L’Ordre infirmier réclame de nouvelles compétences pour les professionnels

Infirmiers et masseurs-kinésithérapeutes, entendus jeudi 6 février par la commission des Affaires sociales de l'Assemblée nationale, souhaiteraient que la loi les charge de missions de permanence des soins. Didier Borniche, président de l'Ordre infirmier, s'est prononcé en faveur d'un statut d'infirmière praticienne de premier recours. 

L'Ordre infirmier réclame de nouvelles compétences pour les professionnels infirmiersLa mission d'information sur l'organisation de la Permanence des soins (PDS) de la commission des Affaires sociales de l'Assemblée nationale, présidée par le député Jean-Pierre Door (UMP, Loiret), a procédé, le jeudi 6 février à l'audition des paramédicaux représentés par leurs ordres.

Didier Borniche, président de l'Ordre national des infirmiers (Oni), a, d'abord souligné que "les infirmiers ne font pas légalement partie de la PDS qui est  dévolue aux médecins, pharmaciens et établissements de santé" et a déploré que la loi Hôpital-Patients-Santé-Territoire ait "oublié" les infirmiers alors "qu'ils jouent un rôle majeur dans la prise en charge de premier recours".

[dropshadowbox align="none" effect="lifted-both" width="autopx" height="" background_color="#ffffff" border_width="1" border_color="#dddddd" ]"Les infirmiers libéraux ont une obligation de continuité des soins"[/dropshadowbox]Si les infirmiers n'ont pas une obligation de mission de service public dans le cadre de la PDS, "ils ont une obligation de continuité des soins quand ils ont pris un patient en charge" et cela se fait, a-t-il dit, "souvent à des heures tardives qui relèvent plus de la PDS".

"Les patients à domicile nécessitent des soins de plus en plus lourds, parce qu'il s'agit de patients polypathologiques ou parce qu'ils sortent de plus en plus tôt de l'hôpital", a souligné le président de l'Ordre infirmier.

Les infirmiers font dans la réalité de la PDS

Didier Borniche a cité en exemple le cas des patients sous anti-coagulants injectables "qui nécessitent une présence et une surveillance, seulement rémunérée à AMI 1, soit 3,15 euros, hors majoration de nuit, de dimanche ou de jour férié".

Il a souligné également le cas des infirmiers qui injectent des poches d'antalgiques dans des cathéters pour les patients qui sortent à N+1 après une chirugie orthopédique. Or, dans ce cas, un médecin doit pouvoir intervenir à tout moment. "Ils agissent ainsi seuls en dehors de leur cadre reglementaire d'exercice et mettent en cause leur responsabilité civile", a-til précisé.

Autre difficulté soulignée par le responsable de l'ordre, celle concernant la coordination des soins : "quand le patient revient à domicile avec un traitement qui a changé", alors que "dans peu de cas une fiche de liaison est remise au patient à destination de l'infirmier libéral".

[dropshadowbox align="none" effect="lifted-both" width="autopx" height="" background_color="#ffffff" border_width="1" border_color="#dddddd" ]"C'est à la loi de changer les choses"[/dropshadowbox]Didier Borniche a ainsi reproché aux ARS "de ne pas prendre en compte les infirmiers exerçant en libéral ou dans des établissements médico-sociaux dans la démarche d'organisation de la permanence des soins ambulatoire", mis à part l'expérimentation d'infirmière de nuit en Ehpad en Ile-de-France. "C'est à la loi de changer les choses", a déclaré Didier Borniche.

Une réflexion sur les nouveaux métiers

Cela doit s'accompagner d'une réflexion sur les nouveaux métiers, a défendu Didier Borniche qui souligne l'apport potentiel des infirmiers pour "un prédiagnostic, des examens techniques courants ou le renouvellement d'ordonnances dans le cadre de pathologies chroniques".

Et de citer les compétences élargies des paramédicaux à l'étranger : concernant le tri des urgences, en Suède, des infimières dans les centres de d'information de santé  peuvent donner des conseils ou juger qu'une prise en charge en urgence est nécessaire. Au Royaume-Uni, "des conseillères infirmières qui ont cinq ans d'expérience dialoguent avec les appelants, réalisent une évaluation clinique des symptômes et adressent ensuite les patients au segment les plus appropriés des soins.". Cela nécessite "une compétence hautement spécialisée des infirmiers" et "une formation solide"

Autre exemple, celui de l'Advanced nurse practitioner au Royaume-Uni, "une infirmière de pratique avancée de premier recours ou soins primaires qui exerce en complémentarité avec les médecins généralistes par exemple au sein des maisons de santé". Ces infirmiers qui ont suivi une fomation supplémentaire de niveau master "interviennent dans deux champs spécifiques, la délivrance  des soins de première ligne et la prise en charge des maladies chroniques", a expliqué le président de l'Ordre.

