Pourquoi tant de haine face à l’ordre infirmier ?

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Je remarque qu’il à beaucoup de questions sur l’ordre infirmier et que de nombreuses remarques sont concernant celui-ci sont négatives j’aimerais comprendre pourquoi ? J’ai un peu de mal à comprendre.

Merci d’avance pour vos réponses.

Voir les commentaires (15)

  • Je ne défends ni l\'un, ni l\'autre et ne reprend aucune réthorique.

    Pour revenir sur les propos que vous me prêtez, de façon erronée.

    - Au cours de l\'année 2011, j\'ai vu de nombreuses \"AG\" où les syndicats rencontrait les IDE pour les écouter et systématiquement, l\'ONI était mis sur la table par... les syndicats.
    J\'en veux pour preuve le AG des IADE qui avaient bon nombre de revendications mais se foutait pas mal de l\'ordre. Les syndicats (CGT, SUD) l\'ont systématiquement mis dans les conversations. D\'ailleurs, les premiers tracts et affiches de la grosse grève de 2011 , la lutte contre l\'ONI apparaissaient sur les papiers CGT et SUD et pas sur ceux des syndicats professionnels qui reprenaient les réclamations des IADE. Ecoutez les bandes et regardez les vidéos : les professionnels parlent d\'argent, de master et de sécurité, les délégués syndicaux aussi et rajoutent l\'ONI à chaque fois.
    Et ça ne touche pas que le \"AG\" IADE, à chaque mécontentement d\'IDE de fin 2010, 2011, j\'ai constaté le même jeu.
    D\'ailleurs les arguments tel que celui sur l\'HCPP ne peuvent pas émaner des IDE car la plupart ignorent même que cela existe et ce que ça veut dire.

    - Je n\'ai traité aucun pourcentage de votants de minable. Je n\'ai jamais dit que les membres ONI étaient mieux élus que les syndicalistes. Vous interpretez mes propos à votre guise.
    Je dis que les 14 % de votants de l\'ONI ne sont pas critiquables. D\'ailleurs en cette période électorale, croyez vous que le président de la république soit élu par la majorité des français ?..... Assurément pas.
    Le mode d\'élection de l\'ONI n\'est pas plus critiquable que celui des syndicats. Ce sont les mêmes.
    Pour ce qui est de l\'argent, lors des derniéres élections professionnels, dans mon hôpital, ils ont fait appel au personnel pour dépouiler le vôte, payés en Heures supplémentaires avec jour de repos le lendemain (dépouillage jusqu\'à 4 h du matin).
    Cela aussi nous a couté de l\'argent.
    Et les délégués syndicaux qui sont absent en mandat syndical comme la loi les y autorise et qui sont remplacés par de l\'interim ; là encore, ce sont nos impôts.
    Je ne critique pas ce point, je réponds juste à vos propos qui - à mon avis - ne sont pas reçevables.

    Vous parliez de ma rhétorique ; sachez que je ne suis pas adhérant à l\'ONI et que je ne le défends pas.
    En revanche, vos propos typiquement anti-ordre à coups d\'arguments trop longtemps rabbachés témoigne de vos engagements.

    Pour ma part j\'essaie de rester objectifs.

    Vous croyez que les IDE sont anti ordre : demandez leur... en fait, elles s\'en foutent comme de l\'an mil.
    Ce qu\'elles veulent, c\'est qu\'on les défendent et ni l\'ONI, ni les syndicats ne le font.

  • Je ne défends ni l'un, ni l'autre et ne reprend aucune réthorique.

    Pour revenir sur les propos que vous me prêtez, de façon erronée.

