“Ce ‘métier’, qui existe déjà dans de nombreux pays, nécessite pour une application efficiente en France d’être clarifié et il conviendrait d’en préciser les contours notamment pour les prétendants“, indique le Cefiec, soulignant que les questions de la formation, des missions, de la rémunération de ces futurs professionnels, restent “nombreuses et sans réponses“.
“Selon toute vraisemblance, la nécessité d’une formation semble incontournable et permettrait aux futurs assistants de prendre leurs fonctions dans les cabinets médicaux. Pour cela; il est important de penser et prévoir dès aujourd’hui le cursus adéquat pour les futures activités qui leur seront octroyées“, ajoute le Cefiec.
Vers des formations dispensées en IFAS ?
Des formations dispensées en IFAS (Instituts de formation d’aide-soignant) : c’est ce que propose le Cefiec, qui estime que ces instituts sont “aguerris à la mise en oeuvre des formations en santé” et “offrent un savoir-faire garantissant une employabilité immédiate“.
“Le maillage territorial offert par les instituts de formation propose une réponse à la problématique de certaines zones sous dotées en médecins, enjeu de la création de cette nouvelle mission“, estime par ailleurs le Cefiec, qui propose sa contribution pour construire une “formation adaptée“.
Rédaction ActuSoins
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