[dropshadowbox align="none" effect="lifted-both" width="autopx" height="" background_color="#ffffff" border_width="1" border_color="#dddddd" ]"L'accès au soin est amélioré car cela réduit le temps d'attente des patients. Les conditions d'exercice des professionnels sont aussi améliorées"[/dropshadowbox]"Ces infirmiers servent de porte d'entrée dans le système, sans remettre en cause la sécurité des soins, l'infirmier pouvant à tout instant orienter le patient au médecin" , a précisé Didier Borniche, soulignant l'avance en matière de coopération en la matière dans les pays scandinaves et anglo-saxons  "pour répondre à des problèmes de démographie médicale mais aussi en raison d'une recherche d'optimisation des coûts".

En Suède, des infirmiers spécialisés peuvent depuis 1994 prescrire des traitements dans un cadre strict. Depuis 2006, au Royaume-Uni, ils peuvent  "prescrire tous les médicaments sauf les stupéfiants".

"L'accès au soin est amélioré car cela réduit le temps d'attente des patients. Les conditions d'exercice des professionnels  sont aussi améliorées, surtout le développement de compétences infirmières complémentaires des médecins engendrent de nouveaux services. L'efficience du système de santé passe par ce renforcement des soins primaires", a estimé Didier Borniche. Autre exemple cité :  les 3000 strutures gérées exclusivement par des infirmières en techniques avancées aux Etat-Unis ouvertes 7 jours/7 pour les soins primaires.

Pour un statut d'infirmière praticienne de premier recours

Le président de l'Ordre se positionne en faveur d'un "statut d'infirmière praticienne en soins de premier recours de niveau master" pour la prise en charge de soins non programmés, la consultation de suivi des pathologies chroniques, l'éducation thérapeutique, la vaccination sans prescription,...  

Il propose que soit expérimentée "une consultation infirmière de première ligne" qui permettrait "d'apprécier les conditions de rémunération et de formation de ces infirmières praticiennes ainsi  que de fixer  leur cadre d'intervention et leur dégré d'autonomie et de responsabilité", ce qui nécessite "une évolution du cadre d'exercice en l'organisant par missions". 

[dropshadowbox align="none" effect="lifted-both" width="autopx" height="" background_color="#ffffff" border_width="1" border_color="#dddddd" ]"Une élévation du niveau des compétences"[/dropshadowbox]"Le débat est mûr en France pour réfléchir à ces métiers intermédiaires", affirme-t-il, soulignant l'apport du Plan Cancer 3 avec l'annonce de la création d'un métier d'infirmière clinicienne en cancérologie pour des examens complémentaires et la reconduction de traitements spécifiques, sur la base d'une formation master. C'est "le maillon manquant, comme vient de l'indiquer le rapport des sénateurs Génisson et Million" , remarque-t-ilCes professions nouvelles entraîneront "une élevation du niveau de  compétences", explique Didier Borniche.

Une telle évolution serait également une réponse aux déserts médicaux alors que "44 % des infirmières libérales exercent dans des communes de moins de 20 000 habitants. (...) On aurait tort de se priver de cette ressource sanitaire". Il a  également posé  la question de la prise en charge en Ehpad et le problème de l'absence d'une infirmière de nuit dans 85 % des Ehpad alors que cela "permettrait de faire baisser de 38 % le taux d'hospitalisation et d'éviter 18 000 hospitalisation par an dans les services d'urgence", comme l'indiquent les chiffres du rapport de l'Observatoire de fin de vie. "Ce qui représente un important coût financier et humain", a-t-il ajouté.

Une volonté de travailler avec les ARS

"Est-ce que vous avez déjà eu des relations institutionnelles avec les ARS sur cette question de la permanence des soins ?", a demandé Jean-Pierrre Door à l'Ordre. "A ma connaissance, non", a répondu le président de l'Oni. "C'est un souhait émis par notre Ordre.

"Chaque cabinet infirmier libéral se retrouve être de fait de garde puisque les infirmières répondent au téléphone pour les urgences (...) Nous répondons également à des sorties d'hôpitaux le dimanche pour les injections, les pansements", a précisé Jean-Yves Garnier, infirmier libéral dans la région caennaise qui a regretté l'absence de cadre légal. Cette évolution explique le regroupement d'infirmiers dans un même cabinet pour permettre des roulements, a-t-il ajouté.

[dropshadowbox align="none" effect="lifted-both" width="autopx" height="" background_color="#ffffff" border_width="1" border_color="#dddddd" ]"Chaque cabinet infirmier libéral se retrouve être de fait de garde puisque les infirmières répondent au téléphone pour les urgences"[/dropshadowbox]"Est-ce qu'il ne pourrait pas y avoir un lien entre les maisons médicales de garde et les infirmiers ?", a encore interrogé le député UMP. "Il serait tout à fait possible d'organiser ce lien", a estimé Jean-Yves Garnier, faisant valoir le maillage serré de cabinets infirmiers sur le territoire.