    - Au cours de l'année 2011, j'ai vu de nombreuses "AG" où les syndicats rencontrait les IDE pour les écouter et systématiquement, l'ONI était mis sur la table par... les syndicats.
    J'en veux pour preuve le AG des IADE qui avaient bon nombre de revendications mais se foutait pas mal de l'ordre. Les syndicats (CGT, SUD) l'ont systématiquement mis dans les conversations. D'ailleurs, les premiers tracts et affiches de la grosse grève de 2011 , la lutte contre l'ONI apparaissaient sur les papiers CGT et SUD et pas sur ceux des syndicats professionnels qui reprenaient les réclamations des IADE. Ecoutez les bandes et regardez les vidéos : les professionnels parlent d'argent, de master et de sécurité, les délégués syndicaux aussi et rajoutent l'ONI à chaque fois.
    Et ça ne touche pas que le "AG" IADE, à chaque mécontentement d'IDE de fin 2010, 2011, j'ai constaté le même jeu.
    D'ailleurs les arguments tel que celui sur l'HCPP ne peuvent pas émaner des IDE car la plupart ignorent même que cela existe et ce que ça veut dire.

    - Je n'ai traité aucun pourcentage de votants de minable. Je n'ai jamais dit que les membres ONI étaient mieux élus que les syndicalistes. Vous interpretez mes propos à votre guise.
    Je dis que les 14 % de votants de l'ONI ne sont pas critiquables. D'ailleurs en cette période électorale, croyez vous que le président de la république soit élu par la majorité des français ?..... Assurément pas.
    Le mode d'élection de l'ONI n'est pas plus critiquable que celui des syndicats. Ce sont les mêmes.
    Pour ce qui est de l'argent, lors des derniéres élections professionnels, dans mon hôpital, ils ont fait appel au personnel pour dépouiler le vôte, payés en Heures supplémentaires avec jour de repos le lendemain (dépouillage jusqu'à 4 h du matin).
    Cela aussi nous a couté de l'argent.
    Et les délégués syndicaux qui sont absent en mandat syndical comme la loi les y autorise et qui sont remplacés par de l'interim ; là encore, ce sont nos impôts.
    Je ne critique pas ce point, je réponds juste à vos propos qui - à mon avis - ne sont pas reçevables.

    Vous parliez de ma rhétorique ; sachez que je ne suis pas adhérant à l'ONI et que je ne le défends pas.
    En revanche, vos propos typiquement anti-ordre à coups d'arguments trop longtemps rabbachés témoigne de vos engagements.

    Pour ma part j'essaie de rester objectifs.

    Vous croyez que les IDE sont anti ordre : demandez leur... en fait, elles s'en foutent comme de l'an mil.
    Ce qu'elles veulent, c'est qu'on les défendent et ni l'ONI, ni les syndicats ne le font.

    Pour la fin de votre message, cela rejoint ce que j'ai dit : le second ennemi de l'ONI, c'est l'ONI lui même.

    Il a perdu toute crédibilité.

  • Karim, vous semblez quand même refaire l'histoire. Quelques inexactitudes:

    - vous parlez tout d'abord d'infirmiers qui ont suivi les syndicats; j'ai plutôt vu des syndicats surfer sur le refus de l'ordre venant des infirmiers (n'oubliez pas que les ide sont peu syndiqués, et que l'ordre infirmier n'est pas la priorité des syndicats, du fait). Votre chronologie ne tient pas, sinon comment expliquer qu'un collectif CODI se forme avant l'intersyndicale? Le refus vient des infirmiers.

    - vous parlez des élections en banalisant le score minable. Je vous rappellerai juste que ces élections se sont déroulées sur 15 jours, et ont couté 1.5 millions d'euros donné par l'Etat (donc vous et moi, quel dépense inutile...). Avec de tels moyens, un si faible résultat devrait interpeller.

    - vous dites que les membres de l'ordre sont mieux élus que les syndicalistes...dois-je vous rappeler qu'à leur actuelle, ils ne sont plus élus, mais juste prorogés par un décret dû à leurs connivences politiques?

    - vous avez oublié de dire que l'ordre siège aussi au HCPP. A ce sujet, d'ailleurs un communiqué de la FNI (syndicat pro-ordre à la base) dénonce le silence total de l'ordre lors des dernières réunions auquel il a participé (s''il participe)...encore une fois, on voit l'inutilité du truc.

