24 h aux urgences, cela redémarre le 20 février

| 1 173 vues | | mots clefs : 7 réactions

Le jeudi 20 février, à 23h50, TF1 diffusera la nouvelle saison de "24 heures aux urgences", une série documentaire de six épisodes de 65 minutes.

24 h aux urgences, cela redémarre le 20 févrierIls sont médecins, infirmiers, aide-soignants ou ambulanciers...  Ils ont été filmés 7 jours sur 7 par 70 caméras qui ont ainsi remplacé une pléiade de cameramen. Aussi efficace mais plus discret.

Après Montpellier en 2013, les caméras ont filmé cette année le Centre hospitalier universitaire de Poitiers, le seul de la région Poitou-Charentes.

Dix jours consécutifs d’immersion et, au final, 3 000 heures de rush pour montrer autant la partie visible que l'envers du décor.

Côté pile, la course contre la montre, la programmation des examens, la coordination entre les différents services… Côté face, la douleur, l’attente des résultats, la visite du médecin, l’écoute du diagnostic, la décision d’opérer ou pas.

Derrière la blouse, des hommes et des femmes

"On voulait essayer de montrer que derrière la blouse blanche, ce sont des hommes et des femmes", affirme Frédérick Lacroix, producteur de l'émission. Aider également le public à comprendre pourquoi l'attente peut être longue avant le diagnostic, explique Ghislain Richard, médecin urgentiste.

Si les équipes des Dr Amélie Boureau-Voultoury, chef de service des urgences pédiatriques et Jean-Yves Lardeur, chef de service des urgences adultes ont accepté cette incursion dans l’intimité de leur vie professionnelle, c’est parce que les techniciens de la société de production ont su créer un climat de confiance et que la saison tournée au CHU de Montpellier plaidait en leur faveur.

« Ils ont respecté leurs engagements et mis en avant le relationnel, pas le sensationnel » apprécient les soignants. « C’est un formidable coup de projecteur sur un service public présent pour la population », ajoutent-ils.

"On ne s'est jamais rien interdit de montrer"

"On ne s'est jamais rien interdit de montrer", souligne Antoine Baldassari, le réalisateur du documentaire. La mort fait malheureusement partie de la vie des urgences. Et le réalisateur a décidé de ne pas occulter cet aspect du métier d'urgentiste.

Avec pudeur, la pellicule fixe aussi les derniers instants d’une vie qui s’arrête en dépit des efforts des réanimateurs.

Pour cette nouvelle saison, les téléspectateurs suivront non seulement les médecins mais également les patients et leurs proches dès leur arrivée. "Ils acceptent pour rendre hommage aux équipes soignantes", rapporte le producteur. 

Faustine, une jeune fille, se plaint de maux d'estomac, sans raison apparente. Ce sera à Etienne, le médecin de garde, d'établir rapidement un diagnostic.

Joseph, lui, est arrivé avec une fracture à la jambe causée par un mauvais tacle lors d'un match de foot. Sa mère ne supporte pas de voir la souffrance de son fils. "Si je pouvais prendre sa douleur, je la prendrai en temps que maman", dit-elle face à la caméra.

Aux urgences pédiatriques, une petite fille refuse de parler. Elle est tombée dans un fossé. Amélie, la chef du service, devra relever le défi d'entrer en contact avec la jeune patiente.

Rédaction ActuSoins

   

 

Avec CHU Réseau

Abonnez-vous à la newsletter des soignants :

Faire un don

Vous avez aimé cet article ? Faites un don pour nous aider à vous fournir du contenu de qualité !

faire un don

Réactions

7 réponses pour “24 h aux urgences, cela redémarre le 20 février”

  1. j ai regarder mes le reportage et surement truqué!

  2. C’est vrai que les urgences…on noue en rabat les oreilles…ok c’est dur, mais aussi dur en gériatrie, en pneumologie, en soins palliatifs….on est tous à la même enseigné et ça serait bien de varier un peu…

  3. Je comprens mieux vu les commentaires ci dessus

  4. Et puis se serait bien de faire aussi 24H en gériatrie …ou en onco…autre chose que les urgences quoi!

  5. j ai à peine vu la bande annonce

    .. ça m a suffit

  6. Tina Soso dit :

    En dehors de la realite.. Tournages truques.. Ceci ne reflete en rien le travail des urgences au quotidien!! Une honte qui devalorise le personnel soignant…n’en faites pas la promo!!

Réagir à cet article

retour haut de page
350 rq / 5,612 sec