Quant à l'Ordre des masseurs-kinésithérapeutes auditionné à la suite de l'Oni, il a tenu à rappeler aux parlementaires que la profession s'était d'elle-même organisée pour assurer la PDS et prendre en charge en urgence des enfants souffrant de bronchiolite, par exemple. La rapporteure Catherine Lemorton (SRC, Haute-Garonne) a souhaité savoir si la profession attendait un texte législatif qui impose mais également encadre la PDS. "Ce serait tout à fait bien qu'il y ait un texte qui l'organise", a répondu François Maignien, le vice-président du Conseil national de l'Ordre. "Notre présence ici va dans ce sens", a renchéri son président, Jean-Paul David.

Cyrienne Clerc

 

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Réactions

68 réponses pour “L’Ordre infirmier réclame de nouvelles compétences pour les professionnels”

  1. eusebe dit :

    Il est bon de rappeler que la création de l’ordre s’est faite de façon assez confidentielle, à l’initiative d’un groupe d’associations très peu représentatives et s’étant pompeusement proclamées « les forces vives de la profession » (le groupe Sainte-Anne) ; on n’oublie pas non plus, qu’un énorme mensonge a été servi aux parlementaires pour la création de la loi, à savoir que 92 % des infirmiers désiraient se soumettre à un ordre.

    Maintenant, on constate que presque 4 ans et demi après l’appel à inscription et cotisation initial, rien ne se fait sans heurt et que, menaces, intimidations et harcèlements sont les moyens utilisés pour faire du chiffre.

    On attend aussi avec impatience la publication des comptes 2013 avec le montant de la dette à rembourser et celui de la provision pour risques qui fait pleurer les ordinaux.

  2. cedr1c dit :

    En quoi l’ordre permet une reconnaissance salariale? Je crois que tu confonds missions ordinales avec missions syndicales.
    Un ordre, ça permet de privatiser une gestion administrative et de sanctionner ses inscrits. Pour le reste, ses missions n’ont rien de plus que celles du hcpp.

  3. infirmier38 dit :

    Alors non désolé je ne suis ni conseiller ni en campagne. je n’ai malheureusement pas le temps de me consacrer a defendre notre métier de part mon métier en libéral et mon activité ISP. mais simplement je défends un organisme qui fera avancé notre métier et qui me défendra au sein de l’assemblée. car ce ne sont certainement pas les organisations syndicale qui le feront, mise a part se battre entre elle, elles ne savent rien faire, mais c’est un autre probleme ca.
    apres comme je ne sais plus qui l’a dit, chacun est libre de penser ce qu’il veut. tout le monde (meme une grande majorité) ne votera pas mais apres ne vous plaignez pas de ne pas evoluer dans votre métier, de ne pas avoir de meilleur salaire… rester dans votre statut actuel, a vous plaindre en permanence sans que personne ne vous defende, pour ma part je souhaite reellement que le metier d’infirmier évolue, que lon ai de nouvelles compétences … et je crois que seul l’ordre pourra le faire afin d’avoir une representation parlementaire.

  4. cedr1c dit :

    Et tu annonces combien de votants à ces élections d’un ordre tant représentatif? 14% lors des dernières élections, je suis prêt à parier qu’il y en aura moins.

  5. cedr1c dit :

    Pierrefrançois, une majorité d’infirmier veut cet ordre si on te lit…pourquoi Mameri et compagnie pleurnichent alors contre la facultativité?

  6. Pierrefrancois dit :

    « Monsieur le Président, les plus de 560 000 infirmiers, électeurs et
    contribuables attendent ainsi, en exerçant au quotidien dans l’illégalité de fait,
    payés pour bon nombre d’entre eux par l’État chaque mois, que vous preniez
    la mesure de leurs attentes. »

  7. eusebe dit :

    A Résilience, on ne prétend pas être des milliers : peut-être ne sommes que 5, peut-être ? Mais qu’a donc à craindre l’ordre des infirmiers, vitrine de la profession, des actions de 5 personnes opposantes au point de supplier la justice de dissoudre le syndicat de cette poignée de gens ? Êtes-vous à ce point mauvais pour ne pas convaincre 600000 infirmiers moins les 5 précités, qui eux, ne seront jamais d’accord ? Serions-nous assez persuasifs (à 5) pour vous empêcher de délivrer votre bonne parole ?

    Nous pensons tout simplement que vous ne réussirez pas car les infirmiers n’ont pas besoin de vous, et ce ne sont pas les menaces, les intimidations et les actions en justice qui nous ferons changer d’avis.

    Si un ordre professionnel avait été nécessaire aux infirmiers, il aurait été approuvé et suivi : tel n’est pas le cas et pour cela vous avez échoué.

  8. Pierrefrancois dit :

    Et Résilience qui passe son temps à se dire 600000 (quand il ne prend pas en plus en compte tous les paramédicaux pour se dire 1 million !) alors qu’ils sont cinq ?