    - pour le salon infirmier, et la fameuse poche d'urine, qui est devenue à vos dire de la fausse m..., s'il s'agit d'un infirmier, il doit être en poste aménagé, ou cumuler un poste avec son invalidité. Vous savez bel et bien qu'il s'agit d'une personne usagère de santé, fort mécontente. L'ordre a ensuite saisi le truc pour se victimiser...une fois de plus, avec le discours anti syndical. A ce jour, on a surtout vu l'ordre tenter de s'attaquer aux syndicats, avec un truc reporté à l'an prochain pour resilience, et un autre carrément abandonné dans le Jura.

    Tout ça pour dire que vous reprenez surtout la rhétorique ordinale, visant surtout à se victimiser, et tout lâcher sur les syndicats ou Le Boeuf, présidente mise à la porte après que certains élus en place aient été évoquer cette histoire du logo auprès de la presse (mais ils n'ont pas voté pour ce logo?).

    Dernier exemple de ces mensonges ordinaux, ou l'on réinvente la réalité: la cotisation n'augmente pas, dixit Borniche. On apprend aujourd'hui que si le pris n'augmente pas, la cotisation sera désormais sur 10 mois au lieu de 12. Soit 20% de hausse.
    Enfermé dans sa propre vérité...voilà aussi une des raisons de l'échec de cet ordre.

  • L'ONI aurait pû être un contre pouvoir des grandes centrales syndicales.
    Qui sont à ce jour les seuls représentants des travailleurs - infirmiers. Les syndicats professionnels ont peu de poids.

    Quand le lobbie Saint Anne à réussit à faire passer l'ONI au nez et à la barbe des grandes centrales, celles-ci ont mené une campagne contre l'ONI.
    Il ne faut pas se leurrer sur les arguments.
    14 % de votants pour l'ONI ? Certes... mais les syndicalistes CGT, FO, Sud etc... qui siègent autour des tables du ministères sont élus par combines d'IDE ?... .pas plus. D'ailleurs, on entend suffisamment ceux çi se plaindre du peu de voix exprimés par les IDE lors des élections professionnelles.
    On évoque l'HCPP en disant qu'il y a un cumul de missions ; mais qui connait l'HCPP ? Qui sait ce qu'il s'y passe et s'y dit ?
    Et qui siège à l'HCPP ? .... Les grandes centrales syndicales.

    Aujourd'hui, l'ONI à deux ennemis principaux : D'une part les grandes centrales que j'évoque plus haut et qui ont une force de nuisance très fortes. La plupart des IDE qui refusent l'ONI ne savent même pas qu'elles sont les voix de ces centrales.

    Deuxième ennemi : l'ONI lui même. En effet, celui-çi à cumuler les erreurs et le bourdes. Et bon nombre d'IDE qui y croyait ou qui leur donner du crédit "pour voir" sont déçus. L'ONI, très handicapé par le mouvement d'opposition, n'a pas su gérer sa naissance et son début de carrière.

    Il ne faut pas oublier que lors des salons infirmiers, des syndicalistes des centrales ont débarqué, démonté le stand ONI et balancé de la fausse m.... et autres saletés.
    Des méthodes bien loin des valeurs infirmières que revendiquent les syndicats.

    Donc, pour résumer.
    A la base : une vraie lutte de pouvoir de représentation ; les centrales ayant la main mises sur les hôpitaux (CHSCT, CAP, etc...).
    Des IDE Libérales qui cherchent à se faire une place (sur représenté par rapport aux autres dans les institutions ONI)
    Et enfin, un ONI qui perd tout crédibilité auprès des hésitants et des dubitatifs et qui a même fait partir ceux qui ont cru en lui.

