Cette classification est le fruit de trois années de travaux sur l’utilisation des pansements avec les ATouPlaies. En tant qu’institut nous avons exercé un regard d’expertise critique au sens positif et négatif sur ces dispositifs médicaux.
Nous avons pu observer les résultats suivant en utilisant ces dispositifs en lien avec les ATouPlaies :
- Nous évitons de dessécher les plaies et à l’inverse nous évitons la macération des plaies.
- Nous limitons les phénomènes inflammatoires.
- Nous évitons l’apparition de fibrine sur le lit de la plaie.
- Nous optimisons et uniformisons l’information sur les plaies exsudatives.
- 99% des soignants trouvent une utilité à quantifier les exsudats afin de choisir le pansement absorbant le plus adapté (1).
En conclusion nous avons démontré qu’il n’existe pas de mauvais pansements, mais qu’ils sont COMPLEMENTAIRES, tous laboratoires confondus.
Philippe Viseux de Potter, Infirmier libéral,
PDG d’I-Cica institut de la cicatrisation,
Directeur d’ATouSoins Formation Continue
PDG d’I-Cica institut de la cicatrisation,
Directeur d’ATouSoins Formation Continue
Réforme de la nomenclature des pansements remboursables
En 2016, les pansements hydrocellulaires sont désormais répartis en trois classes, selon leur type d’absorption (moyenne (absorp moy), importante (absorp impte) et superabsorbants) et leur adhésivité, avec un tarif qui leur est propre : joe_20160311_0060_0030
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