    • moutarde dit :

      Selon la DREES,

      495 834 IDE au 01/01/2009

      534 378 IDE au 01/01/2011

      595 594 IDE au 01/01/2013

      On doit non seulement ne pas être loin des 600 000 IDE mais être au dessus.

      Ce qui n’arrange pas le CON qui affiche fièrement 146 000 IDE (24 %) dont 80 % (19 %) de cotisants.

  9. eusebe dit :

    Comment ton président peut-il parler au nom de la profession alors qu’à peine un quart des infirmiers sont inscrits, et souvent parce qu’ils ne pouvaient pas faire autrement ?

    Que tu veuilles te soumettre à un ordre, soit, c’est ton droit, mais que tu veuilles y faire adhérer toute une profession sans leur consentement, cela est intolérable. Ton ordre ne sert à rien et a contribué de façon majeure à de véritables scissions au sein de la profession.

    La plupart des infirmiers n’ont rien demandé et de fait, rejette cette organisation. Vos élections serviront de révélateur à la popularité de votre association.

    Au fait, à qui a-t-on l’honneur ?

  10. Pierrefrancois dit :

    On aurait attendu un débat sur le premier recours, sujet clef de la stratégie nationale de santé, on a Dechilly, Soulcié et consorts qui nous parle du temps passé par le président de l’Ordre à l’hôpital…
    C’est bien, cela avance !

  11. eusebe dit :

    Le nombre de conseillers sera bien inférieur à ce qu’il était, et les postes ne seront pas tous pourvus, comme lors de l’élection nationale (je devrais dire la désignation) anticipée. Mais qu’importe, ce sera un succès quand même…

  12. syndicat RESILIENCE dit :

    vous voulez rire un peu ? 🙂 : http://www.youtube.com/v/o86EPI1bSkU

  13. moutarde dit :

    Il est juste à côté de la plaque du fait que borniche et Cie ne sont pas/plus connectés avec la réalité du terrain (cf fin de vie, psychiatrie, violences…etc).

    – On ne peut pas comparer une PEC initiale, avec la continuité des soins et encore moins la PDS. Et non, l’IDEL n’est pas tenue de répondre positivement par 1 PEC à la suite d’un appel téléphonique d’un patient qu’il/elle ne connaît pas. Ce n’est donc pas une garde au sens des professionnels pré-cités et même pas l’obligation légale de répondre au téléphone.

    – C’est quoi le rapport aux ACT ? Le rapport avec les IDEL qui outrepassent leurs compétences et risquent leur DE et autres ? Tous/toutes les IDE(L) vont évoluer vers la pratiques avancées ?

    – Se féliciter de 1 IDE pour 250 à 300 « vieux » en EHPAD, c’est une vaste fumisterie… probablement pas les mains dans la m…. au quotidien et ce, depuis bien longtemps. Par ailleurs, sans prescription, prescripteur ni protocole…

    – L’ordre encourage les glissements de tâches à tous les niveaux avec une « réflexion » sur les nouveaux métiers (sans reconnaissance dont salariale, avec un statut bâtard, couverture assurancielle spécifique…etc). Les métiers intermédiaires ne combleront évidemment pas seulement l’intervalle IDE/médecins.

    – La GB, pas reconnue comme un modèle en terme d’accès aux soins, des IPA bossent en tant qu’ IDE de soins généraux ou… ne bossent pas.

    – Rôle d’1 IPA au jour d’aujourd’hui en libéral ?

    Actuellement, dans tous les discours dont politiques : IPA pour compenser à bas coût le temps médical insuffisant (pb de numérus clausus) et la mauvaise répartition des médecins sur le territoire.

    Par ailleurs, ce récent engouement ordinal pour les IDEL est très intéressé : « élections » obligent.

    N’oublions pas non plus que le nombre de conseillers est au prorata du nombre d’inscrits…

    Enfin, il s’agit aussi d’asseoir son petit pouvoir sur toute une profession. Problème, borniche et compagnie n’ont aucun pouvoir sur les non inscrits.

    • Pierrefrancois dit :

      Et qu’est-ce que tu proposes ?
      Les commentateurs, on en a suffisamment merci. Des gens qui proposent et qui s’engagent, il y en a peu.
      Quand Borniche va à l’Assemblée nationale défendre le rôle de premier recours de l’IDE que la loi HPST a refusé, face à une mission parlementaire présidée par un médecin, composée de médecins et d’une pharmacienne, et bien au moins il a du courage d’affirmer une parole infirmière. On aimerait bien les voir dans ces circonstances les courageux commentateurs derrière leurs écrans et leur pseudo d’épicerie !

  14. cedr1c dit :

    Pendant ce temps, Perol le véritable patron de cet ordre est mis en examen.