  • Bonjour, que d'écriture pour ce sujet très controversé. Il est vrai que l'ordre a été très mal géré dès le début : ils ont eu les yeux plus gros que le ventre et c'est bien dommage.
    Le fait que l'ordre ait été "sauvé" par le Ministère en demandant à la banque d'être tolérante m'a clairement déplu car je ne crois plus en cet ordre et en ses dirigeants actuels ou passés.
    Je pense que la liquidation judiciaire aurait due aller jusqu'au bout en remettant en route un nouvel ordre sans crédit à rembourser, sans dette pour que les cotisations se servent pas à rembourser les créanciers.
    Là, je pense que je me serais inscrit et que j'aurais cotisé. Mais tant que l'ordre infirmier actuel sera en place, il ne verra pas mon chèque de sitôt.

  • Juste un élément à vous apporter car je lis tout et son contraire!!!J'ai le code de déontologie de l'ordre entre mes mains même si cela peut en surprendre certains!!!L'ordre a donc travaillé un peu..
    Je vous répète que ce dernier a pris un mauvais départ que je déplore comme vous.Il n'empêche qu'il a changé de gouvernance
    et qu'il va enfin pouvoir se mettre au travail réellement.
    Sans vos cotisations,ses manoeuvres seront limitées voir nulles.Son but,je me répète,est de nous rassembler pour nous représenter.Si vous n'en voulez pas,je ne vais pas continuer mes discours inutiles face à des bornés..Quand le débat devient stérile,j'ai bien d'autres choses à faire...
    Salut à tous!!!J'ai 58 ans,j'ai beaucoup donné pour cette profession ,j'espère que vous en ferez de même mais mon ressenti est tout autre!!!

  • BonsoIr, pour répondre à sombardier Tu as exprimé ce que l'ordre nous déblatère ! La loi est la plus forte ! Notre profession nous pousse à REFLECHIR ! La loi est la plus forte ? Si la loi est absurde devons nous nous plier ? Elle nous parle d'un exercice illégale en cas de nos adhesion ! L'adhesion nous donne t-elle un savoir supplémentaire? Une crédibilité? Un nouveau statut? NON ! Meme en tant qu'adherante svp reflechissez ! Qu'elle valeur à notre DE ? Qu'elle valeur ont nos études et notre experience ? Cet organisme et les moyens qu'il emploi nous rabaisse ! Meme pour 1€ qu'ils aillent au bout de leur menace qu'ils me saisissent sur mon compte ! Je n'y adhererai jamais

  • Merci pour toutes ces réponses qui me permettent de me faire mon propre avis, me voilà partager maintenant. Je vais prendre le temps de réfléchir à tous ça et je choisirais au moment voulus en tout cas merci pour vos réponses et explications

  • Sombardier, j'ai du mal à comprendre votre contre argumentation, qui consiste juste à juger ma personne sur une réponse. Je ne suis pas inscrit à l'ordre, vous n'êtes donc pas qualifié pour avoir le moindre avis sur ma personne.
    Votre avis sur mes compétences me semble moins important que celui de "mes" (c'est affectueux, mais ce ne sont pas les miens) patients.
    Pour être jury de TFE, on me considère comme infirmier, bien que non inscrit à l'ordre, pour intervenir en milieu carcéral, on me considère comme infirmier, etc. C'est bien en pratique le diplôme d'Etat qui fait de nous des infirmiers, et non pas l'inscription à l'ordre.

    Enfin, puisque vous parlez de syndicats, force est de constater que l'ordre infirmier est bien noyauté par ceux-ci, au point de jouer avec la loi. Le SNPI par exemple a vu son président arriver au sein du CNOI. Comme on ne peut pas être président de syndicat et élu ordinal, ce président est devenu "secrétaire général".
    Un autre élu voulait aussi que son temps ordinal soit compté en heures sup, au même titre que son temps syndical.
    Je ne suis pas syndiqué, au risque de vous décevoir, mais votre argumentaire anti-syndical ne fait que de renforcer ma première argumentation.
    Enfin, d'un point de vue chronologique, le refus syndical d'un ordre est venu bien tardivement, après que les infirmiers aient montré leur mécontentement. Si les syndicats avaient d'ailleurs joué leur rôle, il n'y aurait pas eu création d'un nouveau syndicat (resilience), et surtout cette histoire d'ordre serait réglée depuis un moment.

