Espace Expert

bonsoir, il se peut qu'il y ait d'autres raisons mai voici les principales :

- absence de sensibilité du membre d'où incapacité pour le patient de signaler un problème (infection locale, veinite, extravasation...),
- possibilité d'algodystrophie,
- douleurs neurogènes...

les ponctions veineuses et artèrielles sont possibles dans les mêmes conditions que pour un membre sain.

En cas d'urgence la question ne se pose pas.

Voilà.

pour moi vieille infirmière j'ai eu aussi la même question au début de ma carrière 1976,les réponses données sont très logiques le patient avec une hémiplégie ne ressent rien et si la perfusion passe a coté le produit peut être toxique et peut provoquer une nécrose je l'ai déjà vu mais en urgence si le patient n'a pas de capital veineux autre que sur son membre paralysé on ne se pose pas la question on pose la perfusion ou l'on peut.
Maintenant peut être qu'une autre réponse plus logique sera proposé sur le site.

Bonjour,
ben pour ma part, je pense qu'il y a plusieurs raison (en ce qui concerne la pose de VVP)
-la sensibilité de la personne n'étant plus présente, la personne ne peut pas dire si il y a le moindre problème avec la voie.
-diminution de la circulation lymphatique
-à cause des douleurs neurogénes
-possibilité d'algodystrophie sur le membre
Enfin, je crois que c'est pour cela... mais bon, bien sur en cas d'urgence... je ne me prive pas

autre élément de réponse: si tu perfuses sur un bras hémiplégique (en cas d 'apparition de l hémiplégie) et que les symptomes sont en voie de régression, comment bien estimer l amélioration avec une VVP qui diffuse par ex?