  15. cedr1c dit :

    Vesunna et toutes ses casseroles…

    Infirmier38, tu parles de ne pas être larbins et applaudis un ordre qui demande à ce que l’ide déleste le docteur des vaccins, parce que ça leur prend du temps, ou est ta logique?

    • infirmier38 dit :

      car prendre d’acte de faire des vaccins, c’est etre le larbins du medecin?? faire des consultations pour de petites patho c’est etre larbins de médecins?? non désolé, c’est prendre de nouvelles compétences afin que notre métier soit interessant du point de vue des soins. et ne pas rester cantonner a appliquer betement ce que nous dicte le médecin.

  16. hugues dechilly dit :

    tiens Patrick Livernet est de retour ??? comment vas tu vesunna ??? çà souffle pas trop du côté de Périgueux ???

  17. vesunna dit :

    C’est toi qui est d’un autre temps Hugues. Mets ton sens de l’envahissement de l’espace infirmier et des médias au service de la profession, tu feras enfin œuvre utile pour ce métier que tu prétends défendre.

    • eusebe dit :

      Ah oui, conseiller ordinal, IDEL dans cette belle ville de Périgueux (là où je suis né), comme le temps a été long et ce silence pesant ; alors, on se prépare à remettre ça, au service de l’organisation qui, parait-il, elle, défend la profession ; on peut avoir un aperçu de la profession de foi ? Mais, ôtes moi d’un doute, il n’est pas interdit à un inscrit, de surcroit conseiller, d’utiliser un pseudo sur un forum ? Tu devrais montrer l’exemple…

      Pour en revenir à des propos d’ordre (aïe, ce mot…) plus général, on constate un afflux soudain des défenseurs des valeurs ordinales : c’est la grande offensive pré-électorale ?

  18. onialapoubelle dit :

    Je crois que vous êtes complètement à côté de la plaque en pensant que monsieur Borniche et ses amis ordinaux puissent faire quelque chose pour notre profession. Au Québec, les IDE sont aussi dans la même mouise que nous et pourtant, là bas, la cotisation ordinale est obligatoire. Là bas, comme ici, les dirigeants ordinaux prennent des positions qui sont contre la pensée majoritaire infirmière. Nous avons pu constater, sous Sarkozy, comme sous Hollande, que toutes vos gesticulations envers les politiques ne servent à rien sauf à desservir la profession. Les seuls qui tirent leur épingle du jeu dans cette navrante aventure ordinale sont les banquiers et les assureurs qui ont bien compris que messieurs Borniche et consorts, membres du bureau national depuis 2008, (compris sous la présidence Leboeuf et qui essaient de le faire oublier) feront tout pour faire rembourser la dette ordinale par les IDE qui se lèvent à 4 ou 5 heures du matin pour aller bosser pendant que les autres se la coulent douce, derrière un bureau de la rue du Faubourg Saint Martin, ex rue Saint Ane. En définitive, une fois les dettes engagées par monsieur Borniche et compagnie, la banque pourra vous lourder, quand les infirmières auront assez casqué.

    • infirmier38 dit :

      Sauf que l’on a quand meme obtenu la reconnaissance à bac +3, de nouvelles compétences IDE, une revalorisation salariale aussi bien hospitalier que libérale. C’est un début et faut encore avancer mais on est dans le droit chemin.
      Pour en revenir au Québec, je crois que vous vous trompez : il y a trois types d’infirmier la bas : de base, praticien et clinicien. Donc un statut différent selon le niveau d’étude et donc des compétences bien différentes d’ici (consultation, prescription ttt, recherche, formation). Pour un salaire bien mieux revalorisé à partir du statut clinicien par rapport à la France. Meme les IDE portugais sont mieux payer que nous.
      Mais vous avez raison, rester dans votre idée de boycotter l’ordre, rester seule à vous défendre au lieu de rejoindre un gros organisme qui pourra défendre vos intérets et l’évolution de notre métier. Car sincèrement si les 500000 IDE de France étaient inscrit, les politiques ne réagiraient pas du tout de la meme façon envers nous car un demi millions de voix en moins cela change la donne. Nous serions la première corporation ordinale de France donc nos revendications seraient entendu je peux vous assurer.

      • eusebe dit :

        Des revendications de quoi et pourquoi faire ? Si la majorité des IDE a refusé cet ordre, ce n’est pas dû à un défaut de communication ou autre chose du même acabit, c’est bel et bien parce que ce truc, né de la volonté de quelques illuminés frustrés, et avec la bénédiction du pouvoir de l’époque, ne sert à rien et n’aurait, de toutes façons jamais constitué un contre-pouvoir tant il estt dépendant des politiques.

        Votre discours est le même que celui de 2008 qui a conduit à plus de 86 % d’abstentions aux élections (à l’endroit, cette année là…). On savait l’ordre capable de jouer avec les fluctuations de l’espace-temps grâce à son maître kalkul2doze, mais nous réchauffer des âneries vieilles de 6 ans, là, il fait fort !