    Enfin, si de la haine transparait de mes propos (je n'y vois qu'une énumération de faits, qui peuvent être avancés comme explications au refus de l'ordre), si cette haine vous semble perçue, sachez qu'elle est à l'image de celle qu'éprouve une majorité des infirmiers rejetant l'ordre, et qui se voient menacés d'exercice illégal alors qu'ils exercent leur art avec toute conscience professionelle et éthique.

    Je vous ai évité quand même un gros pavé, puisque je n'ai pas abordé le code de déontologie qui n'est jamais sorti, les échanges de courriers d'insultes entre élus, les 4 cdoi qui ont démissionné dans leur intégralité, la note du trésorier qui demande aux élus d'éviter de s'avancer en tapant dans la caisse, et de nombreuses autres histoires qui rendent l'ordre vraiment peu crédible.

    Il s'agissait du premier ordre pour une profession à majorité salariée: force est de constater que ce modèle ne marche pas chez nous.

  • C'est à Cédric que je souhaite répondre car sa propre réponse est pleine de haine,de désaveux et plus...J'imagine mal cette personne dans le soin!!!Car n'oublions pas que le soin est le devoir premier de tout IDE avec une grande tolérance et plein d'autres qualités....
    Quand Cédric mélange politique et union de toute une profession:c'est plus que grave,c'est inqualifiable!!Je vois qu'il parle du front national et là je devine la grandeur d'âme du personnage!! S'il avait parlé de l'UMP,j'aurai eu la même réaction,rassurez vous!!Il prétend ne pas vouloir faire un pavé mais il en a fait un, et énorme!! Il confond l'intérêt d'une grande profession et la politique...
    Que d'interrogations pour moi face à cette haine!!
    Un syndicaliste révolté? Je ne sais même pas..
    Il y a eu des dérives,certes,lors de la mise en place de cet ordre mais elles peuvent se réparer et on le constate
    actuellement.La tolérance(j'y reviens!!),qu'en faisons-nous?Si nous n'en sommes pas les premiers vecteurs ,c'est un comble!!
    Le discours de Cédric est destructeur et je le déplore dans nôtre profession,encore une fois.Il ne propose rien de mieux et c'est ce qui est révoltant!!Ma propre note pour sa bafouille? Un énorme zéro!!!
    Pour ce qui est de mes interventions jugées tardives,sachez que je ne passe pas tout mon temps devant la toile et que j'ai un job et une vraie vie à côté de toutes ces polémiques qui deviennent politiciennes...Heureusement pour moi d'ailleurs!!
    Et pour les patients dont j'ai la charge:ils ont besoin de
    voir face à eux quelqu'un de serein,équilibré et épanoui.
    De la haine qui transpire en permanence,de la négation pure et dure,ils n'en veulent pas!!!
    Je vous rappelle quand même que c'est eux qui connaissent le mieux le soignant:par son regard,ses mimiques,son toucher...nous le savons tous d'ailleurs!!
    Soyons donc positifs en aidant cet ordre à se construire réellement et nous serons enfin représentés et unis pour mieux affronter le quotidien,pas toujours top..
    Si l'ordre n'a pour l'instant rien fait de concret ,c'est parce qu'il se construit tout simplement.Il en est au stade des fondations et il faut qu'elles soient inébranlables pour que l'édifice qui s'y reposera n'en soit que plus noble et grand.C'est cet édifice qui nous représentera,nous unira et nous écoutera.Laissons-lui le temps de sortir de terre,sans critiques,haine ou révoltes trop injustes.
    Nôtre union fera enfin nôtre force.