutes à soi!!là ou je bosse les AS ont le temps de fumer une cloppe régulièrement alors que bien souvent j’ai même pas 2 minutes pour aller au WC.Alors cool!!!
Je veux aller vers les métiers du secteur social et du secteur paramédical,je veux aider les gens.
pour reagir a votre article je tiens a vous signaler que je me suis fais violement reprendre par mon Ide pour ne pas avoir changer des irrigations ,encore quelque chose que nous n’avons pas le droit de faire.Le probleme est que nous depassons constement nos fonctions et que cela devient de plus en plus difficile pour les IDES comme pour les As ,a cause d’une surcharge de travail.Mais voila nous pouvons constater que tous les syndicats infirmiers se rassemblent pour detruire la fonction d’aide soignante et nous ridiculiser.Ex ,nous ne sommes pas des intellectuelles et ne pouvons avoir des conversations intelligentes ou n’avons pas de culture generale!!Pas tres sympa!Tout cela est negatif et fait bien rire les gens du gouvernement. Et nous passons. tous pour des idiots,car en realite cette guerre va faire disparaitre les aides soignantes pour laisser place au assistantes de vie !!!!Cela reflete t il la sagesse ??OU L intelligenge nourrie de haine et d’orgueil???
Un sujet si courant… dommage il aurait pu être un peu mieux développé. Des anecdotes un peu plus croustillantes, histoire d’alimenter la polémique et nourrir le feu des partisans du Oui à la liberté des déesses-AS, et du Non à la bolchétisation des soins. Un truc dans l’genre.
En ce temps de restrictions et de surcharge de travail, les conflits apparaissent plus facilement. Si au fond, chaque camp sait qu’il a besoin de l’un et de l’autre, l’usure sert de détonateur, sur ce sujet comme sur d’autres. En tant que cadre, si le temps le permet, permettre l’expression des frustrations et des mécontentements, apaise ce type de conflits.