        L’ordre va disparaitre car il n’aurait jamais dû exister, il va falloir retourner bosser, il est fini le temps de vivre aux frais des infirmiers !

      • infirmier38 dit :

        Vous etes comme tous ces IDE qui ne défendront jamais leur profession…c’est bien dommage de voir et prendre les choses que l’on acquis il y a déja plusieurs années sans voir l’évolution incroyable que peut prendre notre profession.
        C’est bien la le problème de notre profession et le faite qu’il n’évolue pas. FAIRE AVEC ce que l’on a… triste vision et déni de la profession.
        La durée de vie d’une IDE en France est en moyenne de 7 ans, je comprends maintenant pourquoi les gens changent de voie pro avec ce genre de discours qui n’incite pas à une évolution du métier.
        Vivre aux frais des IDE, mais MDR !! ben oui c’est pas la population francaise qui va payer notre ordre !! 30€/ an c’est vrai que ca empeche de vivre ca. Cela me désole.

      • eusebe dit :

        Alors, un petit rectificatif : pour les salariés, ce n’est effectivement pas la population française qui paye, ce sont bien les professionnels ; en ce qui concerne les libéraux, la cotisation passe dans les frais professionnels, et là, c’est bien le contribuable qui paye votre ordre.

        Et montrez moi, comme ça, pour voir, ce que votre ordre a fait pour faire évoluer la profession : quels sont ses résultats ? Ses missions et objectifs sont-ils réalisés ? Et bien non ! Car sur les sujets essentiels, on n’a rien vu ! On peut citer la pénibilité, la formation initiale, etc…

        Que vous vouliez un ordre, c’est votre droit, mais, s’il vous plait, ne l’imposez pas à celles et ceux qui n’y voient qu’un organisme inutile et parasite ainsi qu’un asservissement de la profession à des dogmes dépassés et réactionnaires.

      • hugues dechilly dit :

        vous devriez remettre vos infos à jour car la durée de vie professionnelle d une IDE a plus que doublé en seulement dix ans …
        que vous vouliez payer une cotisation à un ordre est votre droit mais que vous l imposiez à l ensemble de la profession est une gageure qui explique largement le peut d entrain que les plus de 600 000 IDE en activité mettent dans le suivi de cet ordre qui ne sert à rien …

        l avènement de l ordre est basé sur un gros mensonge qui disait avant 2006 que 92% de la profession était pour mais dès qu il s est agit de voter, moins de 14% y ont participé … cherchez l erreur 🙂

        les ordres professionnels sont des structures d un autre temps, structure qui étoufffent et uniformisent, là où la richesse d une profession est faite de ses diversités, la profession IDE en est un bel exemple … puisque depuis quelques semaines, l ordre se mêle de tout, se positionne sur tout et son contraire y compris en allant contre les idées de la majorité des IDE en activités …

        alors continuez à envahir l espace infirmier et les médias, c est le meilleur moyen pour continuer à vous faire jeter et rejeter car c est la preuve de votre inutilité et de votre nuisibilité affligeante et nauséabonde …

        entre la prise de position sur l épilation au laser, celle sur la fin de vie, celle sur les nouvelles pratiques, etc … on se marre tous les jours …

        pour le reste, rira bien qui rira le dernier …

      • ide54_78 dit :

        bac + 3 : ah non ! seulement pour certains, vous ne pouvez donc donc pas dire que « on  » a botenu ..!
        revaloristaion salariale ? c’est une blague ?

  19. infirmier38 dit :

    C’est sur qu’en voyant certain commentaire, cela laisse voir la vision de notre métier et l’évolution qu’il peut prendre. Non nous ne sommes plus des nonnes et encore moins les larbins des médecins. Nous sommes capable de prendre des décisions et cela passe par une meilleure compétence du niveau infirmier et donc un champs d’action accrue et bien entendu une meilleur formation afin de réaliser et mettre en action notre véritable métier. Prenez exemple sur les infirmiers au canada ou aux royaume uni messieurs les députés. L’ordre infirmier défendra ceci mais pour cela il faut que nous soyons fort, cest a dire avoir un grand nombre d’inscrit afin de faire enfin entendre la voix des infirmiers. Et cela passera bien sur par une revalorisation salariale. Cela serait une évolution majeure pour notre métier et surtout au niveau libéral.
    Après certaines se plaignent de ne pas avoir de temps pour déjà faire nos compétences : et ben délaissons en certaines de nos compétences et consacrons nous complètement au pure travail ide afin d’en prendre de nouvelles.

    • onialapoubelle dit :

      Il est certain que les IDEL ont intérêt à promouvoir de nouvelles compétences pour espérer gagner un peu plus, louable en est-il, au détriment des toilettes et des soins de nursing qui ne rapportent plus assez. Ainsi, jouer au médecin de campgne en lieu et place des toubibs qui ne veulent plus le faire, et on les comprend, ne vous donnera rien de plus puisque le pouvoir politique de gauche ou de droite, faut pas rêver, ne vous apportera rien de plus. Pour les IDE les choses sont différentes puisque le nombre de patients pris en charge au quotidien ne modifie pas le salaire à la fin du mois. Sauf que la qualité des soins est directement dépendante du rapport IDE/quota de patients. Mais de la qualité des soins, ceux qui vont se faire soigner au Val de Grâce, ils se moquent.

    • eusebe dit :

      L’ordre infirmier n’a rien à craindre de l’inscription facultative qui s’annonce : pensez donc la voix de 6000000 infirmiers portée par le meilleur d’entre eux, plébiscité en décembre dernier, qui pourrait y résister ? Les inscriptions se feront en masse et la communication actuelle basée sur la délation à la justice, ARS, ou autres CPAM et les demandes de dissolution des opposants, n’aura plus raison d’être.

      L’inscription obligatoire ayant échoué, essayez donc l’enrôlement facultatif !

  20. Pourquoi tj critiquer? Quand l’ordre ne bouge pas ca va pas! Quand il bouge ca va pas non plus! C’est bien le problème de cette profession de ne se reconnaître que dans la plainte….et dans l’immobilisme! Ce discours ets plutôt favorable aux ide…

    • ide54_78 dit :

      parce que le peu qu’il fait c’est complètement à côté de la plaque !
      vouloir copier les canadiens, vouloir copier les médecins, pondre un pseudo rapport sur l’épilation …
      alors qu’il ne pourra rien faire sur les salaires, les conditions de W, le statut …

      pas plus tard que mecredis, plan cancer, le Pdt a parlé du rôle des médecins du travail; mais des IDE du travail nada. Et le machin a-t-il réagit ? pfff que dalle aussi.
      z’ont surement mieux à faire.

  21. quichou13 dit :

    Petite erreur: « qui nécessitent une présence et une surveillance, seulement rémunérée à AMI 15, soit 3,15 euros »: c’est AMI 1 et non 15 …..le chiffre de 3.15€ est correct. Suis je la seule libérale a lire l’article?

  22. onialapoubelle dit :

    Ben quand on bosse à 20% au CHU de Rouen en dialyse (enfin il paraît) ça laisse quand même 80% (payé par les cotisations IDE) pour raconter des bêtises !

  23. Comment voulez vous que notre profession evolue quand on lit les commentaires! C est sur que tout ca est plutot tourné vers le liberal, mais se sont des vérités, 3, 15 euros pr une sc et toutes les autres injustices qui sont effarentes qui nous rappel quotidiennement que nous ne sommes « que des infs' »! En attendant sans les idels on ferai comment, vous connaissez beaucoup de généraliste qui repondent au tel 24/24h, qui sont en 1er en post op chez les patients? ?nous sommes seul, nous prenons nos decisions et essayons de ne pas deranger le corps medical pour rien, la reconnaissance c est le maitre mot! Et en service c est pareil!Le pb des etudiants me fait rire , c est nous qui les formons, c est eux qui nous soignerons demain! Donc a nous de ne rien laisser passer , ils n ont plus de msp, a nous de prendre nos responsabilité et de contacter les ifsi! Je préfère que notre profession ai ces propres representants, ces pairs, non syndiqués mm si tout n est pas parfait, c est quand mm le seul vrai moyen de se faire entendre et de faire du lobby, comme le font très bien les docs.

  24. onialapoubelle dit :

    Nouvelles compétences alors que nous n’avons déjà pas les moyens d’assumer celles que nous avons et que nos compétences actuelles ne sont ni reconnues financièrement, ni statutairement : à commencer par la non prise en compte de la pénibilité IDE.
    Alors les incompétents infirmiers qui causent sans savoir feraient mieux d’aller voir ailleurs si on a pas besoin d’eux pour faire des toilettes et poser des vvp au lieu de raconter des âneries.
    Et des nouvelles compétences à salaire constant = non merci !

  25. Les médecins défendent rarement leurs infirmières …. J’ai assez d’expérience pour l’avoir bien trop souvent constaté. Pour eux nous sommes niaises et leur larbins….

  26. ide54_78 dit :

    au lieu de vouloir péter plus haut que son trou, M. BORNICHE et consort ne se rendent-ils pas compte qu’il serait déjà plus intéressant pour les soignants en service ( ce que eux ne sont plus depuis moult) d’avoir le temps nécessaire pour assurer nos missions !!

  27. ide54_78 dit :

    Autre difficulté soulignée par le responsable de l’ordre, celle concernant la coordination des soins : « quand le patient revient à domicile avec un traitement qui a changé », alors que « dans peu de cas une fiche de liaison est remise au patient à destination de l’infirmier libéral ».

    et donc rajoutons du boulot au IDE lieu de rappeler leurs obligations aux médecins ??

  28. Chaque génération de DE a apprendre de l autre, il ne faut pas oublier qu’ au final nous allons travaillons ensemble, il serait préférable de garder un bon.esprit d équipe et de soldarite afin de travailler ensemble pour dispenser des soins de qualité aux patients et non à se tirer dans les jambes !

  29. eusebe dit :

    Borniche en action sur tous les fronts : Borniche qui est favorable à de nouvelles compétences, Borniche qui défend les étudiants « pris en otages » par l’hospitalisation privée, Borniche qui signalent aux procureurs les « brebis galeuses » (les non-inscrits), Borniche qui assure la promotion de ses élections…
    Attention, l’âge est là, gare au surmenage et à la possible crise d’apoplexie ; le 80 % ordinal n’est-il pas de trop ? Ne vaudrait-il pas mieux un 0 % ?
    Et que cet ordre disparaisse et nous fiche définitivement la paix !

  30. eusebe dit :

    En fait, on ne parle que de l’activité libérale : ce sont les ordres libéraux en quelque sorte qui n’utilisent les salariés que comme des cotisants.
    De plus, ces personnes parlent en leur nom propre, et, en aucune façon pour une profession qu’ils ne représentent pas.

    • quichou13 dit :

      la majorité des cotisants sont libéraux…. d’ailleurs quasi tous les libéraux cotisent contre tres peu de salariés…

      • moutarde dit :

        Tous les libéraux ne cotisent pas et même que tous les libéraux ne sont pas inscrits.

        Et cet intérêt soudain pour les IDEL cache quelque chose 😉

    • infirmier38 dit :

      Afin de défendre les ide hospitaliers encore faudrait-il qu’il soit bien représenter. ce n’est pas avec une minorité d’adhérent que leur voix va etre entendu. Pour une fois qu’un organisme peut vous défendre, profitez en et arreter de penser que l’argent de la cotisation ne sert qu’à engrosser les élus !!

      • onialapoubelle dit :

        Les cotisations ordinales payées par les infirmières rackettées et menacées par vos amis ordinaux, vous avez raison, ne servent pas à engraisser les élus, sauf peut être monsieur Borniche qui est toujours rétribué à 20% par le CHU de Rouen et à … 80% par les cotisations. Non, elles servent à engraisser les banques qui ont prêté 19 millions sans aucune garantie que la simple bonne foi de madame Leboeuf et de monsieur Borniche en 2008. On voit où la bonne foi ordinale vous a mené !!!

      • onialapoubelle dit :

        Et posez vous la simple question de savoir pourquoi monsieur Borniche et ses amis banquiers continuent de maintenir un ordre infirmier qui est voué, depuis le début, à échouer.

      • infirmier38 dit :

        Non désolé l’ordre n’est pas ou plus voué à l’échec. L’ordre n’a pas encore les pleins pouvoirs car pas assez d’IDE (notamment hospitalier) inscrit donc ne peut défendre correctement l’interet des IDE. Arretez de vous plaindre, vous avez 30€ par an à donner alors que les médecins demandent 350€. Oui on a pas le meme salaire certes mais cela correspond au prorata salariale.
        L’ordre a eu un gros gros souci de communication je l’avoue mais aucun autre organisme ne pourra défendre nos interets et l’évolution de notre métier dans les années à venir.

      • moutarde dit :

        La cotisation n’est pas le problème. Même gratuit, il n’intéressera pas ou sera tout autant rejeté.

      • cedr1c dit :

        Infirmier38, quels sont les pouvoirs d’un ordre a part d’avoir le droit de sanction sur ses cotisants?

  31. Les nouveaux DE comme vous dites ne sont pas moins compétents. Je donnerais bcp pour savoir ce que vous valiez en sortant de l’ifsi. Au lieu de râler sur eux apprenez leur à devenir aussi bons que vous mais moins langue de vipère. Ça fera avancer le schmilblick…

  32. C’est fou comme les critiques du nouveau DE (réforme) a camoufler les nuls (lles) de l’ancien DE (programme)

  33. Mathieu Guyon dit :

    Encore de la poudre aux yeux ordinale pour faire croire qu’ils vont améliorer notre rôle et nos conditions de travail, mais supprimons une bonne fois pour toute cette entité inutile qui ne défend personne à part l’intérêt de ses élus. Encore une « agence gouvernementale » créée pour mettre le fils du député au bon endroit…

  34. Aleks Alex dit :

    Si jamais ça voit le jour, j’espère qu’il y aura une sélection ++ des infirmiers à l’entrée en master et un salaire en conséquence. Il faudra penser par la suite à augmenter le niveau clinique (examen clinique notamment) en IFSI… Toutes ces évolutions nécessitent à mon avis de mieux trier les étudiants à l’entrée car quand je vois le niveau des nouveaux DE, on est loin de l’advanced practice… Juste comme ça en passant…

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